Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟒𝟗 : 𝐃𝐚𝐫𝐤 𝐖𝐞𝐛

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✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚✧                           [LAURA]

Je rentre chez moi et claque la porte, heureusement que Stef passe régulièrement s'occuper de Diams sans trop me poser de questions.

J'attrape mon téléphone et recherche la fameuse vidéo que Almerio a poster. Je la regarde presque surprise de voir que c'est moi sur cette vidéo. Une personne détruite qui ne pourra plus jamais être heureuse car elle possède de nombreux traumatismes.

Je remarque qu'il y a des commentaires et je regarde rapidement ceux ci. Je regarde le profil de certain et leurs envoies des messages privés pour savoir si ils aimeraient travailler avec moi. Certain acceptent d'autre disent qu'ils ne veulent pas avoir à faire avec une femme. Je demande le numéro d'un certain homme au nom de Xlocox. Il me le donne et je l'appelle.

📞 ılı.lıllılı.ıllı.

— Salut.

— Bonsoir.

Sa voix était agréable, une belle voix d'homme imposant mais doux à la fois, un homme qui quand te caresse doit être très tendre.

J'attrape une sucette à la fraise vanille et me jette sur mon lit tout en la dégustant.

— Alors dit moi tu sais tirer ?

— Affirmatif.

— Parfais.

— Tu serais près à travailler pour une femme ?

— Oui, femme ou homme, cela me pose aucun problème.

— Ton prénom.

— El loco.

— Ton prénom pas ton surnom.

— Je ne peux pas vous transmettre cette information pour le moment, mais quand je vous ferais confiance je le ferais avec grand plaisir.

— Je vois ?

Je ne savais pas tellement comment réagir à cela. Après tout je n'ai jamais été là chef d'un gang, d'un truc aussi risqué.

— On pourrais se rencontrer ?

— Bien sur. Dit-il. Quand ?

— Quand je l'aurais décidé.

Je termine ma phrase avec une vois autoritaire et raccroche. J'explose de rire. C'est incroyable de mener la danse comme cela. Je me sens comme mon père, quelqu'un d'important. J'appelle d'autres personnes et finis la soirée avec un petit verre tranquillement devant la fenêtre de ma chambre, l'air est agréable et l'été arrive bientôt.

Je pensais à beaucoup de chose mais surtout de ce qu'il c'est passé avec Dan. Je me sens mal d'avoir parlé de tout cela, je me sens tellement honteuse de parler de tout ce que m'a fais Alejandro, mais surtout qu'il est essayer de me violer à plusieurs reprises.

Je m'ennuie enfaite je trouve pas le sommeil alors je vais sortir et aller faire une course. Je sais que aujourd'hui c'est le jour où on joue à plusieurs. Je me change et met des cuissardes rouges et une robe noir dos nue. Je descends mon immeuble et reçois un appel de Danny. Je répond par curiosité et il me dit sans attendre.

— Tu va bien ?

— Je suis heureuse que tu te préoccupes pour moi mais ça va.

Je sourie contente qu'il s'inquiète pour moi. Un coup de feux retentit et je sursaute me demandant d'où sa venait. Je sens mon corps trembler, j'essaye de remplir mes poumons de cette air agréable. Je baisse mon regard et regarde le sang qui s'écoule le long de mon corps. Il sort de moi ? Je vais mourrir ?!

— Oh Dió mío, tu est où ?

L'intonation de sa voix était presque apeurée. Si je connaissais pas assez Danny j'aurais dit que c'était le cas. Je lui dis entre deux trois mots ou est ma position. Le troue noir était présent pour moi, j'avais l'impression d'être semi consciente car j'entendais un peu ce qu'il se passait autour mais c'est encore brouillé. J'entends une personne parler non loins de moi.

— La balle n'a pas toucher ces organes alors elle devrait se remettre sur pieds rapidement. Mais faudra lui faire d'autres analyses car on pense cela nécessaire.

J'entre ouvre les yeux et j'ai la sensation d'être à l'hôpital, cette odeur désagréable y'a que des gens comme nous qui pouvons la reconnaître. Danny s'approche de moi et s'assoit à moitié sur le lit. Il attrape ma main délicatement et plonge ces yeux verts dans mon regard, il ne dit rien et ma gorge se serre légèrement. Je vois dans ces pupilles de la peur et du soulagement en même temps comme si il s'inquiétait pour moi.

Danny m'aime tu vraiment ? Je ne peux pas être aimé moi car je ne saurais pas te redonner se sentiment renfermé en moi.

— Je suis heureux que tu aille bien.

Quand il décide enfin de parler ça voix est grave, presque cassé comme si il était malade mais c'était pas le cas. A-t-il pleurer ? Mon cœur me fais pression je ressens des choses improbables qui me fond peur. J'étais sûr à un moment de ne plus l'aimée mais je me suis trompée, si j'en crois mon cœur qui s'accélère à chacune de ces paroles.

— Tu passera deux jours à l'hôpital pour voir ton évolution... Continus t'il gêné.

Il se frotte l'arrière de la tête. Il est mignon comme ça, c'est la première fois que je le vois perturbé.

— D'accord...

Une envie de vengeance me prend, celui qui m'a fais ça va me le payer car j'en suis sortie vivante malheureusement pour lui. Si je n'étais pas au téléphone à ce moment là j'aurais sûrement été morte à l'heure actuelle.

— Tu a vue qui t'a fais ça ?

— Non...

— Tu pense que c'était un avertissement ? Car une personne qui tire exactement dans un endroit qui ne va presque rien te faire c'est curieux.

— Sûrement, après je n'ai pas d'ennemi alors je -

Il m'arrête en mettant son indexe sur ma bouche.

— Non, tu n'a pas d'amis plutôt, c'est ça que tu doit dire. Les ennemis sont partout pour toi aussi maintenant, tu dois t'habituer à sortir armé et sur tes gardes. Ce n'est pas un jeux, des milliers de personnes on vue la vidéo sur le dark web.

— J'ai vue... Et tu pense que ça peut-être l'une de ses personnes ?

— Je ne pense pas, j'analyse la situation. La vie n'est pas faite de conclusions active sinon on pourrait faire un monde entier avec des si. Mais cela est probable n'oublie pas que Alejandro a une sœur cachée qui à tout moment peu venir se venger de nous pour avoir notre peaux.

— Je vois...

— Bon je vais devoir y aller.

Il lâche ma main et se lève. Je n'ai pas envie qu'il parte... Je me soulève un peu et attrape son bras. Je grimace légèrement de douleur.

— Reste couchée. Que veux tu me dire ?

— Je... non, enfaite je voulais savoir de quelle examens parlais le médecin.

— Je ne sais pas vraiment je comprend rien au hôpitaux mais je dois pas rester longtemps ici.

Il se détache de moi et pars. Une infirmière me ramène le dîner mais franchement je me sens mal ici et je n'ai qu'une envie retrouver mon lit. Je me lève avec difficulté et cherche mes habits mais je ne trouve rien.

Je surveille que personne ne me regarde et je sors de la chambre. Je fais comme dans les films tout le long. J'ai réussie à ne pas me faire voir et je sors de l'hôpital. Je prend le premier taxi et rentre chez moi.

꧁Fin du chapitre꧂