ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟒𝟒 : 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐜𝐢𝐨́𝐧

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✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚ [LAURA]

Après tout ses jours d'entraînement acharnés le grand moment que j'attendais depuis tant d'années va bientôt se présenter à moi dans quelques instants. Je vais enfin revoir cet ordure de Alejandro et lui montrer qui est réellement la cheffe ici. Je vais me délibérer. Il va comprendre que se sera la mort qui viendra sonner à sa porte aujourd'hui et non son ex femme.

C'est à ce moment là que je comprends que je suis devenue différente ou tout simplement que j'ai toujours été comme ça mais que je l'avais enfouie en moi.

Je décide de ne pas prendre de petit déjeuner, mon ventre est trop noué pour ça. Je pars directement me laver. Je frotte et frotte encore très fort jusqu'au sang. Tu dois te laver de tes pêcher... t'es sale. Ta du sang sur toi. Des âmes sur ta conscience... tu me dégoûte.

je m'habille toute en noires pour représenter le d'œil, le d'œil de l'enfer que j'ai vécu pendant toutes ses années par sa faute.

J'ai un pantalon et une veste en cuir, une sorte de crop top près du corps et des talons, tout deux en velours. Mon maquillage est sombre comme mon âme actuelle, j'ai colorée mes paupières en noirs en estompant bien comme une fumée, remplis ma muqueuse avec un crayon et appliquée du mascara. Tout ça fais ressortir la couleur de mes yeux bleus et me donne un regard intense.

Pour mes lèvres j'ai fais un contour violet mauve et remplis l'intérieure d'un rouge sang. Je finis par une grosse quantité de parfum que je badigeonne sur moi.

Je décide de sortir une fois prête de la salle de bain pour rejoindre le rez-de-chaussée. Avant d'arriver complètement à la vue del mio primero amor. Un des hommes à Danny l'interpelle dans son bureau. Je m'approche et écoute à la porte. Oui ce n'est pas bien mais je crains qu'à la dernière minute Danny m'écarte de cette histoire.

— Tu dois me parler de quoi petit ?

— Je surveille encore les fais et geste de l'ennemi. En l'occurrence ici El Pimente. Nous avons entendu une conversation téléphone entre lui et une autre personne ou ils disaient qu'ils devaient se retrouver à 1 Bell Slip Brooklyn pour une réunion d'affaire.

— Je vois merci. Tu peux t'en aller, je vous appelles quand j'ai élaborer un plan.

Sa faisait un petit moment déjà qu'on lui avait mis un traceur sur sa voiture pour connaître tout ces déplacement et connaître le bon moment pour attaquer, lui et le peu d'homme qui lui restait. Ce que je trouve bizarre c'était la coïncidence. Mon appartement est juste dans cette rue et même si ça fais un moment que j'y suis pas retournée, je trouve cela intrigant.

J'entends des grincements provenant du sol qui me signalent que le brun s'approche de la porte. Je m'éloigne et attrape à verre que je mime de boire. Celui ci sort de son bureau. L'homme qui était avec lui part rapidement.

— J'ai besoin de te parler.

— Dis moi.

Il ne m'écarte pas et décide de m'expliquer avec ces mots ce que sont rapporteur lui avait dit cinq minutes au paravant. J'affiche une mine faussement surprise pour qu'il ne se doute pas que je suis déjà au courant.

— T'en pense quoi ?

— On devrais aller vérifier je vie la bas quand même.

— T'apprend vite. Allons-y. Maintenant que tu as repris la tête de ton gang, tu dois être forte pour pouvoir enfin bien t'occuper de El pimente !

— Même si je rêve de le tuer avec tout ce qu'il m'a fait je ne suis pas prête, c'est sûr.

— Ne t'inquiètes pas tu le seras, j'ai confiance en toi.

Ce qu'il me dit est si touchant. Je ne sais pas mais j'ai l'impression que c'est la première fois qu'on me le dit et ça me fais du bien que l'on croit en moi et en ce que je suis capable.

Nous n'attendons pas une seconde de plus et prenons le superbe bolide à Dan. Nous arrivons après vingt sept minutes de trajet. Nous nous garons un peu plus loin pour ne pas qu'on se fasse repérer par ces mecs. D'autant plus que cette voiture on peut la remarquer à dix mille kilomètres.

Nous ne sommes pas les seuls sur ce lieu. Le colombien a prévenue ces hommes d'être près à tout moments. C'est le cas. Il envoie le signal.

Un grand nombre de ces tueur se mettent tout autour pour assurer nos arrière au cas où quelques chose se déroulerait mal.

D'un certain point de vue je suis leurs patronnes aussi alors j'ai demandée un peu plus tôt dans la matinée à des hommes qui avaient travaillés pour mon père d'aller dans l'ancienne Villa de mon grand père celle que Alej a hérité à ma place. Je leur est dis de tuer tout ce qui bougeait à l'intérieur sans aucune hésitation. À ma grande surprise ils ont acceptés pour la mémoire de mon père.

Cela faisait un petit moment qu'on était dans notre cachette et il n'y avait presque pas une seule mouche qui passait.

Ce n'étais qu'une couverture car exactement à onze heures et vingt deux minutes on aperçoit El Pimente se dirigé à l'intérieur de sa voiture. C'est une Eagle Jaguar E type. Un vieux modèle qui a été amélioré.

Le modèle d'origine date d'il y a au moins vingt cinq ans, à l'époque où est sortie le nouveau. À l'intérieur c'est plutôt rétro, vintage. Il y a un volant en bois vertical avec des compteurs analogiques et des interrupteurs. Frein à main, poignée de maintien, etc. Je suis une grande passionnée de voiture et c'est pour cela que je connais tout ça.

Je suis légèrement perdu dans mes pensées quand Danny me donne un petit coup sur l'épaule. Je comprend à son regard que c'est le moment. Par mégarde ou mal chance pour mon ex, il est seul. Nos employés l'on certifiés.

Nous sortons de la voiture sans nous faire remarqué et arrivons par surprise. Danny lui attrape les mains et appuie sa tête contre le capot de la voiture tandis que moi je les attaches avec une corde épaisse.

— Bandes de fils de putes. Vous êtes qui ?

— Ta belle blonde connard !!!!!

C'est vrai que j'ai changé la couleur de mes cheveux quand on c'est "quitté" mais il m'avais connue blonde et il m'avais détruite de cette manière.

— Quoi ?! Prononce Alej intrigué.

— Tu fermes ta gueule et rentre là-dedans. Répond Danny en l'assommant à l'aide de son pistolet.

Dan le jette à l'intérieur du coffre de sa voiture sans aucune délicatesse. D'ailleurs il n'en mérite pas. Mon nouvel allié envoie une photo à ces hommes avec le corps de l'autre enfermer dans l'arrière de la voiture, pour les alertés que tout c'est passée comme souhaité.

Il reçoit un appel tout de suite après l'envoie de l'image.

📞 ılı.lıllılı.ıllı.

— L'ordure est bien dans le sac comme prévu.

— Ouais. Nous attendons la vidéo avant d'intervenir.

La vidéo. Mais quelle vidéo ?

Fin du chapitre

Hasta la muerte [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant