II - 65 | Le voleur dans la loi

5K 271 265
                                    


Heyyyy !
J'espère que vous allez tous bien, les amis ! 😋

Je vais être honnête, je ne suis pas très fière de ce chapitre... En tout cas, j'espère qu'il vous plaira plus qu'à moi ! ☺️🫶🏼

Je précise que dans ce chapitre, à un moment donné, Raïssa parlera russe. Et puisque ce passage sera vu du pdv de Tyron et qu'il ne comprend pas le russe, j'ai choisi d'écrire les répliques de Raï en cyrillique pour marquer ce moment d'incompréhension.
(Je mettrai tout de même la traduction dans les commentaires si vous le souhaitez. <3).

Bonne lecture !!

Bisous 💋
Xexe <3

Compte principal : xeniaa_sokolova
Compte privé : iamxeniaa.32
Compte même : xeniaa_memes







































꧁꧂

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟓
𝐋𝐄 𝐕𝐎𝐋𝐄𝐔𝐑 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐀 𝐋𝐎𝐈

꧁꧂











































TYRON

— Je préfère quand même la Ferrari. C'est un classique.

Je me déporte sur la gauche pour dépasser la voiture devant moi, celle-ci ayant un comportement bizarre.

— Je ne dis pas le contraire, me répond Raïssa depuis le siège passager, mais l'Aston Martin a quelque chose de... différent. C'est pour ça que, parmi toutes tes voitures, c'est ma préférée...

Je laisse échapper un ricanement.

— « Parmi toutes tes voitures », répété-je. Techniquement, ce ne sont même plus mes voitures.

Raïssa tourne la tête vers moi et hausse un sourcil.

— Tout comme la Casa, la maison à la Zagaleta, mon appartement à Milan..., énuméré-je.

— Ah oui, c'est vrai... J'avais oublié que tu avais passé tous tes biens au nom de Serena. D'ailleurs, la procédure est finie ?

Concentré sur la Ford devant moi, je ne lui réponds que par un simple hochement de tête. Un rapide coup d'œil à la plaque d'immatriculation de la voiture m'apprend que c'est un Espagnol.

— Ils conduisent vraiment comme des merdes, dans ce pays. Ces connards ont découvert la moitié du monde, mais ne savent toujours pas situer le clignotant...

En claquant de la langue, j'appuie sur l'accélérateur pour le dépasser, projetant légèrement Raïssa contre le dossier de son siège.

— Mes comptes italiens sont presque vides, continué-je avant de railler : je suis considéré comme pauvre par l'État italien. T'imagines ? Je peux même prétendre à des aides sociales...

La main de Teriakova se faufile discrètement jusqu'à la poignée de sécurité qu'elle entoure de ses doigts. Une fois la Ford dépassée, je décélère, mais la main de Raïssa demeure agrippée à l'anse.

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant