ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟕𝟑 : 𝐂𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐫𝐢𝐨

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✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚                           [LAURA]

J'ouvre petit à petit mes paupières. Mon dernier souvenir était ma chute ma tête visant le sol sans même que je ne puisse me retenir à l'aide de mes mains. Je n'avais pas rêver cela était bien arrivé, je pensais être de nouveau dans l'un de ses flashback mais non ce n'était pas le cas.

Je me réveille dans une pièce très lumineuse que je ne reconnais pas, j'avais d'abord l'impression d'être morte, il y faisais un froid de canard dans la pièce comme si j'étais entrain de partir de mon corps. Ma vision encore trouble revient enfin à la normal, je dépose mon regard sur les alentours, les murs sont très blancs et me donne un sentiment de tristesse.

Je suis à l'hôpital... je l'avais compris en voyant le respirateur de réanimation. Si cela continue je vais me réserver un abonnement pour les chambres.

Je me remémore les événements récents mais n'arrive toujours pas à savoir qui aurait pu me conduire ici car j'étais seule quand tout cela est arrivé et il faisais déjà nuit. Quelqu'un toque à la porte et me sors de mes pensées, une jeune femme avec de majestueux cheveux ondulés rentre un sourire rassurants au visage, j'en déduis que c'est l'infirmière.

— Bonjour mademoiselle Moretti, allez-vous mieux ?

— Oui, merci, mais comment ai-je atterri ici ?

— C'est votre petit ami qui vous a trouvé inconsciente et vous a amené ici.

— D'accord, il est la ? Je peux le voir ?

— Oui mais avant j'aimerais juste vous posez quelques questions, c'est une procédure pour savoir si vous ne délirez pas suite à la chute ou tout simplement que vous n'ayez pas perdu les donnés essentiels de votre mémoire, car un coup sur la tête n'es pas à prendre à la légère.

— Euh d'accord allez-y.

Elle prend le bloc note et l'ouvre, elle appuie sur le boutons au bout du stylo pour y faire sortir la mine et commence son questionnaire.

— Votre nom complet ?

— Giulia Hernandez.

L'infirmière me regarde avec une mine curieuse se disant sûrement que j'ai perdu la tête, je ricane et lui dit.

— Laura Moretti.

— Très bien, votre âge et lieu de naissance ?

— Vingt trois ans, Amérique.

Elle coche sûrement un quizz car à chaque fois qu'elle me pose une question elle dessine une nouvelle croix.

— Où travaillez vous ?

— Luxian Fondation.

— Votre lieu de vie actuelle.

— Je vis chez mon petit ami mais avant je vivais dans un appartement à Brooklyn.

— Vos amis les plus proches.

— Roberto et Stefanie.

— Les membres de votre famille avec qui vous êtes ou vous aviez été la plus proches.

— Mon père, Mon grand-père, Ma grand-mère et puis aujourd'hui mon frère ?

— Sans être indiscrète... Nous avons un peu près le même âge et j'aimerais vous poser une question pour savoir si ce n'est pas dû à un délire, vous n'êtes pas proche de votre mère ? Ou vous l'avez oublié ?

— Non non, sur ça je peux être certaine que ma mémoire n'est pas rayé, elle ne m'a jamais aimé.

— Ah... excusez-moi.

— Ne vous inquiétez pas, ce n'est pas de votre faute, lui souriais je.

— Je suis vraiment désolé comme moi et ma mère sommes très proche je pensais que c'était votre cas aussi car vous avez l'air dû fille adorable, j'en suis vraiment désolé c'était déplacé de ma part.

— Je vous en remercie vous avez l'air de l'être aussi et j'adore vos cheveux d'ailleurs.

— Merci les votre sont magnifiques aussi, j'aimerais les avoirs aussi long et lisse.

— Merci également, on veut toujours ce qu'on a pas mais les cheveux bouclés c'est tout aussi incroyable moi j'adore.

— Bon continuons sinon le médecin va venir me tirer les cheveux justement, sur votre dossier je peux y voir que vous aviez déjà eu un accident à l'âge de seize ans qui vous a provoqué une perte de la mémoire qui était d'origine temporairement et également il y'a peu une blessure à l'abdomen. Avez-vous retrouver votre mémoire après votre grand accident ?

— Oui partiellement, suite à la retrouvaille de mon petit ami.

— Vous avez eu une vie difficile à ce que je vois et vous êtes pourtant ci jeune.

— Et encore ça ce n'est rien mais bon on choisit pas son destin.

— Question un peu plus gênante haha. Avez-vous eu des rapports ces temps-ci ?

— Euh oui il y'a quatre jours, mais à quoi sert t'elle cette question ?

— C'est surtout pour nos tests intérieur, pour savoir si vous ne vous êtes pas faite violer ou quelques chose de la sorte, on préfère vérifier car vous étiez dans la rue à la merci des gens et on peu vous avoir droguer... malheureusement ça arrive très souvent alors que ça devrais être quelque chose de pas du tout normal mais certains l'on trop banalisé.

Quand elle me dis ça je chercher un peu pour savoir si quelqu'un aurait pu me mettre quelque chose dans un verre mais je trouve pas vraiment donc je me dis que c'était sûrement à malaise normal car ça arrive à tout le monde.

— Vous avez raison c'est bien dommage et les gens malades y'en a de partout j'en suis bien consciente... mon ex faisais partie de ce genre de personne.

— Ah... j'espère de tout mon cœur que ses pervers soient puni correctement.

— Moi également.

Je pense a ce que j'ai fais à Alejandro et je me dis que j'ai bien fais finalement car il aurais pu recommencer avec quelqu'un d'autre puis il ne m'aurais pas lâcher jusqu'à ce que je meurt une bonne fois pour toute car il voulait que j'aille avec personne d'autre que lui.

— Bon je pense que c'est tout je vais appeler messieurs Rodriguez. Ça vous fera sûrement du bien il doit être très inquiet.

Le pauvre je dois lui avoir fais une frayeur, il tient vraiment a moi à ce que j'ai pu voir et ça me fais du bien qu'il me le montre car même si il fais le fort je vois bien quand il s'inquiète pour moi. La gentille femme ressors et j'attend patiemment.

Fin du chapitre

Hasta la muerte [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant