Chapitre 69 : Veux-tu m'épouser ?

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*Pop sans dire bonjour*
Histoire d'être méchante et impolie jusqu'au bout, autant y aller xD Plus sérieusement (Moi sérieuse ? C'est bien rare xD), je suis désolée de vous avoir planté pendant quasiment 2 mois pour la suite. Le pire, c'est que j'ai pas de raison vraiment valable et que j'ai quasiment 10 chapitres d'avance. Le seul truc de positif durant toute mon absence, c'est que j'ai presque fini la trame de l'histoire.
On part donc pour environ 100 chapitres. J'aurais jamais autant écris pour une histoire, mais je ne le regrette pas. Pacify Her a été le projet pour me remettre sur les rails et je pense qu'après ça, je vais passer à mon roman.
Je préviens tout de suite qu'il n'y aura pas de suite à Pacify Her, histoire que je ne fasse pas comme avec les chroniques (qui aurait dû être fini depuis plusieurs années, mais comme certains peuvent le voir, je l'ai toujours pas fini xD Et ça va faire près de trois ans que je fais trainer ce projet. Tout comme une année avec les dieux, mais elle je vais la réécrire et tout recentrer sur mon perso.).
Bref, après ce magnifique pâté, je vous laisse avec la suite de Pacify her ^^
Bonne lecture ^^
L'auteure, SerenaHarmonia.

Rayan entra dans le café et son regard se posa sur la blanche qui discutait joyeusement avec Clémence et son père. Eden tourna la tête vers la porte et son expression se ferma un peu en le voyant. Le brun s'approcha du couple de quarantenaire et les salua.

La gérante sursauta en voyant sa tête et lui demanda de ses nouvelles. Rayan lui répondit en feignant un sourire, mais il savait qu'il ne trompait personne. Il discuta quelques instants avec la blonde avant de monter à l'étage pour l'aider

Les deux adultes se dirigèrent vers l'arrière cour et le professeur d'art commença à sentir le plan foireux. Ils montèrent à l'étage et remarqua bien vite qu'il était dans la chambre où dormait Eden.

« Je n'ai jamais vu quelqu'un autant fatigué. Profitez-en pour dormir un peu.
- Mais je ne devais pas vous aider ? Déclara Rayan avec beaucoup de surprise.
- Ne t'inquiète pas pour ça, la rassura la blonde. Tu as besoin de te reposer et ce n'est pas ta tête qui dira le contraire.
- Je n'y arriverais pas. Pas sans Eden dans mes bras, avoua-t-il tout penaud. Mais ...
- Mais vu son expression, il y a encore un froid entre vous, termina Clémence. Il s'est passé quoi ? »

Le professeur d'art moderne s'assit sur le lit et regarda ses mains avant de soupirer. Il releva la tête et il expliqua tout ce qui l'embêtait. La gérante l'écouta avec beaucoup de patience et lui sourit avec bienveillance.

Sa fille ne changera pas comme ça. Elle était toujours aussi directe et maladroite. La blonde le pris dans ses bras et lui frotta son dos, comme si c'était son fils.

« Ne t'inquiète pas. Eden effectue un gros travail sur elle. Et elle voit bien que tu as tes propres soucis et elle estime qu'il ne faut pas t'embêter avec ses histoires.
- Mais un couple n'est pas censé se serrer les coudes dans les moments difficiles ? La questionna le brun un peu perdu.
- Je n'ai pas dis le contraire. Il faut lui laisser un peu de temps. Ou trouver un moyen de lui faire comprendre. Mais pour ça, je suis sûre que tu trouveras un moyen de lui faire passer le message.
- Hum ... Oui, sourit-il. »

Clémence se leva et alla préparer le repas. Le professeur suivit son conseil et se posa une dizaine de minutes avant de la rejoindre pour lui donner un coup de main. Ils finirent de tout préparer quand le père et la fille arrivèrent dans l'appartement.

Eden alla mettre la table pendant que Christophe prit sa compagne dans ses bras. Elle tourna la tête avant de recevoir un baiser passionné.

L'homme au teint hâlé les regarda avec un peu d'envie avant de regarder sa petite amie. Elle finissait de mettre les verres sur la table et il s'approcha d'elle avant de l'emmener sur le balcon.

La blanche le laissa faire, un peu surprise. Mais rapidement, elle se blottit contre son torse et profita de sa présence pour lui faire un câlin. Rayan balaya pendant quelques instants ses doutes, serrant un peu plus la jeune femme contre son corps.

Le père de la blanche les appela quelques minutes plus tard et ils partagèrent le repas. Malgré le câlin, les tensions entre le couple se faisaient un peu sentir. Ils parlèrent de tout et de rien, buvant quelques verres de bons vins et dégustèrent la nourriture.

Le dessert arriva et le brun se leva, s'excusant de son départ. Il retourna sur le balcon et prit une cigarette du paquet qui était dans l'une de ses poches. Le professeur l'alluma et la tira en soupirant.

La fatigue prenait de plus en plus le dessus sur lui. Et il n'aurait peut être pas du boire autant. Rayan fut rejoint par Christophe et instinctivement, il lui tendit son briquet. Le père le remercia et rit.

« Cela me rappelle notre première rencontre. A fumer et à discuter de ma fille.
- Oui, sourit le brun. Et plus le temps passe, plus je la trouve belle. »

Il tira une bouffée de sa cigarette en fermant les yeux. Le trentenaire n'avait pas besoin de parler avec lui pour faire comprendre son amour envers l'étudiante. Les deux hommes finirent par discuter boulot avant de rentrer à l'intérieur.

Les deux femmes avaient débarrassé la table et d'un commun accord, ils les éloignèrent de la cuisine, les forçant à rester assises. Ils préparent le dessert et revinrent avec et des boissons chaudes. Rayan servit le thé tandis que Christophe coupait le gâteau.

Le jeune homme s'assit à côté de sa compagne et il lui prit rapidement la main. Eden tourna la tête vers lui et soupira un peu avant de retirer doucement sa main.

Le brun aux yeux mauves se leva avant de mettre un genou au sol devant Clémence. La quarantenaire l'observa pendant de longues secondes avant que son amant brise le silence.

« Je sais que cela peut paraître rapide. Mais depuis que je te connais ma Clémence, je n'ai jamais autant heureux. Excepté les moments importants de la vie de mon bébé. Bref ! Depuis que je suis avec toi, que je vis avec toi, que je ... . Tout ça pour te demander si ti veux partager le reste de ta vie avec moi. Clémence, veux-tu m'épouser ?
- OUI ! »

La quarantenaire lui sauta au cou avant de l'embrasser. L'homme sourit et il finit par être rejoint par sa fille dans un câlin, tellement elle était heureuse pour eux.

Pacify her [Rayan x OC]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant