I - 33 | Alfonso Andreani

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Hellooo !!
Ça va ? Pour ceux qui ont déjà fait leur rentrée, ça s'est bien passé ? 🤗🖤

De mon côté, tout va bien ! Je profite de mes derniers jours de vacances (je reprends le 2) ! 😌

Je ne vais pas beaucoup parler aujourd'hui, et vous laisser rapidement avec le chapitre 33 !
J'espère qu'il va vous plaire, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez dans les commentaires ! 😊✨

Bonne lecture ! 💋















































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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟑𝟑
𝐀𝐋𝐅𝐎𝐍𝐒𝐎 𝐀𝐍𝐃𝐑𝐄𝐀𝐍𝐈

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TYRON

Alors que je ralentis à l'approche de ma propriété, mes yeux considèrent avec attention les trois voitures de carabinieri garées devant la Casa. Certains gendarmes sont restés dans leurs bagnoles alors que d'autres se tiennent autour du commissaire planté devant Ryan.

D'après les indics que j'ai à Interpol, l'un de leurs agents s'intéresse beaucoup trop à mes affaires. Je me suis renseigné sur cet enculé, et d'après tout ce que mes gars ont pu trouver, il s'acharne depuis près d'un an, essayant de trouver quelque chose pour me coffrer. Visiblement, il n'a toujours rien trouvé de suffisamment incriminant pour me coincer, donc il est venu chercher directement chez moi.
Car c'est fils de pute qui se tient devant mon bras droit, à la tête de la vingtaine de flics venus à ma résidence.

Le grondement de la Ferrari attire tous les regards et Ryan cesse de faire ses grands gestes des bras, figeant ses pupilles dans les miennes à travers le pare-brise. L'agacement qui l'avait emporté semble se calmer alors qu'il croise les bras sur son torse.

Après avoir arrêté le moteur, je sors de ma caisse. Mon regard avisé s'attarde sur chaque visage avant de se heurter sur le type travaillant pour Interpol.

— Voilà Tyron ! lâche Ryan avec agressivité, comme si cela faisait plus d'une trentaine de minutes qu'il bataillait avec eux. Maintenant que vous l'avez devant vous, il va pouvoir vous dire exactement la même chose que moi : d'aller vous faire foutre.

— Qu'est-ce que vous voulez ? lancé-je en claquant la portière.

À peine ma voix se fait-elle entendre que des aboiements furieux brisent l'air, se rapprochant rapidement de nous. Kérès. Lorsque ma chienne sort de la maison à une vitesse surréaliste, Ryan l'attrape par le collier avant qu'elle ne puisse se jeter sur un flic. Mon second retient l'animal enragé d'une poigne ferme, alors que les jappements redoublent et qu'elle tente de me rejoindre ou de sauter sur un gendarme.

Edoardo est censé la surveiller. Ou est-ce qu'il est, ce con ?

— Kérès, assise ! tonné-je sans même la regarder, les pupilles fixées sur l'envoyé d'Interpol.

Les grognements cessent immédiatement alors qu'Edoardo sort avec précipitation de la maison, une laisse entre les mains.

— Garde-la attachée, lui ordonné-je avec un regard noir.

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant