Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟖𝟖 : 𝐍𝐨 𝐇𝐚𝐲 𝐍𝐨𝐭𝐢𝐜𝐢𝐚𝐬

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✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚✧                           [LAURA]

Je comprends plus Danny, il m'aime vraiment ou il joue un jeux ? Actuellement j'ai plus l'impression qu'il l'aime elle. Je n'ai pas grand souvenir de leurs relations à eux deux mais j'ai sûrement raté quelque chose et il faudra que je découvre quoi si mes souvenirs daignent revenir complètement.

C'est quoi ce délire que je regarde actuellement comme une série Tv, ça m'énerve avec tout ce qu'elle à fait, il la sauve et ne l'a tue pas ? c'est trop pour moi. Je n'ai pas oublié quand il c'est énervé contre moi car je l'avais sois disant abandonner et elle qui l'a réellement fais volontairement elle revient comme une fleur et personne lui dis ce qu'elle devrait entendre en face.

Je monte à l'étage et me dirige vers notre chambre je prends ma valise et y met la plupart de mes affaires. Je referme celle ci et descends en bas où Roberto est resté dormir cette nuit.

— Tu fais quoi ?

— Je me casse.

— Je viens avec toi.

Je ne m'attendais pas à cela car il y'a encore Liam ici mais je ne vais pas refuser que l'on m'accompagne. Ce que j'allais demander était plutôt oser mais qui ne tente rien na rien alors je vais quand même le faire même si je suis très gênée

— Tu peux me garder chez toi ?

— Oui bien sûr.

— Ne le dit à personne ok ?

— Promis.

Je pars alors de chez Danny avec l'aide de Roberto. Quel retournement de situation...

Il n'a pas un grand appartement mais cela ne me préoccupe pas trop de toute façon on a l'habitude d'être ensemble et nous savons bien que nous sommes que des amis l'un pour l'autre.

— Je te laisse le lit j'ai le canapé.

— C'est chez toi tu devrais pas dormir sur un divan.

— Je l'aime bien il est très confortable.

Il me fais un clin d'œil et nous rions à l'unisson. Je suis contente de ne pas être seule car sinon je risquerais de déprimer.

— Je vais te cuisiner des pâtes pour te remercier.

— Merci l'italienne.

Je commence à cuisiner. J'aime beaucoup cela car j'ai l'impression d'être toujours prêt de ma grand-mère que je n'ai pas vraiment pu connaître comme il se devait malheureusement mais les moments que j'ai passé avec elle étaient juste inoubliables.

Nous mangeons dans le silence, il n'a rien qu'on puisse se dire finalement. On est tout les deux épuisés et rien que parler nous tue encore plus de l'intérieur alors on évite.

Je me lave et enfile un short avec un débardeur pour dormir. Je m'allonge sur le lit et me positionne pour dormir. Je me tourne à plusieurs reprise et je n'arrive pas à dormir c'est chiant. J'ai toutes les images et paroles qui me tournent en tête et m'empêche de rejoindre Morphée. J'ai chaud, j'ai froid j'en peux plus. Je bois beaucoup d'eau et vais au toilette c'est une boucle qui commence à me fatiguer mais le sommeil décide de ne pas m'emporter avec lui. J'ai envie de pleurer mais je n'irais pas le faire car je suis plus forte et plus haute que eux.

Je vérifie si Rob dors mais il ronfle donc c'est un oui. Je met ma tête à l'envers pour dormir tellement j'y arrive pas et je vois déjà le jour se lever.

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Plusieurs jours passent et aucune nouvelle de Dan. Superbe ça se voit qu'il m'aime. Je commence à me dire que j'ai eu de la chance de ne pas me marier. Tout cela était un signe du destin car je ne vois pas quoi d'autre.

Je suis toujours chez Rob et notre routine est très simple. On part au travail ensemble et on rentre ensemble, un vrai couple apparemment. Quel ironie.

Marco continue de s'occuper de mon affaires à la perfection et je suis très heureuse de l'avoir rencontré car sans lui j'aurais déjà tout perdu de nouveau. Gérer un gang est très difficile et si on me respecte c'est pas grâce à moi mais grâce au travail remarquable que fais Marco. Il y'a quelque mois je ne connaissais même pas son prénom et aujourd'hui on se fais mutuellement confiance. Il a finis par me le dire quand il a vue que j'étais quelqu'un de confiance. Il a sûrement remarqué que j'étais trop bête pour manipuler qui que ce soit.

J'étais tranquillement assise sur le canapé après être rentré de Luxian Fondation. Nous étions entrain de parler avec Roberto de ce qu'il c'est passer avec son frère.

— Je ne comprend pas sa réaction, après il n'a pas l'habitude d'être aimé et d'aimé une femme donc peut-être qu'il doit réfléchir pour comprendre qu'il perd celle qu'il aime alors faudra donc lui laisser du temp.

— Tu as peut-être raison, mais il était quand même à deux doigts de se marier avec moi et maintenant plus aucune nouvelle de lui, ou est l'intérêt de s'être presser à cause du fait qu'il pouvait me perdre pour ensuite m'abandonner comme si tout était normal.

— Je peux être franc avec toi ?

— Oui vas-y, tu connais mieux ton frère que moi.

— Ce que je vais dire peut te faire du mal mais peut-être que finalement il regrette son indépendance, dans le monde qu'il vie il ne doit pas avoir de faiblesse et tu en es une, et en plus tu t'étais arrangé et depuis que tu la recroiser tu t'es remis dans le pétrin et en danger. Tu sais l'amour peut te faire faire des choses incompréhensibles.

— Oui, de toute façon je verrais bien, je vais me reposer.

Je pars vers la cuisine ou je m'y installe tout en scrollant sur internet. Je n'ose pas vraiment parler à Stefanie et je pense qu'elle c'est son cas aussi car elle m'évite par tout les moyens. Chaque chose dans son temps nous finirons bien par nous expliquer et à ce moment là je saurais quoi lui dire.

꧁Fin du chapitre꧂