Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟓𝟏 : 𝐓𝐫𝐚𝐧𝐪𝐮𝐢𝐥𝐨𝐬

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✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚✧                           [LAURA]

Danny et moi voulions essayer de récupérer le temp perdu pendant toutes ses années séparer. Il a décidé de laisser Almerio à la tête de son gang pour pouvoir passer du temp avec moi, personnellement j'ai fais pareil avec l'un de mes hommes. Je dois toujours tester ceux en cours de recrutement alors je vais quand même prendre un petit moment aujourd'hui pour aller les voir personnellement. J'ai envoyer un message à l'homme mystérieux pour qu'on se rencontre dans une ruelle.

J'appréhendais légèrement ce moment avec un petit pincement au cœur. C'est la première fois que je vais faire ce genre de rencontre alors j'ai peur de ne pas être à la hauteur.

Je m'habille tout en noir, attrape mon arme et sors de la maison. Je lève la tête et marche droit d'un pas déterminé. Je porte des lunettes de soleil noir pour moi aussi me donner un côté intrigant.

Quand j'arrive d'avant la fameuse rue je me répète en boucle que je dois être sûr de moi, fatal et forte. Je n'ai rien dit à Danny j'ai juste dis que j'allais voir une amie mais bon c'est faux.

Je chercher l'homme de vue. Je cherche plus précisément un petit gros crâne chauve mais là seule silhouette que je rencontre c'est un homme qui porte un gilet et une capuche. Je m'approche pour le voir de plus prêt. Il m'a l'air plutôt jeune, un peu près mon âge. Je suis même surprise de voir qu'il est beau.

Je m'arrête attendant que la personne que j'attend arrive, je sors une cigarette que j'allume. Le sol est mouillée, il a sûrement plue hier. Je fais celle qui l'allume mais respire juste l'odeur, je préfère être une fumeuse passive. Je soupire et regarde l'heure sur ma montre, l'homme de tout à l'heure s'approche de moi sûrement pour m'emprunter mon briquet.

— Excuse-moi ?

Cet voix, je la connais c'est certain, mais ce n'est pas possible.

— Mademoiselle ?

— Euh oui ? Vous voulez mon feux ?

— Je veux bien mais vous n'êtes pas Giulia ?

— Oh, euh oui ?

— Je vous cherchais. C'est moi l'homme du Dark Web

Je manque de m'étouffer avec ma propre salive. Je cligne plusieurs fois des yeux me disant qu'il se moque de moi, cela doit-être son fils ou quelque chose de la sorte il ne peu pas être aussi jeune et beau et vouloir travailler pour des choses illégales alors qu'il pourrait être mannequin.

— Votre nom ?

— Chaque chose dans son temp. Qui me prouve que vous n'êtes pas une infiltrée de la police ?

Je ricane et il poursuit.

— J'ai vue votre tête à plusieurs reprises sur les journaux. Je ne l'ai pas oublié, vous êtes plutôt une femme marquante.

— Dans le sens positif j'espère.

— Cela ne m'aide pas plus à vous accorder ma confiance, ni mon identité.

— C'est à moi d'être méfiante avec vous et je n'ai pas mon temp à perdre avec des gamins.

Bien dit Giulia.

— Je dois en dire autant.

— Sois vous me faite confiance sois vous pouvez aller voir ailleurs.

— Nous n'allons pas allez loin.