ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟓𝟓 : 𝐌𝐚𝐥 𝐝𝐞𝐟𝐞𝐜𝐭𝐨

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✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚ [DANNY]

Ce matin quand je m'étais levé j'étais plutôt heureux de me dire que je dors toujours aux côtés de cette femme incroyable qui pourrais être la mère de mes enfants. J'avais peur qu'elle parte loin de moi une nouvelle fois et que je me retrouve perdu et seul. Je l'aime d'un amour inconditionnel mais parfois ça ne suffit pas à un homme et il part voir ailleurs. Nous sommes comme ça et je pense que c'est une réelle pulsion masculine.

J'avais passé une journée de merde. Une de mes cargaison avait été interceptée par les poulets alors c'était une perte monumentale d'argent et d'un allié. Le destinataire est vraiment en colère contre moi et m'a même insulté d'incapable. Il a dit que depuis qu'il y a une femme dans ma vie je deviens idiot et incapable. Peut-être qu'il a raison finalement ? Une femme rend faible, l'amour nous délivre à une mort certaine. Une des règles primordial est de ne pas avoir de famille, ou si on en a une ne pas s'y attacher car à tout moment c'est elle qu'on attaque pour t'atteindre et te soumettre à leurs pieds.

Cela fais un mois que j'ai appris que j'aurais pu être père et ça m'a tellement chamboulé que j'ai préféré ne plus en parler à Giulia même si je pense que ça aurait pu lui faire du bien de se confier. J'aurais tellement rêvé d'avoir cette enfant avec la femme de ma vie mais peut-être que c'est mieux comme ça.

Elle n'a personne avec qui parler de tout ce qu'elle doit ressentir de douloureux dans son cœur car elle c'est même éloigné de sa meilleure amie et je pense qu'elle ne le dit pas à mon frère car c'est pas la même chose puis je pourrais en être au courant par la suite. J'en ai pas non plus parler à Almerio, j'ai trop peur qu'il aille la voir en bonne fois et que ça la détruise encore plus. Elle est forte actuellement alors pourquoi changer ça ?

Je devais faire un course dans le but de me détendre un peu et ça m'a réussi. J'avais appuyer sur l'accélérateur telle un fou qui conduit. Tout conducteur vous dira que conduire le soir donne une sensation d'accomplissement et de liberté. On a l'impression d'être supérieur à tout le monde, de pouvoir conquérir tout l'univers.

J'avais pris un petite bouteille de rhum à boire que j'avais engorgé sans retenue. Une belle femme avait commencé la conversation avec moi alors l'ancien moi avait refais surface quand je commençais à lui faire du rentre dedans en la draguant.

Elle est vraiment jolie. Pour être honnête elle ressemble à Laura mais en plus petite et avec un peu plus de formes. Je la mettrais bien dans mon lit celle là.

Elle commence à passé ses mains délicates sur moi et s'approche pour m'embrasser, je me laisse faire comme envoûtée par sa beauté. Elle met sa main à l'intérieur de mon pantalon et touche mon intimité, elle est très forte si elle continue je ne vais pas me gêné à la prendre devant tout le monde.

Elle prend ma main et la passe en dessous de son t-shirt. Elle continue de m'embrasser et franchement c'est la première fois que j'embrasse une autre femme que Giulia. Peut-être que j'avais juste un blocage et que maintenant il est terminé.

Les gens commencent à s'émoustiller autour de nous alors je regarde sur le côté et je vois ma petite furie se diriger vers ma pute du soir ho ho elle va prendre chère et moi aussi, j'imagine... Mais mes envies d'hommes commençaient à être trop fortes alors je n'ai pas pu résisté. C'est comme si vous étiez affamés et qu'on vous met un bon burger sous le nez. Je suis un con...

Elle la prend par les cheveux et je trouve sa trop sexy quand elle est jalouse, elle dit que je suis à elle et j'aime trop quand elle parle dans ma langue natale. Sa possessivité me tue d'amour tout comme son courage, cette femme a du cran.

La pute commence vraiment à l'énerver et je le vois dans ses yeux. Cette femme qui était prête à coucher avec un mec en couple ose vraiment de me demander de la défendre ?, parce que là sa me fais fortement rire.

— Cette connasse comme tu dis c'est ma future femme alors casses-toi, j'aime bien les puta comme toi mais seulement quand je n'ai plus rien à manger, si tu vois ce que je veux dire !

Je la vois partir déçu, je l'ai rabaissée devant tout le monde, ça lui apprendra à insulter l'amour de ma vie, car oui c'est la seule que j'ai aimée et que j'aimerai toujours.

Fin du chapitre

Hasta la muerte [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant