II - 50 | Nuit sans lune

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Heyyyyyy !! 🖤
Comment allez-vous ?? Comment se passe votre journée ?

Je suis choquée !! Nous sommes au chapitre 50 !! CHAPITRE 50 ! 😭😭
Je trouve ça énorme, je suis désolée !
Dans ma tête c'était un peu comme une grande « étape » ! C'est dingue...

Je tenais à tous vous remercier pour votre incroyable soutien ! Vraiment. Cela me fait tellement plaisir de voir que vous appréciez toujours l'histoire ! C'est incroyablement motivant de lire vos retour, avoir vos avis sur odp, vos opinions sur les persos et vos théories !!
Je veux vous remercier infiniment pour vos votes, vos adorables messages et vos commentaires tout aussi encourageants ! 😊❤️

En vous souhaitant une excellente lecture !!
J'espère que ce chapitre vous plaira ! 🍉

Bisouuuuuus 💋
Xenia <3

Compte principal : xeniaa_sokolova
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Compte même : xeniaa_memes


































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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟓𝟎
𝐍𝐔𝐈𝐓 𝐒𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐔𝐍𝐄

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MASSIMO

Valentino jette un coup d'œil à l'heure indiquée par le tableau de bord avant de marmonner :

— Y'a moins de monde maintenant.

Mon regard balaie l'entrée du bâtiment. Et ouais, la queue a disparu et les allées et venues sont plus rares qu'en pleine journée. Cela fait quatre heures qu'on poireaute ici.

Valentino sort de la voiture et j'en fais de même, réarrangeant mon holster IWB* avant de claquer la portière de la bagnole. Un coup d'œil à Valentino et nous traversons la rue en direction de l'immense édifice aux briques rougeâtres, illuminé par les lampadaires qui jalonnent la route.
Comme moi, mon collègue est vêtu en civil. Nous avons abandonné nos uniformes de carabinieri pour des vêtements simples et passe-partout.

Après tout, nous ne sommes pas de service. Si nous sommes venus à l'hôpital Humanitas Gradenigo de Turin, c'est juste pour faire une faveur à un compère.

Avant de franchir les doubles portes de l'hosto, je lève les yeux vers le ciel.

Vers la lune.

Elle est ronde et belle. Mais son scintillement est fébrile, presque malade. Elle n'approuve pas ce que nous sommes sur le point de faire.

Nous pénétrons dans le bâtiment et traversons le hall sans nous attarder à la réception.

— On connaît le numéro de sa chambre ? me demande Valentino en coulant un regard dans ma direction.

— Costa nous a dit qu'il était au premier, lui répondis-je en poussant une lourde porte pour m'engouffrer dans la cage d'escalier. On le trouvera avec son nom.

Mon collègue sur les talons, je gravis rapidement les marches.

— Putain... il casse les couilles quand même, souffle Val'. Il aurait pu venir lui-même...

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant