L'OMBRE DU PHŒNIX | Intégrale

II - 81 | Le Sicario

Helloooo ! 🖤

J'espère que vous allez tous bien ! Ça fait longtemps... 🫠

Comme vous avez dû le voir sur mon message posté sur mon compte, je reprends un rythme de publication régulier à partir d'aujourd'hui ! 😌
J'ai quelques chapitres d'avance pour cette fin de mois de mai et le début du mois de juin, où je n'aurai pas le temps d'écrire, et ensuite, pendant les vacances d'été, je compte me dédier entièrement l'écriture du tome 3 !!

Je vous annonce donc les dates de publications des derniers chapitres du tome 2 :
Chapitre 82 : 24 mai
Chapitre 83 : 31 mai (c'est le dernier chapitre)
Cover du tome 3 + résumé : 13 juin
Chapitre 84 : 14 juin
Et ensuite, on va rester sur un chapitre tous les vendredis !

Alors, qu'en dites-vous ? 😋

D'ailleurs, vu le chapitre d'aujourd'hui... je vous propose qu'on se retrouve sur insta après pour en discuter ! 👀 J'ai hâte de voir tous vos coms et vos petites théories... 😫
De plus, de nombreux nouveaux concepts et posts sont à venir... 🫶🏼

Bisous et bonne lecture !! 💋
Xenia <3

INSTA :
Compte principal : xeniaa_sokolova
Compte privé : kissesfromxenia
Compte même : xeniaa_memes

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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟖𝟏
𝐋𝐄 𝐒𝐈𝐂𝐀𝐑𝐈𝐎

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ＲＡＩＳＳＡ

Notre humeur se rembrunit dès que nous arrivons à la Casa. Marco Arès est là. Je reconnais immédiatement la voiture stationnée avec négligence au milieu du parking comme étant la sienne. Le véhicule a manifestement été garé avec hâte et indifférence, le coffre et la portière côté conducteur laissés ouverts.

Je lance un regard prudent en direction de Tyron, mais celui-ci ne m'accorde aucune considération. L'air grave et pensif, il se concentre entièrement sur son créneau. La noirceur de son humeur transparaît dans chacun de ses gestes : elle s'exprime dans chaque torsion brutale du volant, dans chaque accélération soudaine, dans sa manière de passer la marche arrière...

Je me tends, moi aussi, comme chaque fois que Tyron se rembrunit ainsi. Osant à peine respirer trop fort, je m'abstiens de tout commentaire et le suis lorsqu'il sort de la voiture et traverse le parking pour se diriger droit vers Marco, en train de fumer aux côtés de Ryan sur le porche.

Les autres gardes qui fument généralement une cigarette à cette heure-ci semblent tous s'être éclipsés, laissant un lourd silence dominer l'entrée de la Casa. Ce mutisme collectif n'est que renforcé par le crissement de nos pas contre les graviers.

Ryan lève les yeux vers nous tandis que Marco se tourne dans notre direction en jetant sa clope par terre. Un frisson me parcourt la colonne vertébrale à sa vue. Il ne semble même pas m'avoir remarquée, son regard lourd figé sur la stature de Corseti. Lourd. C'est le mot. Chargé de tout ce qu'il ne peut exprimer.