ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟕𝟐 : ¿𝐌𝐢𝐞𝐝𝐨?

104 11 0
                                    

┊         ┊       ┊   ┊    ┊        ┊
┊         ┊       ┊   ┊  ˚♡ ⋆。˚ ❀
┊         ┊       ┊   ✫
┊         ┊       🍃︎⋆
┊         ⊹    
✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚                           [DANNY]

J'ai passer la journée dehors à faire des affaires, je suis tellement épuisée que je ne perds pas de temps, je commence à me faire vieux ou je ne sais pas ce qu'il m'arrive car avant je pouvais dormir deux heures et passer la journée et la nuit dehors mais en ce moment je suis très fatigué et j'ai juste qu'une envie me réfugier dans les bras de Giulia.

Je souhaite à tout pris passer le portail de ma villa, je me dis que plus vite j'y vais plus vite j'arrive et moins de souffre. Je remarque une chose anormal au loin. Sûrement un petit animal perdu qui c'est endormi au milieu de la route ou je ne sais. J'arrête la voiture et coupe le contact puis descends je vais éviter de l'écraser car cette je tue mais j'évite quand même de le faire sans raison.

Je m'approche petit à petit et je remarque de plus en plus que c'est une silhouette humaine. Ma vision me surprend, Ce n'est pas n'importe qui je reconnaît ma Giulia par terre, Dios mío c'est quoi cette histoire ? Je me demandais si elle avais bu un verre de trop avec une amie ou autre mais à la suite de cette pensé Liam me revient à l'esprit et la peur me monte, là peur ? Je n'ai presque jamais ressentie ce sentiment à part pour elle, à chaque fois que j'ai peur de la perdre je ressens de sentiments qui fais tremblé toute mon âme, je m'approche d'el mio amor avec la peur qu'elle soit morte... je ne peux pas vivre comme ça ce sentiment me consume chaque jour, la peur, la fatigue est même partie de mon corps, je tremble, mes mains tremblent, j'ai appris depuis petit à me contrôler et ne démontrer aucun signe mais mon corps d'humain me trahit, j'aurais du me faire transformer en vampires ça aurait été plus simple.

J'ai toujours cette fichu peur là finalement, dans cette vie on sait quand on commence mais pas quand on meurt. c'est la seule femme que je réussi à aimé, c'est dingue comme quoi on a tous son âme sœur.

Je me met en position accroupie et approche mes doigts de son pouls mais elle respire encore grâce à Dieux. Je panique deux fois plus car je n'ai pas sentie son pouls à elle mais le miens car mon cœur bas tellement fort qu'il relance sur mes doigts, j'ouvre alors sa bouche pour écouter sa respiration comme nous l'a appris dans une petite formation qu'on a eu car on peu pas trop aller à l'hôpital comme vous avez pu le comprendre. J'attend dix secondes et sens son souffle. Je suis tellement soulagé, j'ai les mains qui tremblent rien qu'à la peur de la perdre, je me demande si elle est en mauvaise santé alors même si j'y risque ma vie je décide tout de même de la ramener à l'hôpital. Je la soulève et la pose dans ma voiture.

Une fois arrivé sur place dés médecin s'occupent d'elle, ils l'analysent sûrement pour voir ce qu'elle a, je commence à faire le tour et je descends fumer de temp en temp. Après un temp interminable un médecin revient me parler.

— Bonjour monsieur, alors votre femme ce qu'elle a n'est pas si grave mais pour vous expliquer un peu elle a un déficit de nourriture donc faudrais faire attention à ce qu'elle mange plus car ses jours ci elle l'a sûrement pas fais correctement, si elle ne le fais pas même avec votre accompagnement à ce moment là sa deviendra une affaire à surveiller.

— Ça fais trois jours que je travail donc je n'ai pas pu faire attention à elle mais je m'en occuperais ou je demanderais à quelqu'un de ma famille de le faire.

Quand je dis quelqu'un de ma famille je pense au membre de mon gang qui song devenue tout comme. Ils ont toujours été là quand j'en avais besoin et sont fidèle à leurs camps.

— Nous allons lui faire d'autres testes par simple précaution...

Son ton de voix ne me rassure pas tellement, d'ailleurs ils m'ont demander mon nom et prénom, vus que je suis le frère de Rob je me suis fais passer pour lui comme la dernière fois. mais bon c'était pour la bonne cause ! Il le saura sûrement jamais alors ce n'est pas si grave non ? Je serais prêt à tout pour Giulia, elle et moi jusqu'à la mort. Elle aurait sûrement fais pareil, j'en suis même certain.

Le docteur repars à ses occupations et je recommence à angoisser, il m'a certes dit que ce n'étais rien d'important mais j'ai tout de même peur qu'on me mente pour me rassurer, je ne serais pas tranquille jusqu'à ce que je ne la vois pas de mes propres yeux. Il commence réellement à faire tard et mes yeux se ferment tout seul depuis que je me suis assis sur cette chaise, je me lève donc et prend un café à la cafétéria qui me donnera sûrement de l'énergie, je reste débous et le bois rapidement, franchement il est ignoble et a le goût de carton mais bon j'y fais pas trop attention finalement. Je redescends pour fumer à plusieurs reprise et remonte, j'arrive pas a rester en place c'est horrible, c'est sûrement moins grave que la dernière fois mais je suis deux fois plus inquiet car les souvenirs de la dernière fois me rendent triste, aujourd'hui nous serions sûrement papa et maman, je m'imagine avec un petit enfant dans mes bras se serais tellement incroyable que je me met à sourire comme un con au milieu de cette hôpital où de nouveaux naissances arrive, ou des gens meurent et d'autre survivent, une lieu où des milliers d'âmes son coincé voulant rejoindre l'un des deux côté mais sont emprisonnés ici.

Fin du chapitre

Hasta la muerte [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant