Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟑𝟗 : 𝐂𝐨𝐧𝐟𝐢𝐝𝐚𝐧𝐭𝐞

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✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚✧ [DANNY]

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║██║ Si Supieras
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Après l'entraînement nous partons chacun de notre côté. Je ne vais tout de même pas la coller. Ça m'énerve tellement de l'avoir aussi proche et ne même pas pouvoir poser ma main dessus elle.

Cette fille est magnifique. J'ai rêvé d'elle cette nuit... Elle me plaît tellement que j'en tremble quand elle est proche de moi. C'est une punition de ne pas pouvoir la récupérer car je sais que rien ne se passera plus jamais entre nous.

La couleur de ces cheveux... ces yeux... sont visage... Elle n'imagine même pas comment je pense à elle. C'est ma première femme et la première personne à qui je pense le matin. Je rêve de ce jour où elle dira qu'elle m'adore et qu'elle m'aime.

Elle à toujours ce charme en elle qui m'appelle. Elle a tout ce qu'il faut pour me rendre heureux. On pourrais vivre un amour spécial. Je veux qu'elle sois mienne et moi siens. Je ne veux pas être son ami mais son homme. Mon désir monte de jour en jour.

Un appel me coupe dans mes divagations.

Dès que la sonnerie de mon téléphone sonne je sais que je vais devoir être près. Toujours près. Les deux pieds dans le sol. Le cœur fermer.

Cela doit être urgent car le téléphone continue de sonné. Je décroche.

— Chef ! Le laboratoire jaune est en feux ! On a réussi à le stopper mais il faut que vous veniez examiner les dégâts.

Misère ! Je ne peux jamais être tranquille. Oui là tranquillité n'existe pas dans ce milieu, et moi je suis égoïste à vouloir que Laura reste auprès de moi. Ça fais de moi un connard ? Oui je suis un connard qui pense qu'à sa putain de tronche.

Je monte dans ma voiture et fonce dans mes quartiers. C'est un petit endroit où vivent des gens pauvres. C'est assez pratique car tu leurs passe quelques billets et ils sont content. J'ai toujours eu de la compassion pour eux et ils ne m'ont jamais dénoncé alors un jour je les sortirais de cette pauvreté.

Quand j'arrive sur les lieux le feux a déjà été atténué par les hommes qui étaient déjà présents ici. Merci seigneur personne n'est mort.

— Il s'est passé quoi cabrons ?

— Les abrutis de El pimente sont venus ici et on mis de l'essence.

— Et vous vous étiez où ?!

— En pause patron.

— En pause ? Ricanai-je. Dans une putain de pause ?! Vous savez combien je viens de perdre avec vos putain de conneries !

— Désolé chef !

— Allez vous faire foutre.

Je m'avance vers le labo maintenant en ruine. Sa sent le cramé. L'odeur m'étouffe presque. J'examine un peu tout ce qu'on a perdu mais j'enverrai quelqu'un déterminer des chiffres exacts pour savoir comment on va rattraper tout ça. Il faudra se serrer la ceinture et nous verrons bien comment remonter la pente. Se problème me fera baisser en estime aux yeux des autres, alors l'affaire sera difficile mais comme toujours je réussirai à remonter la pente car je suis Danny Rodriguez. N'oubliez pas ce nom car un jour vous en aurez besoin pour vous faire une bonne place en enfer.