Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟐𝟕 : 𝐃𝐞𝐧𝐞𝐠𝐚𝐫

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✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚✧                           [LAURA]

Je me lève... et il y a personne génial. Je m'attendais à quoi aussi ? Parfois j'ai l'impression de perdre la raison. J'ai à peine le temp d'aller boire mon café que j'entends la porte d'entrer sonné. Je ne suis plus seule.... Je vais voir et ouvre sans vraiment réfléchir à qui sa pourrais être mais par chance ce n'est que Roberto. Il me fait la bise. Je l'invite à s'asseoir dans le canapé. Je me demande bien se qu'il peu bien me vouloir d'aussi bonnes heures. Peut-être qu'il viens simplement voir son frère et je me fais des films ?

— Tu tu veux un café ?

— Oui.

— Avec du sucre ?

— Non sans sucre, s'il te plait.

— Je le savais !

— Alors pourquoi tu demande ? Dit-il en ricanant.

— Vos mieux vérifier que commettre des erreurs non ?

— Tu a raison.

Je me dirige vers la cuisine et allume la cafetière. J'attend que l'eau chauffe puis je fais deux cafés simples corsé et sans sucre puis je retourne dans le salon. Je lui donne le siens et bien évidemment je garde l'autre.

— Alors que veux tu me raconter ?

Je m'assieds à côté de lui et commence à déguster mon café. J'ai légèrement peur de ce qu'il va me dire mais j'imagine que ce n'est rien de bien grave.

— Gabin m'a dit que tu n'étais pas virée définitivement mais provisoirement et bien sûr au lieu de te le dire lui même il m'a envoyé le faire à sa place.

Je sais bien pourquoi il a fais cela. Il ne voulais pas me revoir après se qu'il c'était passé entre nous. Il devais sûrement être gêné ou il a peur que je le repousse. Je me demande si il est réellement amoureux de moi ? Si je suis pas virer c'est en grande partie grâce à lui j'en suis certaine, mais re travailler sous ses services après la faute qu'on a commis serait vraiment trop gênant pour moi.

— Tu es sûr ?! Ça fait peu de temps quand même. Ce n'est pas une mauvaise blague j'espère ?

— Oui c'est bien ce qu'il m'a dit, donc tu comptes retourner au bureau ? Je me sens seul sans toi.

— Je ne sais pas...

— Ok, je dois te laisser.

Il va sûrement aller travailler alors je le retiens pas plus. Nous nous faisons un câlin et il repart. Un peu bizarre. Je trouve qu'il a mis un peu plus de barrière entre nous ces temps-ci.

Je vais peut-être récupérer mon poste au saint de l'entreprise alors je me met en tenue professionnelle et me dirige au bureau.

Je n'ai pas eu l'occasion d'en parler avec Danny. Personnellement je me vois mal passer ma vie à rester les trois quarts de mon temps à la maison.

Je porte un tailleur noir et ma chemise blanche à l'intérieur de la jupe, je me maquille d'un simple mascara qui augmente le volume de mes cils et un rouge à lèvres marron mate. Je prends mes talons et mange un croissant que Danny m'a laissé, il était devenue froid et sec. Je sors de la grande demeure. Une fois arrivée je monte à la salle de pause et fais deux cafés.

Je me dirige vers mon box, Rob y est déjà. Je lui fais la bise pour la deuxième fois de la journée et lui donne son café. Il a l'air surpris que je sois déjà venue mais je veux régler sa rapidement. Je bois le mien d'une traite et toque dans le bureau de Gabin.

— Entrez !

— Bonjour...

— Tiens, Laura assieds-toi, je t'en pris.

Il fais comme si rien était et tant mieux car je serais trop gêné sinon.

— Je vous en remercie.

— J'imagine que si vous êtes là c'est que monsieur Rodriguez vous a dis ce que je lui avais demandé de vous transmettre. Alors pour vous résumer la situation nous avons fait une réunion pour savoir ton sort finale et mademoiselle Wilson était contre le faite que tu reviennes travailler ici mais avec mon point de vue très élaboré, Luxian a dit que tu étais un bon point pour l'entreprise et qu'on ne pouvait pas se permettre de te perdre.

— Sa ne m'étonne pas que Mia veuille ma démission.

— Pourquoi dis-tu cela ?

— Depuis que je travaille à Luxian Fonda elle m'harcele.

— Vous savez que accuser quelqu'un d'harcèlement est un gros mot tout de même.

— Bah désolé mais je suis franche et si ça ne vous plaît pas je peux partir sur-le-champ , plus rien ne me retiens ici de toute façon.

— On ne va pas arriver à cet extrême je vous entends bien et vous crois sans doute, faudrait juste en faire part à Luxian.

Il me vouvoie et sa me fais très bizarre venant de lui. Il a mis un espace entre nous et tant mieux en toute franchise.

— Oui j'y vais de ce pas alors.

Je monte tous les étages de Luxian Fonda et me dirige au fond du couloir où son grand bureau y est disposé. Je toque trois coups sur la porte de celui ci et le stresse monte en moi. Qu'est-ce qui m'a pris encore ? Dans quel pétrin je me fourre ?

— Veillez rentrer !

— Bonjour monsieur Brown.

— Ah c'est vous mademoiselle Moretti, asseyez-vous.

— Merci.

— J'ai entendu de la part de mademoiselle Wilson votre mauvais langage, que s'est-il passé ? Vous n'êtes pas comme ça d'habitude.

— Je m'en excuse vraiment, mais Mia est toujours sur mon dos pour m'insurger de haine gratuite. Je n'étais pas vraiment d'humeur ce jour-là, c'était... La goute de trop qui a fais débordé du vase disons.

— Je vois on va prendre votre déposition en compte. Veuillez retourner à votre poste.

— Je ne pense pas que je vais reprendre mon travaille ici.

— Je ne comprends pas. Vous êtes dans de mauvaises conditions et vous voulez plus de ce travail. Vous avez trouvé un travail qui paye mieux ailleurs ? Ou souhaitez vous une augmentation ?

— Ça n'a rien avoir, c'est franchement insultant et désolant. Je ne veux juste plus travailler ici désolée.

– C'est à cause de monsieur Rodriguez ?

— Hein ? Roberto n'a rien à voir avec ça !

— Non pas Roberto mais Danny.

— Vous le connaissez ? Demandai-je troublée.

— Non, laissez tomber. Vous pouvez partir.

Je me lève et me dirige vers la sortie. C'est la dernière fois que je reviens ici. Je trouvais cela intrigant qu'il m'ai dis ça mais je ne me pose plus trop de questions de toute façon ce ne sont pas mes affaires.

Je retourne à la villa et finis ma journée devant une série avant de m'endormir. Plusieurs heures plus tard je sens que l'on me porte. C'est qui ? Je me réveille en sursaut et remarque que c'est le brun . Je referme les yeux comme si rien n'étais.

꧁Fin du chapitre꧂