II - 68 | Anges du passé

3.6K 225 777
                                    





Coucouuuu !
J'espère que vous vous portez bien, les amici... 🥰

Je suis hyper productive en ce moment (j'espère que le dire ne va pas me mettre l'œil... 😭), donc je vais en profiter pour poster plus souvent (et plus régulièrement, oups... 🫢).
J'ai déjà trois chapitres d'avance !
Je vous propose qu'on se retrouve dans ma story insta pour déterminer un jour de publication pour odp !
Je vais faire un petit sondage ! 😋

Très honnêtement, j'ai rien à vous dire aujourd'hui... Je suis juste super contente de pouvoir reprendre des publications plus régulières et d'être de nouveau présente sur insta !! 🫶🏼

Bonne lecture ! 🖤

Bisous 💋
Xexe <3

INSTA :

Compte principal : xeniaa_sokolova
Compte privé : kissesfromxenia
Compte même : xeniaa_memes













































꧁꧂

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟖
𝐀𝐍𝐆𝐄𝐒 𝐃𝐔 𝐏𝐀𝐒𝐒𝐄́

꧁꧂



































TYRON

— Faut qu'on s'arrête, Ty.

Face à mon silence, Marcus insiste d'une voix alarmée et pressante :

— Raïssa se sent vraiment mal.

Je soupire, lance un regard à la banquette arrière et constate qu'effectivement, Raïssa est plus pâle que tout à l'heure. Ses yeux entrouverts fixent obstinément la route, probablement pour faire refluer sa nausée. Si elle se sent aussi mal, c'est probablement parce qu'elle a trop bu.

Cela fait un peu plus de deux heures que nous sommes partis, ayant décidé de retourner en Italie prématurément. Nous avons décidé de prendre la voiture de Teriakova, puisque c'est celle qui se ferait le moins remarquer. Évidemment, j'ai pris le volant ; Raï n'étant pas en capacité de conduire et Marcus étant un réel danger public au volant. Et puisque je suis encore bourré, moi aussi, je redouble de vigilance et veille à ne commettre aucun écart.

Si je me fais serrer par les flics dans mon état, je suis baisé.

— Je m'arrêterai à la prochaine station-service.

J'accélère et quelques minutes plus tard, je m'arrête sur un parking presque désert au milieu de nulle part. Seul un grand camion y est stationné, probablement un routier en train de profiter de quelques heures de sommeil. Non loin des deux pompes à essence se trouve une modeste supérette, éclairée par des lumières qui tremblotent de temps à autre.

— On est vraiment dans le trou du cul du monde, putain..., grommelé-je pour moi-même en sortant de la voiture pour observer les alentours.

L'une des portières arrière s'ouvre. Marcus sort le premier, plutôt en forme. Ensuite, Raïssa s'extirpe difficilement de la voiture. Elle trébuche dès ses premiers pas et s'éloigne de l'automobile en prenant de longues et profondes inspirations. Je m'approche d'elle alors qu'elle fait tout pour éviter de vomir. Elle finit par perdre cette bataille et, après une grimace annonciatrice, elle se détourne, se courbe et rend son dîner.

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant