Chapitre 47.Le malaise.

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Kimberly.

Comment expliques-tu le faite qu'on ait couché ensembles à Paris ?

—Tu bluffes, Il n'aurait jamais fait ça.

—Ma petite Kimberly, tu es tellement naïve...

Elle était en Europe, je me rappelle. Je me suis demandé s'ils n'étaient pas ensembles. Mais c'est complètement faux. Pourquoi Christopher coucherait avec cette fille s'il y'a une clause dans le contrat qui stipule clairement qu'on ne doit pas avoir d'autre partenaires.

Elle ment, j'en suis sûre.

—Et toi, tu es tellement conne que je me demande si tu 'as une cervelle...Tu devrais essayer de réfléchir ça te fera du bien. Oh mais non j'oubliais. Tu ne sais pas ce que c'est que réfléchir... Et quand tu essayes ta cervelle crame.

—Tu ne me crois pas n'est-ce pas ?

—Pourquoi je te croirais ? Dis-moi pourquoi, je devrais te faire confiance ?

—OK et comment expliques-tu ça ?

Elle me tend un téléphone... Je le reconnais facilement c'est son ancien téléphone.

—Tu as bien pu le lui voler. Le prendre à son insu.

Je ne la laisserais pas m'embrouiller.

—Il l'a oublié dans sa chambre d'hôtel. Dans la chambre ou il m'a fait l'amour un nombre incalculable de fois. Il est insatiable...Mais ça tu dois le savoir. N'est-ce pas ?

—Ça ne prouve rien. Ne te fatigue pas je ne te crois pas. Tu es jalouse et c'est un fait. Christopher est à moi. Mets-toi ça dans le crâne.

—Je savais que tu dirais ça. Mais demande-le-lui si tu ne me crois pas. Je peux même t'accompagner. Et on verra... Si je mens ou pas.

Mais non ça ne peut pas être vrai. Il ne peut pas avoir fait ça. Je ne vais pas accorder de crédit à ce que dit cette folle furieuse. Elle ne fait que mentir. J'ai bien vu la façon dont il l'a traité la veille de son départ. Ça ne pouvait pas être de la comédie.

C'est faux.

Mais je commence à avoir des doutes. Il a disparu du jour au lendemain et pendant dix jours. Cette histoire de téléphone perdu. J'ai le téléphone entre mes mains. Comment il a pu se retrouver entre celle de Gaby ? Je vais une conversation avec lui. Mais cette 'nana avec son visage à la Donatella Versace a intérêt à dégager. J'ai toujours des envies de meurtres. Et à la voir avec son sourire victorieux, elle doit se dire qu'elle a gagné.

—Tu sais quoi Gaby je m'en fous de ce que tu peux bien dire ou penser.

—Ah bon.

Elle semble surprise.

—Oui. Qu'il ait couché avec toi ou non. Ça, ce n'est pas mon problème. Et ça c'était avant.

—Tu ne vas pas me dire que le fait qu'il t'ait trompé avec moi ne te dérange pas. Il t'a fait cocu.

—Ça ne me dérange en rien, car tu mens. Et s'il m'avait réellement trompé avec toi. Ça ne prouve qu'une chose. Tu es une fille facile. Son plan B lorsque moi je refuse de faire l'amour avec lui et même dans ce cas-là, il reste à moi. Il a peut-être couché avec toi à Paris mais celle qui vit avec lui et partage son quotidien c'est moi.

—Tu mens.

—Pourquoi je mentirais. Mais si tu n'y crois pas. Tu peux venir avec moi pour lui parler. Il confirmera mes propos.

J'ai utilisé ces mots contre elle.

—Il aime sa liberté pourquoi. ...

—Oh je t'en prie Gabriella. Arrête de t'humilier. Cet homme ne veut pas de toi. Tu fais pitié à lui courir âpre comme une petite chienne.

Le Pacte De Cendrillon  Tome 1. VERSION WATTPAD  [Auto-Edité]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant