L'OMBRE DU PHŒNIX | Intégrale

II - 73 | Assez pour disparaître

Hellooooo ! 👀
J'espère que vous allez bien !

Ça commence à être l'automne, et je sais que beaucoup d'entre vous kiffent ça, mais moi c'est pas ma came... 😬
Je préfère le vrai froid bien froid (genre températures négatives) bien sec, avec la neige et tout le package (je crois que ce sont mes gènes slaves qui parlent 😂) mais les températures actuelles avec l'humidité et toute cette grisaille je suis pas fan. 💀
Donc je fais l'hermite, je reste chez moi et j'écris... 👀
(Ce qui vous arrange, au final 😂)

Enfin bref, j'ai une poussée d'inspiration en ce moment, donc je suis trop contente de pouvoir reprendre un rythme !soutenu ! D'autant plus que c'est un moment important pour odp... 😎
Vous faisiez plein de spéculations dans mes MP avec le dernier chapitre !
J'ai hâte de voir vos réactions avec celui-ci... 😋

Certains avaient hâte que ça EXPLOSE... 👀

Bonne lecture !

Bisous 💋
Xexe <3

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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟕𝟑
𝐀𝐒𝐒𝐄𝐙 𝐏𝐎𝐔𝐑 𝐃𝐈𝐒𝐏𝐀𝐑𝐀𝐈̂𝐓𝐑𝐄

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ＲＡＩＳＳＡ

Cela fait plus d'une heure que j'ai quitté le bureau de Tyron.

J'ai pu prendre une longue douche qui est quelque peu parvenue à me détendre. Je me suis ensuite crémée et ai pris soin de la peau de mon visage, voulant à tout prix me changer les idées. Je viens tout juste de m'installer dans mon lit, vêtue d'une culotte et d'un simple t-shirt blanc, lorsque quelqu'un toque à ma porte.

— Oui ?

La porte s'ouvre et Tyron glisse sa tête par l'embrasure pour jeter un coup d'œil à l'intérieur. Lorsqu'il voit que je suis déjà prête à me coucher, il fronce les sourcils et ouvre un peu plus la porte à l'aide de son pied. Dans sa main, je remarque qu'il tient des plaquettes de cachets blancs.

— Viens dans ma chambre, m'enjoint-il.

Après tout ce qu'il vient de se passer ?

La tension que j'étais parvenue à chasser s'installe de nouveau en moi. Je secoue rigidement la tête.

— Non, refusé-je, catégorique. Je n'ai pas envie de dormir dans ton lit.

Les traits neutres, il hausse les épaules et entre dans la chambre. Puis il commence à s'installer, l'air de rien. Il tire son Beretta hors de sa ceinture et le pose sur l'autre table de nuit, à côté de ses pilules. Je l'observe, à la fois stupéfaite et irritée.

— Qu'est-ce que tu fais ? Tu n'as pas entendu ce que je t'ai dit ?

Il ne me regarde pas et continue à se mettre à l'aise comme si je l'y avais invité.