Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟑𝟕 : 𝐄𝐧 𝐞𝐥 𝐯𝐢𝐬𝐨𝐫

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✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚✧                           [LAURA]

🌻 Jour 3 🌻

L'alarme de mon portable sonne. Je passe enfin aux choses sérieuses. Je vais manier les armes à feux... C'est Almerio qui va m'entraîner. J'enfile un pantalon en cuir et une veste de la même matière. En petit déjeuner je prend un yaourt grec au chocolat comme me la gentiment proposée Stef.

Il vient me cherché chez moi et me ramène chez l'un de ses amis trafiquants d'armes. Il avait une pièce dédié à cela.

Je pense que mon niveau en arme ne dois pas être si terrible car j'ai de vagues souvenirs de mon père m'apprenant à maniée les bases à l'âge de douze ans. Il m'entraînais sur des bouteilles en guise de cibles. Il me disais que c'était un jeux pour si de potentiel méchant venaient nous attaquer comme dans les films. C'est curieux car je m'en rappelle comme si c'était hier. Elles étaient petites et transparente sur ce petit meuble de bois. Quand j'appuyais sur la détente le bruit des verres qui s'éclataient dans l'air était affreux pour mes oreilles. J'arrivais toujours à sursauté. Mais à la suite de la perte de ma mémoire j'avais presque tout oubliée ou enfin je le croyais.

Il me donne un Tokarev TT 33 je crois connaître cette arme... elle viens de l'union soviétique c'est un 7,62 × 25 mm TT en munitions. C'est une arme qui à été fabriquée vers mille neuf cent trente. Elle était utilisée dans cette période pour l'armée rouge. Je me demande bien comment de tels armes peuvent encore existé. Charger elle pèse neuf cent dix grammes. Sa longueur est de cent quatre vingt six mm et la longueur du canon est de cent seize mm. J'en sais pas plus mais c'est déjà beaucoup vue la mémoire de poisson rouge que j'ai.

L'homme me donne un casque pour éviter les bruits et franchement j'en suis ravis, je n'avais pas envie de me peter le tympan. Almerio en possède un aussi. Il me conseille certaines positions et quelques mouvements à adopter pour être agile et à l'aise.

— Oui voilà. Tu écarte légèrement tes jambes pour avoir un appuie ferme et tu tiens larme de tes deux mains pour être sûr de pas la lâcher, ensuite tu relève ton dos de sorte à ce qu'il soit droit. Tu pointe ta cible, du coup ici le mannequin et puis tu tire.

J'écoute attentivement et reproduis ce qu'il me dis. Je me positionne et tire. J'ai tirée.

— C'est parfais ! Fallait qu'on me dise plus tôt que tu était une as dû tire.

— Haha pas à ce point.

— Il faut toujours flatté une femme.

— Alors tu assume que c'était pas sincère !

Nous ricanons à l'unisson. Je le connais presque à peine mais je me sens déjà à l'aise avec lui. Il est vraiment cool. Il reprend son sérieux et me dit.

— Non c'était bien mais je sais que tu peux faire encore mieux. Vise la tête cette fois.

Je m'exécute. Nous passons un peut près deux, trois heures à faire l'entraînement. Je suis fascinée par mon talent qui se révèle petit à petit.

Pan

Pan

Pan

Je les aies tous eus !

— Tu souhaite aller boire quelque chose ?

— Un smoothie !