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Hilda devina qu'il l'avait emmené dans la salle de bain lorsqu'elle ressenti la fraîcheur des carreaux sous ses pieds nus.

Elle eut la sensation de recevoir une décharge électrique. C'était si étrange de ne pas le voir, ainsi elle n'avait aucun moyen de deviner ses gestes ou intentions.

Elle ressenti la chaleur d'une main posée sur sa cheville et chavira. La bouche du milliardaire posa une ligne de baiser le long de sa jambe jusqu'à la limite de sa nuisette. Il offrit le même traitement à son autre jambes avant de se redresser tout en entraînant sa robe dans sa course. Il la lui retira en la déchirant en deux à cause de ses poignets liés. Elle se retrouva à moitié nue, uniquement vêtu de son fin slip en dentelle. Elle tenta de lui dissimuler sa poitrine mais avec ses menottes c'était impossible.

— J'étais sûr que tu ferais ça, sursura l'homme à son oreille.

Elle voulut protesté mais elle sentit sa caresse sur ses seins et perdit l'usage de la parole. Les doigts habilent du milliardaire titillèrent les pointes durcies de ses seins. Sa bouche prit le relais et lui prodigua des caresses plus profondes. Elle poussa un cri de ravissement secoué par des sensations indescriptibles.

Pantelante, elle eut du mal à trouver l'équilibre pour marcher jusque dans la cabine de douche. L'eau tiède ruisela sur sa peau et l'homme aspergea son corps d'un gel douche au parfum musqué. À l'aide d'une éponge, il frotta son corps en de lent geste sensuels qui lui firent gémir de plus belle. L'eau n'éttoya sa peau mousseuse et la main de l'homme se glissa entre ses jambes.

La jeune femme eut un sursaut de surprise puis serra les cuisses mais les doigts du milliardaire s'étaient déjà introduit entre les plis humides de son intimité. Elle suffoquait alors qu'il faisait des mouvements lents et régulier qui peu à peu la poussèrent aux portes de l'extase.

— Oh mon dieu ! S'exclama t-elle lorsqu'elle sentit un doigt s'enfoncer en elle.

Elle s'accrocha à l'homme secouée de spasmes violent. Le milliardaire étouffa son cri de jouissance d'un baiser sans jamais cessé de poursuivre les lent va-et-viens de son majeur en elle. L'obscurité à travers son bandeau fût éclairé de milliers d'étoiles avant de s'assombrir de nouveau. L'homme la souleva dans ses bras pour l'envelopper dans un peignoir. Il retira son jean mouillé pour un bas plus décontracté, puis rejoignit la jeune femme. Il lui retira ses menottes et détacha son bandeau.

Hilda battit des cils pour se faire à nouveau à la lumière et dévisagea d'un air hébété le milliardaire dont le visage était éclairé par un sourire de satisfaction. Gênée, elle baissa les yeux sur son corps à présent enveloppé dans une serviette.

— Ça va ? L'interrogea l'homme en s'agenouillant à ses pieds.

Elle opina sans conviction.

— Qu'est-ce qui...

Elle se mordit la lèvre pour réfréner sa question indiscrète. Le milliardaire prit son menton entre ses doigts et releva sa tête. Il glissa son pouce froid sur ses lèvres et mit terme à la torture qu'elle infligeait à sa lèvre.

— Prends ton temps, lui souffla t-il. Et ne soit pas gêner.

Il l'embrassa furtivement avant de se redresser.

— Habilles toi, je vais chercher le petit déjeuner, annonça t-il.

Lorsque la porte se referma sur lui, la jeune femme efflua tout l'air de ses poumons et se laissa tomber sur le couvre lit. Elle n'arrivait toujours pas à croire qu'elle avait fait une telle folie et surtout, elle n'en revenait pas d'avoir aimé ça.

C'était l'expérience la plus merveilleuse qu'elle ait vécu, un souvenir qu'elle chérait à tout jamais.

***

Une si troublante proposition.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant