II - 55 | Au revoir

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Helloooooo !! 🖤
Comment ça va ? 😌

Je crois que j'ai fait un peu n'importe quoi dans ce chapitre dans le sens ou... bah je sais pas en fait. J'ai écrit une grande partie en étant très (très) fatiguée (après une nuit blanche) donc je n'avais pas les idées claires... 😬

Donc je ne sais pas trop ce que ça donne, les amici (amis en italien, je trouve ça trop mimi comme mot 😂😭). Vous me direz !! 😎
Mais je pense que vous allez aimer... 👀
(Réveillez les fangirls et fanmecs en vous ! 🙃)

En tout cas, je vous souhaite une bonne lecture !!

Bisous 💋
Xenia <3

Compte principal : xeniaa_sokolova
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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟓𝟕
𝐀𝐔 𝐑𝐄𝐕𝐎𝐈𝐑

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TYRON

À peine ai-je passé le pas de la porte qu'une forme pleine de poil se précipite dans ma direction. Keres. Je n'ai que le temps de refermer la porte et m'avancer dans le vestibule avant qu'elle ne me saute dessus, pleine d'entrain. Elle lâche un aboiement plein de joie en se jetant sur moi, posant ses pattes avant sur mon torse. Quelques petits jappements comblés lui échappent et elle donne de petits coups de tête dans ma direction. Un sourire s'impose sur mes lèvres lorsque j'attrape sa tête à deux mains et me penche pour la frotter vigoureusement.

— Ma fille..., souris-je alors que son halètement se fait de plus en plus fort.

Surexcitée, elle se prend immédiatement au jeu et tente d'attraper mes doigts entre ses crocs. Et même si elle n'aboie plus, sa queue bat gaiement l'air, avec une frénésie qui trahit son contentement.

Je repousse ses pattes et m'accroupis à ses côtés. Mon mouvement réveille une douleur brûlante dans mes membres, comme l'écho de courbatures lointaines, pourtant marquées au fer rouge dans mon organisme. J'ai l'impression d'être passé sous un rouleau compresseur. Un putain de rouleau compresseur. Et si mes nombreuses heures de sommeil m'ont aidé à récupérer, je ne peux ignorer l'élancement morbide de mes membres. Ma tête me semble lourde, les bruits trop forts résonnent désagréablement dans mon crâne et je sens que la faiblesse n'a pas encore quitté mon corps.

Évidemment, Keres ne remarque rien, son museau entre immédiatement en contact avec mon cou et ses petits coups de langue me caressent affectueusement la mâchoire. Je recule instinctivement la tête, mais Keres continue, aveuglée par le bonheur de me revoir.

La chienne a été amenée par Lorenzo, qui est parti de Milan deux jours avant moi. Elle n'a été séparée de moi que quelques jours, un peu moins d'une semaine, mais c'est beaucoup pour les clebs. Surtout quand ils sont très attachés à leur maître.
Mais je ne pourrai pas prendre Keres avec moi pour aller au Nigeria, ce serait trop compliqué. Elle restera ici avec Marcus et Raïssa.

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant