Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟒𝟔 : 𝐆𝐢𝐮𝐥𝐢𝐚

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✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚✧ [DANNY]

J'appelle tout mes hommes aux salon pour une nouvelle intervention.

— Nous sommes tous là Asesino.

— Bien. Je vais vous donner une adresse, vous aller y aller et vous tenir près. Quand je vous donnerais le signale vous irez à l'intérieur et vous attraperez tout les gens à l'intérieur.

— C'est comme si c'était fais chef !

Je leurs transmet l'adresse. Ils y vont comme je leurs est indiqués. Une fois placé il attendent que je leurs dises d'agir. Je pars dans mon bureau et prépare leurs récompenses. Laura est parti se couchée dans sa chambre. Je me demande si cette vie ne l'ennuie pas trop. Je vais aller voir comment elle va. C'était à ces yeux son ex alors tout ça peut la perturber.

Je pars acheté des broutilles à grignoter puis rentre. Je vais lui ramener dans la chambre. J'hésite à monter mais j'y vais finalement. Je toque à sa porte et attend qu'elle m'autorise à rentrer.

— Oui ?

— Je peux ?

— Vas-y.

J'ouvre la porte et dépose les sacs sur le petit bureau. Je me dirige vers elle et m'assoie sur son lit où elle y est allongée.

— Comment tu va ?

— Euh... Je ne sais pas trop. Comme une personne qui a tuer quelqu'un.

— C'est pas une réponse car certaines personnes aime tuer et d'autre de sentent mal après. Il y'a une règle que j'ai appris avec ton père, il ne faut jamais regretter sinon on vie avec des remord et les remords tuent.

Je l'observe attentivement et elle sourie.

— Mon père était un grand homme hein.

— Oui. Je l'admirais énormément.

— Moi aussi.

— Alors ?

— Je me sens à la fois soulagé parce qu'il nous embêtera plus mais aussi je me sens triste d'être une personne que je n'aurais jamais imaginer en moi. C'est comme si j'apprenais que je pouvais être cruelle tu vois ?

— Je vois...

— Quand tu tue tu ressent quoi toi exactement ?

Je soupire.

— Cela dépend. Si c'est un homme qui a fais de mauvaise action je me dis qu'en l'éliminant j'ai bien fais et quand c'est un homme que j'apprécie ça me déchire le cœur. Tu sais pas exemple ton père n'aimais pas tuer les gens pour tuer. Quand il tuais c'était qu'ils était obligé pour se protéger et même en étant comme il était il a réussi à gagner le respect de tout le monde. Ton père me manque tellement...

Mon cœur s'étrangle petit à petit. Ces yeux son remplis de larmes. J'ai l'impression de voir une plage devant moi. Une douce plage qui me rassure. Elle me serre dans ces bras et je ferme les yeux en respirant son doux parfum qui m'avais tellement manqué.

— Il me manque à moi aussi...

— Je ne veux plus te perdre. Promet moi que cette fois ci tu fera attention à toi.

Elle se détache de moi et plonge son regard dans le miens.

— Je te le promet Danny.

Je regarde ma montre.

— Je t'ai apporté à manger tu veux prendre un truc ?

— J'ai toujours le ventre noué mais je vais essayer. Seulement si tu mange avec moi.

— J'accepte.

J'attrape les sachets et lui donne.

— Mmh il y'a de tout dedans.

Elle ouvre un paquet de biscuits au chocolat et m'en tend un que je mange. De temps en temps elle me sourit et je fais de même. Nous mangeons et je me sens heureux de partager ce moment avec elle.

— C'est délicieux.

— Ouais !

Je regarde de nouveau ma montre. Il est quinze heures.

— Je vais te laisser je vais au toilettes.

Je descend rapidement et vais réellement au WC. Je me lave les mains. Quinze heures cinq. J'envoie le signale aux autres.

J'imagine que actuellement ils sont entrain de défoncer la baraque pour kidnapper les hommes de El Pimente. Ils écoutent mes ordres à la lettre. J'ai prévue qu'ils les transportent dans un de mes camions d'import export et les ramènent dans un vielle entrepôt.

Je remonte et raconte tout ça à Laura. Je n'ai pas envie de lui cacher elle mérite de savoir après tout je pense pouvoir lui faire confiance. On a partagé tellement de choses ensemble. Elle doit se demander qu'est-ce que j'ai en tête. Elle devra s'occuper de tout cela rapidement si elle veux s'en débarrasser.

Nous continuons notre petit goûter et commençons à parler de notre vie passer. Elle se rappelle de beaucoup de chose maintenant.

Je la fixe dans les yeux mais je ne peux pas m'empêcher de laisser mon regard descendre sur ces lèvres.

C'est elle la femme de ma vie, elle est là. Tu est devant moi. Mes yeux se remplissent de buées. Ma vision est trouble mais je sais qu'elle est la. Elle s'approche de moi et j'avale ma salive.

— Giulia...

Ça m'a échappé... elle va me baffer c'est certain. Mon cœur s'accélère aussi vite qu'une bombe à retardement. Elle ouvre et ferme ça bouche mais ne dit rien. La tension monte en moi et mon corps entier se chauffe. Parle, dit quelque chose. Le silence c'est encore pire !

꧁Fin du chapitre꧂