II - 63 | Je te vengerai

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Heyyyyy !
J'espère que vous vous portez comme des charmes, les amici ! 😌
(c'est trop une expression que Marcus pourrait employer 😭)

Sinon, profitez de ce chapitre et des deux/trois suivants...
Ils sont calmes, mignons, agréables. Je dis ça, je ne dis rien, mais profitez-en BIEN.

Le calme avant la tempête...

Sur ce, bonne lecture ! 🫶🏼

/!\ DISCLAIMER /!\

Je le rappelle même si ça peut sembler évident, mais mes personnages ne sont pas moi. Ils ne partagent ni mes opinions ni mes croyances.

Bisous 💋
Xenia <3

Compte principal : xeniaa_sokolova
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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟑
𝐉𝐄 𝐓𝐄 𝐕𝐄𝐍𝐆𝐄𝐑𝐀𝐈

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TYRON

Lorsque je rentre, le soleil commence déjà à se coucher, étalant ses halos de lumière pareils à de la lave en fusion sur les nuages. Un petit sifflement joyeux s'élève depuis la cuisine. En entendant la porte claquer, Marcus interrompt immédiatement son petit air. Je ne lui ai toujours pas parlé depuis cette fameuse soirée où il a dit exactement tout ce qu'il ne devait pas dire à Raïssa.

Il lève cependant les yeux de son écran lorsque je passe devant lui et remarque les ombres qui hantent mon regard.

— Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

Je jette négligemment mes clés sur le comptoir. Mon téléphone et mon portefeuille subissent le même sort, glissant sur la pierre, arrêtant leur course juste avant de chuter de l'autre côté.

— Vicente, marmonné-je simplement, parce que ce mot se suffit à lui-même.

Même si ma rencontre avec lui a eu lieu en début de matinée, cette entrevue à réussi à me pourrir l'humeur pour toute la journée.

Les traits de Marcus se durcissent avec sérieux, et il se détourne complètement de son écran.

— Qu'est-ce qu'il te voulait ?

Mes poings se ferment.

— Qu'est-ce que ça peut te foutre, merde ?! m'exclamé-je. Arrête de fourrer ton cul dans mes affaires ! Mêle-toi de ce qui te regarde.

Son regard s'assombrit sous le joug de mes prunelles étincelantes.

— C'est à croire que je te paie pour faire la commère..., craché-je en secouant la tête.

À la tension qui s'incruste sur ses traits, je comprends qu'il a saisi l'allusion à l'autre soir. Et je poursuis :

— Je te ferai signe quand j'aurai besoin d'une putain de concierge, Harden. D'ici là, fermes-là, parce que t'es bon qu'à ouvrir ta grande gueule. Pianote docilement sur ton clavier de merde et me casse pas les couilles.

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant