Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟔 : 𝐏𝐚́𝐧𝐢𝐜𝐚

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✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚✧ [DANNY]

Quand Rob m'explique qu'il n'a plus aucune nouvelle de Laura. Qu'elle ne va plus au travail ni à la salle de sports. Qu'elle ne répond pas non plus sur son portable. Je perds le contrôle et deviens une personne que je pensais morte depuis plusieurs années avec Giulia. Je ressens des choses que je ne pourrais même pas décrire. J'ai envie de tuer pour la sauver. J'ai un mauvais pressentiment depuis plusieurs jours et je comprend maintenant pourquoi.

Je pensais réellement qu'elle avait besoin d'air et d'espace avec moi mais si elle ne répond plus à mon frère qui est son collègue de travail c'est que quelque chose se trame. Putain ! Sa doit être l'autre coño ! Car lui non plus ne donne pas de nouvelle. Sa fais trois jours que j'ai reçus aucune menace de sa part et se n'est pas normal.

Il passe son temps à tenter de récupérer la tête de ce gang ou de mes terres. Il a du vouloir terminer son travail sur Laura en apprenant que l'on se fréquentait. On aurait dû être plus prudent bordel !

— Alejandro !!! Pequeño hijo de puta. Criais-je en colère.

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Plusieurs mois étaient passés. J'étais tellement malheureux. J'avais pensé à me suicider à plusieurs reprise mais je me répétais simplement, ta promesse... tu a promis... t'es un homme et t'a une parole.

La mère de Giulia est seule à se que je crois mais en sois je m'en fou. J'ouvre la porte sans retenue. Je ne toque pas. Je suis pas poli avec les connasses. J'ai tout appris... Elle doit le payer. Je sais tout. Je la déteste. Connasse.

— Sale pute c'est toi qui l'a tué !

Je braque mon arme sur elle sans pitié. Imaginant les jolies yeux bleus de ma petite Giu en larmes. J'ai la haine. Je n'ai plus de cœur. La seule personne que j'aimais est morte. Je dois être sans âme. Mon cœur de pierre. Un autre Dan a ressuscité de moi. Je serais le cauchemar des gens qui son à travers mon chemin. Je serais une ombre, une ombre qui servira à tuer sans réfléchir.

— Lâche ça, qu'est-ce que tu racontes ?

— Fais pas la fleur, assume !

Son faux regard de peur. Son regard de vipère, elle le change d'un seul coup. Elle reprend son assurance et me regarde droit dans les yeux. Elle affiche un petit sourire en coins. Je la classifierais de psychopathe sans cœur. Elle est fière d'elle. Elle est heureuse alors que moi je brûle petit à petit je meurs de jours en jours. Je reprends mon souffle. Il ne faut pas que je craque, surtout pas devant cette femme. Comment une mère peut-être aussi indifférente envers sa fille ? Elle fais partie de toi merde ! Tu l'a portée en toi neufs mois, neufs mois, t'a partager ton corps avec un petit être. Je ne me rappelle pas réellement de mes parents, mais je sais qu'ils avaient un amour inconditionnel pour moi. Ils doivent être déçu en voyant se je suis devenue. Je veux ma maman ! Maman ! Reviens ! Je t'aime ! Seigneur pourquoi me l'avez vous enlevé, j'ai besoin d'elle. Je veux pleurer et qu'elle me serre dans ses bras, je veux ma mère ! Rend là moi ! Pitié.

— Ouais je l'ai tuée et alors ?

J'avais reçu un poignard dans le cœur. Comment peut-on dire une chose pareil sans se sentir mal ? C'est elle qui aurais du être morte ! Je la hais. Tu m'a enlevé ma femme. On était peut-être trop jeunes... mais c'était mon arme, mon inspiration depuis si longtemps, ma force. Elle m'a fais traverser toutes mes nuits noir en y mettant sa lumière. Quand j'angoissais pour mes parents elle venais toquer et me serré dans ses bras, elle me ramenais un petit verre de lait et un biscuit. Quand je partais en voyage pour les affaires de son père elle m'attendais avec impatience. Elle m'accueillais avec amour. J'étais en fuite. Je suis un délinquant, mais elle faisais en sorte d'être ma seule maison, mon pilier. Malheureusement j'étais trop absorbé par ma vie de la nuit pour le remarquer. On était trop jeunes pour cela. J'ai l'impression de ne plus pouvoir bougé, je suis figé. J'ai partagé mon cœur. Sa me déchire de jours en jours de l'avoir perdue. Tu me manque. Si tu part... me laisse pas. Tu me manque. Je vais faire tout se que je peux et être un homme pour toi et la promesse que j'ai faite à ton père. J'ai vue ma jeunesse s'échapper. Je suis devenue un adulte trop rapidement. J'ai besoin de toi mais je t'ai peut-être casser..., je t'ai détruite. T'es morte par ma faute. On était trop jeunes pour cela ?

» [SOFTCORE] «

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— Et alors ?

Je serre l'arme entre mes mains et mord ma lèvre tellement fort. J'avais des larmes qui menaçaient de sortir. Je faisais un léger non de la tête. Comment, comment. Je soupire et passe une main dans mes cheveux. Qu'à ressentie Giulia hein ? Elle devais être tellement triste. Elle devais agoniser de l'intérieur tellement son cœur devais être serré. Je n'hésite pas plus et tire. La balle traverse son corps et je la vois partir petit à petit. Tu le mérite. Je suis un meurtriers... Un tueur... Je l'ai tuée, J'ai tué quelqu'un. Je vais allé en enfer. Pardon seigneur, je vous aime.

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꧁Fin du chapitre꧂