II - 70 | Maledetti

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/!\ IMPORTANT /!\

Disclaimer :
Propos pouvant choquer les personnes croyantes, blasphème.

A un moment donné dans ce chapitre, Tyron parlera de religion. Même si cela me paraît évident, je souligne le fait que son opinion n'est pas la mienne. C'est SON pdv à LUI car il a vécu des choses qui l'ont amené à penser ainsi, ce sont des pensées justifiées (à ses yeux). Je n'aimerais pas que vous preniez ses propos comme une insulte ou des offenses. C'est simplement SON opinion sur la chose.
(C'était pareil avec Raïssa et Marcus quand ils parlaient de leur vision de la religion.)

🫶🏼🫶🏼

Sinon, j'espère que votre rentrée (pour ceux qui ont repris) s'est bien passée.
Pas trop stressés ? Vous aimez bien votre classe ? Et vos professeurs ? <3

A part ça, je viens tout juste de me brûler la main. 💀
Heureusement c'est la main gauche et je suis droitière, mais bon... Je me suis vraiment brûlé les doigts, je crois que je vais avoir des cloques... 😭
Je peux pas taper sur un clavier, je suis contente d'avoir deux chapitres d'avance !

Là par exemple, je galère à écrire ce message à une main 😭😭

Bref... 🙄
« Les aventures de Xexe », vous connaissez... 💀

Bonne lecture ! 🖤

Bisous 💋
Xexe <3

INSTA :

Compte principal : xeniaa_sokolova
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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟕𝟎
𝐌𝐀𝐋𝐄𝐃𝐄𝐓𝐓𝐈

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TYRON

Serena Corseti.
Ma cousine. Ma sœur.
Serena Corseti.
Ma chair, mon sang. Ma putain de famiglia...
Serena Corseti.

Ses prunelles sont les premières que je vois en déboulant dans la Casa.

Après son appel, j'ai demandé à ce qu'elle soit escortée le plus vite possible d'Imperia à chez moi, à Milan. Puis j'ai conduit les huit heures restantes du trajet presque sans interruption. La gueule de bois me donne la migraine, et la fatigue mène en moi un combat contre l'irritation et l'anxiété. Je me trouve dans une sorte d'état second, vacillant entre épuisement et extrême assiduité. J'ai l'impression de ne pas pleinement comprendre ce qu'il se passe autour de moi tout en ayant des sens exacerbés.

J'ouvre la porte avec une telle brutalité qu'elle cloque contre le mur à mon passage. Ma cousine se lève du canapé et se précipite vers moi, les traits tordus par un mélange de peur et de soulagement qu'elle n'extériorise que maintenant. Serena est forte, et je sais qu'elle ne s'était pas permis de craquer devant les autres. Ce n'est qu'une fois contre mon torse et entourée de mes bras qu'elle s'autorise à pleurer.

L'OMBRE DU PHŒNIX | IntégraleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant