L'OMBRE DU PHŒNIX | Intégrale

I - 14 | Lâche-moi

BONJOUR ?!
Vous allez bien ? 😭

...

Parce que moi oui 😭❤️
Je suis surprise et très heureuse de vous annoncer que L'OMBRE DU PHŒNIX A PASSÉ LES 1000 VUES ET LES 200 VOTES 😳🫢

...

Alors peut être que pour vous c'est pas grand chose (et je peux comprendre) mais pour moi c'est beaucoup beaucoup... 🥺🥺❤️❤️
Donc un grand merci à vous, merci d'être là, merci de commenter, de voter, de m'envoyer des petits messages « bilan » sur les chaps ☺️✨
Ça m'aide énormément et m'encourage tellement !
Donc un ÉNORME merci aux filles qui commentent à chaque chapitre 😊❤️ vraiment, cœur sur vous !!

Bon, bon, bon, j'arrête de blablater et vous laisse avec le chapitre 14 (un chapitre que j'ai vraiment kiffé écrire) !

Bisousssss et bonne lecture les amis !! 🍉💋

꧁꧂

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟒
𝐋𝐀̂𝐂𝐇𝐄-𝐌𝐎𝐈

꧁꧂

ＭＡＲＣＵＳ

Parcourant les chiffres sur les feuilles entre mes doigts, je n'écoute ce que Ryan me dit que d'une oreille distraite. Mais lorsqu'il interrompt sa phrase, je lève les yeux. Son regard a quitté mon visage pour fixer un point derrière moi, les sourcils froncés.

Qu'est-ce qu'il regarde avec un air si hostile ? Je me tourne à mon tour, juste au moment où Tyron descend la dernière marche des escaliers et déboule dans le salon. Et il tire derrière lui une Raïssa aux yeux écarquillés. Les iris pleins de stupeurs de la ragazza parcourent rapidement la pièce du regard. Elle à l'air totalement déboussolé, ne s'attendant visiblement pas à être tirée du lit par Tyron. (la fille)

Ses yeux fous analysent les moindres recoins, absorbant les moindres détails.
Les gardes qui la dévisagent. Ryan qui la fusille férocement du regard. La nuit encore noire et opaque dehors. Les armes que portent nos hommes. Les fusils d'assaut posés sur les tables et l'îlot central de la cuisine.
Elle examine tout alors que mon patron traverse le salon et la traîne vers la porte.

Lorsqu'elle passe devant moi, ses pupilles perdues croisent brièvement les miennes. Et dans une communication muette, elle semble me demander ce qu'il se passe. Ou est-ce que Tyron l'emmène et pourquoi ?

Mais je ne sais pas.
Je suis aussi ignorant qu'elle. Donc ses questions imprononcées restent sans réponses et ses yeux n'ont pas perdu de leur stupéfaction.

Une fois devant la porte, Corseti lui ordonne d'un signe de tête d'enfiler des chaussures. Et sans avoir le choix, elle le fait.

Puis la porte claque. Ce son rude résonne quelque temps dans la grande salle devenue silencieuse, les discussions ne reprenant pas. Seul Ryan intervient pour me demander calmement :

— C'est elle ? Rirassa ?

Je ne le corrige pas et me contente de hocher la tête. Ses yeux marron, scrutateurs et intransigeants, restent quelques secondes fixés sur la porte. Puis, après s'être raclé la gorge, il reprend :