Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟑 : 𝐍𝐨𝐫𝐦𝐚𝐬

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✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚✧ [ALEJANDRO]

Encore un nouveau jour..., un nouveau jour ou je vais souffrir et devoirs tuer pour être heureux.

Son sourire m'a fais sourire mais pour une raison que je ne comprendrais peut-être jamais quand je la vois j'ai envie de la tuer mais quand je suis loin je l'aime. Parce que je sais que son coeur ne m'appartiendra jamais.

Si cette homme n'avais pas été là j'aurais été le premier, celui qu'elle aimerais. Je sais que le premier jour ou je suis venus chez elle j'étais encore assez jeune et son père voulais me recruter parce qu'il avais entendu que j'étais assez performant. Enfaite j'aimais beaucoup l'informatique et je me suis préformé dedans à force d'être seul et m'être réfugié dans l'univers du gaming. Je n'avais pas vraiment d'amis parce que les gens ne m'aiment pas, mais en réalité je m'en fichais pas mal.

Un jour on m'a demandé de rentrer dans une plate-forme pour deux cent dollars et je l'ai fais. J'étais encore insouciant et je savais pas que ce monde me porterais a être encore plus fou. Le fait de voir ma mère souffrir avais fais que je voulais qu'elle se sente unique, qu'elle possède le même sourire que cette star qu'elle admirais tant à la télé. J'étais encore tout timide, je portais des lunettes à cette époque je m'en rappelle. J'étais tout skinny et mes cheveux étaient longs. J'avais peur de tout, surtout des rats, c'était ma plus grande phobie.

Je me lève et prend mon flingue. Je suis timbré mais je ne bois pas vraiment et ne fume pas. J'ai appris auprès du père de Laura que il ne fallait jamais tomber dans la dépendance de son propre business, règle numéro un.

La règle numéro deux étais de ne jamais aimer, j'ai aimé... Je l'ai su quand j'ai vue son sourire. J'avais la tête basse. J'allais rencontrer le grand et majestueux père de nous tous. Un homme très puissant que rien qu'à sa simple énergie ton corps entier pouvais brûler. J'avais levé cette tête qui ne souhaitais que regarder le sol et s'y perdre. Je pensais tomber sur El padre mais non j'étais tombé sur des yeux bleus... pas ceux que je pensais voir, ceux d'une femme, une blonde, une très belle blonde. Je pouvais voir à ses racines que c'était une décoloration mais rien que son regard m'avais tué. Elle m'avais scruté de haut en bas puis elle était repartie derrière. Elle était magnifique et j'étais laid. J'avais compris à ce moment là que je devrais faire des efforts, beaucoup d'effort pour être à sa hauteur.

J'avais commencé le sport. Je voulais être puissant et fort pour elle. Je voulais qu'elle me vois comme je la vois. Je suis partie me faire faire des lentilles avec la première bourse que j'ai eu. J'ai changé, coupé mes cheveux. Je me suis amélioré pour elle mais quand elle me voyais c'était comme s'il y avais un mur entre nous.

Cet homme arrivais toujours et son regard pour lui était pétillant et lumineux, elle était joyeuse, elle souriait, un sourire que jamais j'oublierais. Elle levais la tête pour plonger ses yeux dans les siens et mon cœur ce brisais en mille morceaux et au lieu de détourner ou baisser le regard comme le premier jours ou je l'ai vue j'ai continué de les admirés. Mon cœur était remplis de haine. Jamais, je dis bien jamais on m'aimera, et je le mérite. Je vais mourrir sans amour, sans un câlin. C'était mon plus grand rêve, qu'on me dise je t'aime. Mais qui aimera ce petit canard noir ? Personne ! Je dis bien personne !