L'OMBRE DU PHŒNIX | Intégrale

II - 64 | Ta confiance

Heyyy !
J'espère que vous vous portez tous bien ! 😌

Je vous avoue que, pour une fois, je n'ai pas grand chose à vous dire... 😭
(Je vous conseille juste de relire la fin du chapitre précédent pour avoir une transition fluide entre les deux...)
Je vous laisse donc rapidement avec le chapitre 64 ! 😋

J'aurai juste une petite question à vous poser à la fin... 👀

Bonne lecture !! 🫶🏼

Bisouuuuus💋
Xexe <3

Ps : Vous m'avez beaucoup manqué ! 🥹
Plus que d'habitude !!

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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟒
𝐓𝐀 𝐂𝐎𝐍𝐅𝐈𝐀𝐍𝐂𝐄

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ＲＡＩＳＳＡ

Il repose sa coupe sur le comptoir et se tourne vers moi. Un sourire titille ses lèvres.

— Maintenant, embrasse-moi, susurre-t-il.

Ses prunelles de braise caressent les courbes de ma bouche et mes joues s'enflamment.

— Pourquoi ?

Alors que son sourire se fait plus joueur, il enlace plus intimement nos regards.

— Parce que je te le demande, chuchote-t-il.

Après une courte pause, il ajoute :

— Et parce que je veux sentir le goût du champagne sur tes lèvres.

Après une seconde d'hésitation, je laisse ses mots me guider et me penche vers lui. Ma bouche marque un court temps d'arrêt à quelques centimètres de la sienne. Ses doigts attrapent alors délicatement mon menton pour relever ma tête. Il plisse les yeux en réitérant :

— Embrasse-moi, Raïssa Teriakova.

Comblant le mince espace qui nous sépare, je lui donne ce qu'il me demande. Mes lèvres se posent sur sa lippe et l'étreignent passionnément. Nos épidermes brûlants frémissent l'un contre l'autre, partageant les restes de l'arôme frétillant et fruité du champagne. Nous nous laissons emporter dans cette ardeur, laissant nos souffles fusionner. Tyron enroule son bras droit autour de ma taille, m'attirant à lui avec plus d'autorité.

D'un pas, je m'avance un peu plus entre ses jambes et il guide ma main tenant la coupe de champagne pour la poser sur le bar. Une fois libérés du verre, je pose mes doigts contre son torse dont la chaleur se fait ressentir à travers le tissu de sa chemise. Tyron reprend l'ascendant de notre échange et soumet ma bouche sous la virulence fervente de la sienne.

De sa main libre, il m'empoigne l'arrière de la cuisse avant de remonter doucement ses phalanges sous ma robe. Un gémissement de protestation résonne entre nos bouches et je le repousse doucement, la respiration haletante.