ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟒𝟐 : 𝐓𝐫𝐚𝐢𝐝𝐨𝐫𝐞𝐬

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✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚                           [LAURA]

Un bruit me réveille, je décide d'aller voir dehors. J'ouvre ma porte et à ma grand surprise je découvre Danny endormi devant celle ci. Je ricane et m'accroupis devant lui profitant de cet instant pour analysée chaque trait de son visage. Il est magnifique. Je passe une main dans ces cheveux, ils sont doux. C'est vraiment agréable.

Il ouvre les yeux et je sursaute. Je manque de tomber en arrière mais il m'attrape le bras d'une ferme poigne.

— Merci, je serais peut-être morte sans toi.

Il me sourit. Putain ce sourire est vraiment magnifique... il fait fondre mon cœur.

— J'étais venu te dire bonne nuit mais tu dormais déjà.

— Bonne nuit alors.

Je lui fais un bisous sur la joue et me remets debout. Il me regarde presque perturbé mais je me dis que cela doit être une simple impression. Puis il fait de même et pars vers sa chambre. Je fais n'importe quoi... je pars me re coucher mais il est difficile pour moi de me rendormir.

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║██║Bubble Gum - Clairo
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🌻 Jours 6 🌻

Le lendemain Danny me ramène dans sa cave glauque de nouveau et me donne une arme. Elle est très jolie et je pense que je suis là seule à dire ce genre de chose car c'est un objet pour ôter la vie des gens. Elle est de couleur or avec certaine strass sur le haut.

— Pourquoi tu fais cela ? Demandai je.

— Attend une minute et tu verra.

Il m'amène dans une autre pièce de la cave. Deux hommes ligotés y sont présent.

— Ses deux connards ont voulus m'enculer dans l'échange. Fait leurs dire d'où ils viennent et occupes-toi d'eux comme une vraie mafieuse.

je n'ai jamais fait ça moi. Celui qui s'occupait de ce genre de boulot où il fallait se salir les mains c'était Alejandro. Malheureusement il y'a un début à tout alors je prends mon courage à deux mains et vise mon arme vers l'un des hommes.

— Alors tu a perdu tes couilles Rodriguez ? Tu laisses une femme faire ton travail à ta place. Tu me déçois beaucoup heheheh. Prononce le premier gars.

— Non je m'en branle de vos gueules. Vous êtes maintenant ces nouveaux jouets. Répond Danny.

Je prend mon courage à deux mains. J'ai peur oui. Je suis Laura moi ! Pas une mafieuse ! Que ferais une mafieuse dans cette situation ? Elle serais impitoyable ! Elle serais courageuse ! Je suis Gi- Je suis courageuse ! Comme de les films vas-y !

— Toi ferme ta gueule où je te tire dessus et t'aura un beau trou du cul entre les deux yeux.

Oui ! Comme ça Laura ! Parfais ! La balle est dans ton camps.

— On te connait connasse et on sait que tu ne vas jamais tirer, tu en est pas capable.

— Et qui te dit ça ?

Non... Laura... ne perd pas confiance ! On t'a appris à tenir cette arme. Tu n'as pas peur bordel.

— Tu as perdu ton gang justement parce que tu laissais toujours les autres faire le sale boulot pour toi.

Il me dis vaguement quelques choses... Des souvenirs me reviennent rapidement. Cet homme travaillait pour moi et mon "ex".

— Ah c'est toi le connard de Roméo !

— Eh ouais bingo chérie !

— Donc là c'est ton petit frère Loreto !

Je me tourne et vise mon arme vers l'autre. Voilà ! Une vrai tueuse.

— S'il te plaît ne me tue pas ! Dit lui tous Roméo s'il te plaît. Prononce tristement Loreto.

— Si il ne parle pas je te tire dessus. Tu sais à quoi t'attendre maintenant, dis-je en souriant.

Je me force à sourire. J'aime pas ça... Je ne pense pas être capable de tuer quelqu'un.

— J'men bas les couilles tu ne tireras pas t'en est pas capable. Crache Roméo.

— Ah bah t'as l'air sûre de toi.

J'enlève la sécurité de mon arme. Ils ont peur. Je le vois dans leurs pupilles. Je ricane. Mais mon cœur lui se serre. J'aime pas ça ! Je suis... G. Non je suis pas encore prête à le prononcer. Laura Moretti. Ferme les yeux toi aussi tu souillera encore plus cette âme que vous avez en commun.

— On fait moins le malin-là. Parle ou je tire !

— JAMAIS ! Crie Roméo.

Je lance un regard vers Danny. Je suis paniquée pars ce que je vais devoir faire, ces yeux me le confirment. Il faut que j'aille au bout de ses entraînements. Il me donne de la force. Il m'empoisonne. Il manipule mon corps rien qu'à son regard.

Ce sont des traitres qui étaient dans mon gang avant. Ils ont préférés me trahir pour ce bâtard de Alejandro ! Je dois les éliminés... Pour mon grand-père qui n'aurais jamais permis que des hommes comme lui reste à faire de la merde sur cette terre. Je me demande comment un homme aussi doux que lui pouvais être à la tête d'un business aussi crasseux.

— Ok tu l'auras voulu. Dis pas que je ne t'ai pas prévenue.

Sans réfléchir une seconde de plus, je tire sur Loreto. Une balle dans la tête. Le bruit résonne en moi et fais crispé mon visage. Oh mon dieux... J'ai peur de moi maintenant. Mes yeux s'écarquillent de surprise. Reprend toi tu perd tes sens... Je tremble... Reprend toi ! Danny me touche le bras et je me canalise petit à petit. L'homme meurt sur le coup à cause de son frère. J'ai les mains sales... Je suis sale bordel !

— Putain ! Sale pute ! Hurle-t-il.

— Alors c'est qui l'incapable maintenant ?!

Danny me ramène une valise avec tout un arsenal de torture. Je comprends immédiatement où il veut en venir.

— À nous deux maintenant. Tu vas parler ?

— Jamais !

Je regarde rapidement le contenue et prends la première chose qui viens. Une pince. Je m'approche de lui. Mes dents se serrent. J'en suis sûrement pas capable... Je ne dois pas perdre la face... Pour toi Danny ! Pour toi je me salie encore une fois ! J'ai peur que cet homme voit ma faiblesse dans le regard. Je respire un bon coup et lui arrache une ongle. Il prononce un crie strident... Je suis horrible !

— Mais putain tu es devenue complètement malade !

— Alors parle ou je continue !

Il ne parle toujours pas. Je dois continuer... Parle... Tu abrégera tes souffrances et les miennes. Je continue... Je n'éprouve aucun plaisir à le faire. Ai-je vraiment été cette femme ? Aimais t'elle tuer ? J'arrache encore ces ongles... Je l'ai même ouvert avec un scalpel mais toujours rien. Il s'effondre complètement dans les vapes.

— Ramène-moi un seau d'eau froide ?

Dis-je complètement paniquée. Le brun me dépose un seau d'eau gelée que je jette dans la tronche à Roméo dans le but de le réveiller. Cela marche car il ouvre les yeux.

— Tu t'es enfin décidé à parler ?

— C'est ce connard qui t'a changé comme ça ? Tu sais c'est qui pour toi au moins, sale pute ? Tu as fait quoi ? Écarter tes jambes pour qu'il y rentre sa bite de merde ! Grosse pute !

— ta gueule sale chien. Tu ne parles pas de Danny comme ça ! Tu ne sais rien sur moi !

Je lui mets un coup de crosse avec mon pistolet ce qui l'achève. Je suis allée trop loin dans la torture et le coup y était de trop. Connasse de Giulia !

— Petite merde. Tu n'étais qu'un sale faible !

Fin du chapitre

Hasta la muerte [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant