Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟗 : 𝐌𝐢𝐬𝐢𝐨́𝐧

┊ ┊ ┊ ┊ ┊ ┊
┊ ┊ ┊ ┊ ˚♡ ⋆｡˚ ❀
┊ ┊ ┊ ✫
┊ ┊ 🍃︎⋆
┊ ⊹
✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚✧ [DANNY]

J'avais attendu en tapant du pied. Je suis impatient. Je soupire. Putain... je suis mauvais, un putain de monstre. Almerio revient quelques minutes plus tard.

— Alors vous l'avez trouver ?

— Ouais. Il est dans l'ancienne maison à sa vielle tante.

— Putain j'aurai du m'en douter. Vous attendez quoi là ?? On part en mission tout de suite !!

— Mais Danny tu connais les règles tu ne peux pas envoyer les gars en mission pour une femme qu'ils connaissent même pas.

— Ouais je sais. Mais c'est pas n'importe qu'elle femme. Je le sais, je le sens. C'est la fille d'El Padre. Putain bouger vous ! puis on devait le choper alors là se sera l'occas. Go on y va !

— Tu as perdu la tête hermano ? La fille de Lorenzo ?!

— Oui ! La fille de notre chef !

— Danny... t'as fumé ?

— Non putain !

— Peut-être qu'elle lui ressemble mais se n'est pas pour autant qu'il faut penser à des choses aussi extrêmes. Elle est morte depuis longtemps. Puis on a tous six ou sept sosie dans le monde.

— Non, non merde ! Tu te rappelles de se que tu m'as dis ? Sur le gang tout ça. Son  grand père Ricardo était le chef et elle devais l'avoir après l'accident, parce qu'elle devais rester loins de moi. C'était sa mère ! Sa putain de mère !

— Sa mère ? Bon Dan, j'ai compris on y va.

Les gars sont choqués par les mots que j'ai prononcés. Mais c'est vrai. Ont la pensait tous morte parce qu'on nous as dit ça. C'est pour cela que j'ai hérité de se qui devais lui appartenir. Son père m'a tout appris et il me l'a laissé avec confiance à sa mort, à la seule condition de ne jamais abandonner. C'est d'ailleurs pour cela que je suis en guerre avec Alejandro car il à toujours voulu être le beau frère et non l'intrus.

Nous partons tous vers la vieille maison de Alejandro. Elle se trouve à une heure de route de ma villa. On y fonce a toutes vitesses, sans même pas prendre la peine de s'arrêter aux feux rouges.

On arrive sur place en seulement trente minutes. J'étais fou de rage. Il avais osé mettre les pieds chez moi et là kidnappée sur mon propre toit. Je pensais au départ qu'elle était partie en douce mais je me suis trompé. Qu'elle idiot je fais. Un putain de Muños est rentré dans ma foutu baraque sans même que je m'en aperçoive !

— Vous vous placez tout autour de la maison. Ne vous faites surtout pas repérer. Je veux aucun bruit tant qu'on n'a pas ce fils de pute entre les mains.

— Si ! Jefe ! Avaient-ils tous répondus en cœur.

On suit le plan à la lettre comme je l'avais dis. J'ai  tellement les nerfs que j'ai du mal à me controlé. Je fracasse tous ces hommes un à un. J'en fais qu'une bouchée. J'ai le sang qui bouillonne. Cet homme a gâché ma vie et je compte bien lui faire regretter. Il va même prier pour mourir.

Nous arrivons enfin à la source. Alejandro est confortablement installer dans son bureau. Je le tiens en joug sans hésitation.

— Ah donc c'était toi qu'elle attendait. Le grand Danny Rodriguez vient sauver son ex-meuf hahaha. Si j'avais su que tu allais venir me rendre visite j'aurais prévu un meilleur accueil. Je lui aurais fait crier mon nom pour qu'elle souffre encore plus cette petite puta. Je te préviens Danny, ta seule chance de la récupérer c'est qu'on se fasse un combat à l'amiable. Pas d'armes, juste nos poings. Si tu me tires dessus un de mes hommes s'occupera de la tuer. Mais avant il lui fera souffrir le martyre. Il y'en a un qui à même dis que ses cheveux le rendais fou... Grrr

— C'est quand tu veux mauviette. Fais bien attention à ce que tu dis.

D'habitude c'est Roberto qui se bat, moi je suis plus dans les courses de bagnoles. Je me débrouille très bien aussi de ce côté-là mais bon c'est pas ce que je préfère. Mais là, c'est nécessaire. Je ne laisserai pas Giulia mourir pour de vrai cette fois. Je ne laisserai personne me l'enlever une deuxième fois. Même si je ne finis pas ma vie avec, je veux au moins l'avoir en vie.

Nous déposons nos armes dans une boîte qu'il ferme à clés et nous partons dans une pièce qui ne possède ni meuble ni sorti. On nous y enferme. C'est peut-être un piège mais je n'ai pas peur de lui. Il me lance un premier coup et je rapplique. J'envoie tout ce que j'ai. Pour vous décrire à quel goût est la sauce et bien. J'ai mal, mal au coeur parce que je veux la serrer dans mes bras. Mal parce que je sais qu'elle m'a oublié. Mal parce que rien ne sera comme avant. J'ai aussi de la haine, je le hais. J'ai peur, peur de perdre, de la perdre encore. J'ai soif, soif de vengeance. J'ai faim, faim de victoire. Je suis heureux, heureux qu'elle sois en vie. J'ai confiance, confiance en moi. J'ai la rage. Je veux le détruire. Il est en sang. Je finis par l'assommé avec un uppercut bien placé pour pas le tuer. Je me retiens. Pas encore. Je lui réserve mieux, encore mieux. J'en ai pas fini avec lui le jeu ne fait que commencé.

— Ils ont dû la mettre dans le grenier. Couvre-moi, je monte !

Almerio s'occupe de me couvrir. Cet homme est une bénédiction. Je l'ai rencontré par hasard. Il cherchais un petit boulot et je lui ai confié une petite mission. Il devait passer la drogue de Miami à la Colombie, mon pays natale. Il l'a fais à la perfection. Je lui ai ensuite confié un vole. Il l'a réalisé sans problème. Petit à petit il a réussi à gagné ma confiance et aujourd'hui je sais que se n'est plus un de mes hommes, mais un frère.

Il a été là pour moi quand je pensais avoir perdu Giulia. Il m'a soutenue et m'a prêté son épaule pour enfin montré se que j'avais dans le cœur. J'ai pu me libéré. Ce jours là j'avais bu, fumer et je voulais libérer mon cœurs. J'avais crié et même pleuré, mais il ne m'avais pas jugé il avais continué à me respecté. J'ai compris à ce moment là que je ne devais pas le tuer pour avoir vue mon vrai visage, mais l'admirer car il a su me rendre meilleur.

Je surprends un homme qui est devant la porte et le frappe sans hésitation avec mon arme. Il tombe au sol inconscient.

꧁Fin du chapitre꧂