Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟕𝟒 : 𝐀𝐦𝐞𝐧𝐚𝐳𝐚

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          ˚✧                           [DANNY]

J'arrête pas de tourner en cercle dans ce maudit hôpital, Putain ils prennent mille ans et je m'inquiète-moi ! En plus le café que j'ai pris me rend encore plus nerveux. Quelqu'un s'approche enfin de moi.

— Vous êtes bien le petit ami de mademoiselle Moretti ?

— Oui c'est bien moi.

Je l'avais dit avec fierté et j'avais même bombé le torse, qu'elle mouche ma piquer à moi.

— Voici les résultats du test, elle n'a pas eu de soucie donc normalement elle pourra sortir dès demain.

J'avais écouter son bilant, elle n'avais aucun problème de sang ni de santé enfaite c'était juste une accumulation de stresse et le faite qu'elle n'ai pas manger correctement ses jours ci avais appuyé la baisse de ses défenses immunitaires.

— Okay je comprend mieux.

— Si vous voulez vous pouvez rester avec elle cette nuit.

Elle me sourit gentiment.

— Merci beaucoup.

Elle me donne le numéro de sa chambre et je me dirige vers celle ci rapidement pour aller a l'encontre de ma princesse aux bois dormant. J'ouvre la porte doucement et la vois allongée sur ce lit d'hôpital, mon cœur ce brise à cette vision, ça me fait du mal de la voir comme ça, si inoffensive mais je me dis que au moins maintenant je suis près d'elle et pas comme la fois où elle a eu son accident et qu'elle devais se sentir perdu et seule. Je haïs les hôpitaux, ça me rappelle l'époque où mon frère allais se bagarrer pour vingt dollars et qu'il s'y retrouvait souvent blessé.

— Mon amour, je suis désolée...

— Pourquoi ?

J'étais surpris qu'elle s'excuse alors que tout cela n'étais pas de sa faute loins de la, j'aurais dû faire attention à elle donc c'est plutôt à moi qu'il faudrais en vouloir.

— Je le vois bien ce lieu ne te plaît pas, même si ça n'enthousiasme à personnes je sens qu'il y'a un truc, la dernière fois tu t'es même échapper très rapidement comme si il y avait le feux alors que c'est moi qui devrait commencer à ne plus supporter ce lieu qui m'appelle toujours. Tu ne voudrais pas me raconter ce que t'as ?

— Je... ce n'est pas si facile.

— Viens à côté de moi, je voudrais te sentir proche s'il te plaît... ses jours ci ta présence ma manqué.

Je suis réellement bloqué alors quand elle me demande de venir je ne bouge pas même si ce n'est pas l'envie qui me manque. Je me sens mal a l'aise et je ne comprend pas pourquoi d'ailleurs.

— Vient s'il te plaît.

Je lis de la tristesse dans ses yeux mais pourquoi ? Je finis par m'approcher d'elle et m'assois sur son lit, elle se décale un peu et me propose de m'allonger, je m'exécute ne voulant pas la frustrer. Elle commence à caresser mes cheveux délicatement comme pour me faire rentrer en confiance.

— Ne panique pas tu es avec moi, me rassure-t-elle.

Elle dépose délicatement ses lèvres sur les miennes. Nous nous endormons à l'unisson dans ce petit lit simple en discutant de dessins animés que nous regardions petit.

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Ce matin je me lève en premier et remarque un bouquet de fleur fraîchement déposer sur la table de nuit et je suis certain qu'il n'y était pas présent hier, c'est bizarre, je me lève regarde s'il y'a une carte à l'intérieur, et entend Laura gigoter sur le lit car elle se réveille.

— Tu fais quoi ?

— Tu a prévenu quelqu'un de ta présence à l'hôpital ?

— Non pourquoi ?

— Regarde, tu as reçu ça.

— Bizarre, il y'a une note qui l'accompagnait ?

— Oui attend on va la lire ensembles.

| Je pense que si tu tombes sans que je te touche c'est que tu es plus faible de ce que j'ai imaginé.
Je pourrais vous tuez sur ce lit,
mais bon je suis si gentille... |

Laura et moi nous nous regardons avec la même expression, je sais qu'on se comprend rien qu'au regard sans même nous adresser un seul mot pour débattre, c'est un sorte de lien qu'on avons toujours eu. J'ai tellement peur qu'il lui arrive quelque chose et par ma faute en plus, ce jour là au Central Park j'aurais réellement du faire comme si je la connaissais pas du tout et ne faire aucunes recherche sur elle au moins elle serais tranquille dans son petit appart sans vivre avec la peur d'être tuer à tout moment.

— Liam !!!

Nous avions criées ce prénom à l'unisson .

— T'as tout compris ! mais comment est-elle rentré ? Il n'y a pas de sécurité ici ou quoi putain !

Je réfléchis pendant quelques seconde et un élément important me reviens alors je décide de le partager à haute voix.

— Rappelle-toi qu'elle nous a dit être sage-femme en France et sa pourrais peut-être lui ouvrir des portes, elle peut avoir fait de faux papiers pour rentrer dans cette l'hôpital et elle c'est sûrement fais de nouveau contact qui pourraient l'aider par pitié car elle sait bien faire la victime.

🚪Toc Toc.

Quelqu'un frappe à la porte et voyant qu'elle voulais se lever pour aller ouvrir je lui chuchote discrètement.

— Tes débile ou quoi ?! Sa peut-être l'autre tonta !

Elle fais mine de ne pas m'avoir écouter et répond.

— Oui ?

— C'est l'infirmière.

— Oui , rentrée.

Je soupire de soulagement, heureusement je m'étais trompé mais si sa aurait réellement été quelqu'un d'autre qu'aurait ton fais ? Madame n'en fais qu'à sa tête et sur le moment sa m'énerve assez car il ne faut plus prendre de risque.

꧁Fin du chapitre꧂