I - 6 | Derniers mots ?

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Holà !!

Vous allez bien ? J'espère que ça va en tout cas. 😁

Je tenais vraiment à vous remercier pour les commentaires que vous postez ! Je crois que c'est majoritairement (ou totalement) des filles.
Donc un ÉNORME GÉANT MERCI À VOUS, LES FILLES !! 🥰🥰
Vous n'imaginez même pas à quel point ça me fait plaisir de voir vos retours, découvrir vos réactions, vos opinions et « théories » ! Sincèrement, c'est ce qu'il y a de plus important pour moi !! Donc votre soutien m'est très précieux, et même INDISPENSABLE !
Et je tenais réellement à vous remercier pour ça ! Merci infiniment !! 😭❤️

Voici voilà  le chapitre 6 !!
J'espère qu'il va vous plaire  parce que j'ai vraiment kiffé l'écrire !

Bonne lecture ! 🥰









































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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔
𝐃𝐄𝐑𝐍𝐈𝐄𝐑𝐒 𝐌𝐎𝐓𝐒 ?

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RAISSA

Le garde vient de raccrocher son téléphone. Je n'ai pas écouté la conversation et n'ai pas fait attention à la personne à laquelle il parlait. Ça ne m'intéressait pas, j'étais trop préoccupé par l'irrégularité de mes inspirations. Mais maintenant que cette porte est ouverte, je peux enfin respirer.

Je me laisse glisser contre l'embrasure, la pierre rugueuse dans mon dos. Lorsque mes fesses touchent le sol, ma respiration haletante commence enfin à se calmer.

Quelques minutes après le départ de Tyron, les murs ont commencé à se refermer sur moi. Ils ont longtemps tourné, avant de réduire l'espace qui les séparait. Ils m'ont donné la migraine. Ils ont fait battre mon cœur à une vitesse surréaliste et mes poumons ont cessé de fonctionner.

Cette cage bétonnée est trop petite et étouffante, lorsque la porte est fermée. Elle semble trop étroite aux yeux d'une claustrophobe.

J'ai hurlé, supplié que le type dehors m'écoute et ouvre la porte. J'ai eu beau taper l'acier frénétiquement et sangloter pathétiquement, le garde n'a rien fait. J'ai donc retiré mon pull, et essayé d'enlever les autres couches qui me faisaient suffoquer. Mais je n'avais plus rien à enlever à part mon débardeur. Donc j'ai gratté ma peau jusqu'au sang. Encore et encore. Pour retirer toute l'oppression qui me pesait, car je devais à tout prix me débarrasser de cette étroitesse qui me collait à la peau.

Mes bras et le haut de ma poitrine sont striés des traces écarlates, laissés par mes ongles. Ce sont ces mêmes griffures que le garde fixe, atterré.

Il s'approche alors que je me mets à trembler, à cause du froid et de la sueur qui perle sur ma peau. M'attrapant le bras, il tire d'un coup sec et relève mon corps mou et sans énergie.

Vidée, je le regarde me tenir debout. Sans rien dire, je reste pantelante, presque pendue à son bras.

— Bon, allez. Me casse pas les couilles et entre là-dedans.

Il me fait reculer vers la cellule. Tout sauf ça !! L'adrénaline fuse de nouveau dans mes veines, parcourt mon corps des pieds à la tête, le ravivant. Ma vivacité retrouvée, je dégage violemment mon bras pour l'empêcher de me pousser.

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant