Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟒 : 𝐁𝐨𝐫𝐫𝐨𝐬𝐨

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   Il s'en va et je reste seule avec son frère, dans la voiture ça ne me gênais pas mais ici ça en devient
presque insupportable.

— Est-ce que je peux savoir ce que tu fuyais au juste ? Tenta-t-il.

— Je savais que ça n'allait pas être aussi simple de te demander de ne pas poser de question... enfaite, Je-je fuyais mon ex. Il était en bas de chez moi, pour je ne sais quelle raison.

J'espère que je ne parais pas trop faible, c'est vraiment la dernière chose que je veux mais quand je parle de lui, juste l'idée de la relation que l'on a pu avoir me mets dans cet état de vulnérabilité.

— Je ne veux pas te forcer à en parler...

— Ça va ne t'inquiètes pas. Mais je ne suis pas la fille que tu penses...

— On a tous un passé, on a tous nos secrets et nos regrets.

Il est si compréhensif, c'est fou.

— Bon je vais rentrer...

— Tu es sûre que ça va aller ?

— Oui, je suis pleine de ressources ne t'inquiète pas.

— Est-ce que je peux te passer mon numéro ?

— Tu prends le risque que je ne t'appelle jamais là, le préviens-je.

— Si dans la soirée, je ne reçois rien de toi, je trouverais ton numéro par tous les moyens.

— Ne passe pas par Roberto, sinon c'est trop facile.

— Marché conclu.

Il me ramena chez moi, Stefanie m'avais demander si on pouvais ce voir pour faire les boutiques, j'avais un peu peur de revoir Alejandro mais je préfère être avec elle que de me tourner les pouces tout le reste de la journée et d'angoisser. 

J'attrape une robe violette et une paire de talons blancs puis un petit sac également blanc pour faire un rappelle, je mange un petit sandwich que j'ai fais avec ce qu'il me restais sous la main et je pars rejoindre Stef, nous faisons les boutiques comme à notre habitude et nous parlons de nos rêves et comment on se vois dans dix ans. Voici comment ma journée se termina. La vie est passionnante parfois.

Évidemment, si vous vous posez la question, je ne compte pas lui envoyer un message à ce charmant Dan. Je ne m'intéresse pas au garçon en ce moment, même si il est vraiment très beau et qu'il possède pas mal de tatouages (cela n'est pas gênant bien au contraire), mais ce qui me marque le plus chez lui ce sont ses yeux vert, ils sont tellement puissant que je sais que si il souhaite me dominer il y arrivera. Je crois que maintenant, j'ai peur d'aimer. Alors je ne suis pas prête d'être une proie facile pour lui. Ça se voit qu'il a l'habitude d'avoir tout ce qu'il veut alors une petite galère, qu'est-ce que ça lui coute ?

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Ce jour là je me rendais à un combat illégal avec eux... sa sœur, une très belle brune, son petit ami et Alejandro.

Mon père... c'est un troue noir mais dans les rêves que je fais il travail beaucoup, mais ce n'est pas dans un bureau fermé positionné dans une tour de 20 étages c'est un grand mafieux chef d'un gang très organisé
et respecté, avec un nom... mais je ne sais pas lequel, dans quelques années je vais reprendre son gang car je suis son unique héritière. j'en suis très fière.

— J'aimerais te demander un truc, lança Alejandro.

— Vas-y

— Pourquoi tu veux pas sortir avec moi ?

— Je sais pas, parce que je ne t'aime pas ?

— Mais je suis beau, non ?

— Tout n'est pas dans la beauté tu devrais le comprendre.  

— Aller on y va. Prononça la brune.

Ça y est la peur me monte, j'ai toujours cette trouille qui me prend avant les combats, ce n'est pas facile pour moi, je suis plutôt course de voiture mais bon on choisit pas toujours.

— Arrête d'afficher cette air apeuré sur le visage et ramène toi ici, une vrai petite peureuse, tu risques de te faire manger toute crue. Se moqua la sœur d'Alejandro.

— oh laisse la L... tout le monde ne peut pas être comme toi.

Ce qui m'énerve toujours c'est que souvent je ne vois pas les visages de tout le monde dans ces rêves et j'en oublie des prénoms, ma mémoire me fais défaut de partout, mais la brune serais la petite amie du garçon qui m'as défendu, mais celui ci est flou dans ma tête.

— Je sais mon amour.

Je dois me battre contre un mec ce qui n'est pas réellement équitable vue ma taille et mon poid, mais bon c'est tout le temps comme ça dans ces combats illégaux. Je m'empresse de regarder le public ou j'y retrouve un charment jeune homme, mais impossible de mettre une identité sur ce visage invisible, je sais juste que je ressens une profonde envie de le rendre fièr de moi et le fait de perdre devant celui que j'aime me donne mal à l'estomac et me pousse donc à me donner de la force et le courage nécessaire pour battre mon adversaire.

Je monte sur le ring déterminée à le mettre six pieds sous terre, je reçois un, deux, trois coup et à chacun d'eux je transforme la douleur en force, l'image de Da... me revient en tête alors je reprends mes esprits en donnant tout ce que j'ai jusqu'à la fin et il finit par un K.O, j'ai eu de la chance car encore un peu et c'était moi qui serais affalée sur le sol.

J'ai réussi ! Je remporte l'argent et également l'admiration de mon futur mari, enfin ça c'est mon rêve mais chut, en plus c'est génial mon père va être fier de moi et rassuré en voyant que même si je suis une fille cela n'empêche pas que je puisse reprendre son grand empire qu'il a battu a l'aide de rien et seul. Mon père était orphelin, c'est pour cela qu'il a décidé de ne pas abandonner les garçons malgré qu'ils aient leur grand-mère.

Je rentre toute contente de ma réussite et montre fièrement le liasse de billets obtenus avec mon courage.

— Ma fille je le savais, tu est là meilleure !

— Encore vos putain de jeux de merde ! j'en peux plus, c'est quand que tu dégages d'ici ?! Prononça une femme très belle qui me ressemblait énormément.

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꧁Fin du chapitre꧂