II - 82 | En danger

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Helloooo !
J'espère que vous vous portez tous bien, les amis !

Ce chapitre est l'avant dernier de ce tome... (oui oui 🥲) et je suis très émotive...
Je tiens donc tout d'abord à tous vous remercier d'être encore là et de me suivre après tout ça temps ! Je vous jure que votre soutien fidèle me touche énormément, et je suis très émue de voir qu'ODP vous plaît toujours (c'est mon plus grand stresse de découvrir un jour que ça ne vous plaît plus... 😭).
Je tiens également à souhaiter la bienvenue à tous les nouveaux, parce que je crois remarquer une vague de nouveaux lecteurs très sympathiques sur ODP. J'espère que ça vous plaît (si vous avez lu jusqu'ici, ça doit être le cas 😭😂) et j'espère que la suite vous plaira ! 🫶🏼

En tout cas ça me fait vraiment chaud au cœur de voir vos réactions, et j'ai hâte de voir celles que vous aurez pour le chapitre d'aujourd'hui !! 👀

On se retrouve sur insta après pour en parler, et discuter de vos théories pour le dernier chaps ? 😎

Bisous et bonne lecture ! 💋
Xenia <3


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xeniaa_sokolova















































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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟖𝟐
𝐄𝐍 𝐃𝐀𝐍𝐆𝐄𝐑

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NORA

De deux choses l'une : soit ils sont hautement incompétents, soit ils me prennent pour une conne.

La réalité doit se situer quelque part entre les deux.

Je soupire, fais mine de ne pas remarquer le type qui me file depuis que je suis sortie du commissariat et m'engage dans la rue de mon appartement. Aussitôt rentrée chez moi, je me lance à la recherche de mon ancien téléphone, que je suis sûre de ne pas avoir jeté. Il doit être là, quelque part, oublié au fond d'un tiroir.

Je fouille mon appartement avec la force du désespoir, tendue par la nécessité de trouver une solution. Je ne peux pas demeurer passive alors que le danger me suit et me guette. Il me talonne, s'approchant de moi un peu plus chaque jour. Je le sens comme une présence silencieuse, furtive, mais bien présente. Les filatures, les regards que certains des flics me jettent, tout en essayant de se montrer discrets. Et surtout, l'attitude suffisante d'Alfonso.

Ce type a un problème d'ego. Un homme intelligent se serait contenu ou aurait, au moins, essayé de le faire. Mais lui, non. Il ne cache pas son petit air hautain et moqueur, comme s'il ne pouvait s'empêcher de me montrer qu'il est supérieur à moi. Qu'il sait quelque chose que je ne sais pas. Qu'il m'a battue, alors même que je ne suis pas encore consciente que nous sommes en train de jouer. Comme s'il voulait me faire sentir qu'il a toutes les cartes en main.

Seulement, il n'aura jamais toutes les cartes.

Après avoir fouillé toutes les commodes ou je délaisse ces objets que je ne sais où ranger mais que je ne peux me résoudre à jeter, je finis par trouver mon vieux portable au fond d'un tiroir oublié de mon bureau. Ce dernier est toujours trop en bordel pour que je parvienne à y travailler : je finis toujours par m'établir sur la table de la salle à manger pour parvenir à être productive.

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant