ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟓𝟑 : 𝐃𝐞𝐬𝐚𝐲𝐮𝐧𝐨

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✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚ [DANNY]

Les rayons du soleil qui transpercent la chambre me sortent de mon sommeil léger. La première chose que je vois à mon réveil est là peau nue de ma femme contre la mienne, elle brillait sous l'effet de la lumière avec une illusion de couleur dorée.

Je me remémore la scène d'hier, ce qui me remplit du plusieurs émotions toutes complètement différentes. Je me sens... comblé.

Je la décale doucement pour ne pas lui faire mal et vais ouvrir les baies vitrées. Mes hommes ont étés envoyés dans l'autre maison hier donc il n'y a personne. On va pouvoir se balader tout nu et faire l'amour partout, l'idée me plaît beaucoup d'ailleurs. Je me cale sur le côté du lit et lui fais quelques bisous sur le visage pour qu'elle se réveille.

— Mi princesa, despiértate.

Je lui demande de se lever car j'ai très hâte de voir ses yeux bleus. Elle me tire par le cou pour me rapprocher d'elle et pose ses lèvres charnues contre les miennes.

— J'ai faim. Se plaint-elle.

— Tu peux prendre un gros desserts ou un petit déjeuner. Dis je accompagné d'un clin d'œil.

— Même si se n'est pas raisonnable je préfère le dessert.

— Le GROS desserts. Avais-je dis en accentuent sur le mot Gros.

— Oui le gros desserts !

Nous repartons comme hier sous la couette pour encore quelques petits instants de pur plaisir. Je  décide de la faire crier comme jamais car cette fois ci elle n'a pas besoin de se gêner. Aucune autre présence n'es dans dans cette maison. Je c'est que cela peut-être dangereux pour la sécurité mais je voulais passé un instant tranquille avec elle.

— Maintenant j'ai faim.

— Ah t'a pas assez mangé ?

— Tu as nourri autre chose pas mon ventre.

— Pfff viens là.

Elle me prend par la main et nous partons en direction de la cuisine. On est toujours tout nu ce qui me donne une très belle vue de son cul encore mieux que l'autre fois.

— On va faire le petit déjeuner ensemble pour la première fois si je ne dis pas de bêtise.

Elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes et va ensuite chercher toute sorte de chose à manger.

— Pour le moment fait le café. M'ordonne-t-elle.

— D'accord princesse.

Une fois les cafés terminés je retourne vers elle.

— Maintenant tu coupes les fraises en deux et tu enlèves la petite feuille verte.

— Euh tu a crus que j'étais un coupe fruit ?

— Bon si tu ne veux pas m'aider alors ça ce n'est plus à toi !

Elle me montre son corps d'un mouvement de mains.

— Ah... Je pense que je ferais même plus de l'import export. Lui dis-je suivie d'un clin d'œil. Je suis maintenant coupeur de fruit pour ma douce et tendre femme, un nouveau travail pour un nouvel homme !

— Tu dis que je suis ta femme mais je n'ai toujours pas de bague dans l'annulaire.

C'est vrai ! Une bague ? Faudrait que je réfléchisse à si je suis réellement prêt à passer ma vie avec elle car c'est une décision importante qui ne m'étais jamais passé par la tête avant de la revoir.

Nous finissons de coupé tous les fruits. Elle les dispose dans un gros saladier et y met du sucre et du citron par-dessus. Elle se muni également de chantilly. Elle continue de faire le petit déjeuner copieux en prenant du pain ou elle y étale différentes choses comme du fromage, du beurre et de la confiture...

Elle dépose le tout sur un plateau qu'elle ramène dans le salon sur la petite table. Je cherche nos cafés et quelques crêpes car je sais qu'elle adore ça .

— Oh t'y a pensé mi corazón, merci.

Nous nous installons confortablement sur le canapé et mangeons comme des animaux affamés.

— Prends le dans ta bouche sérieux !

— Bah toi aussi ! Tu l'as fait tomber alors que t'as une grosse bouche pour manger autre chose

— Mais ça va pas !

Elle me lance un mauvais regard avant de me mettre une légère tape dessus mon bras.

Nous passons notre journée comme ça dans les bras l'un de l'autre. J'avais décidé de lui raconter une histoire sur mon expérience personnel quand elle n'étais pas là car elle possède quelques inquiétudes sur son Cartel.

— Tu sais, quand j'ai repris le Gang de ton père j'étais très jeune du coup peu de gens avaient confiance en moi. Ils disaient que j'étais trop jeune et sans expérience pour faire des affaires et que je ne méritais pas d'être hériter de tout. J'ai du me battre pour prouver que ma place était essentiel et pour que l'on m'accorde du respect. Regarde aujourd'hui ou j'en suis. La persévérance paye toujours.

Je vois dans ses yeux de l'admiration et de l'assurance après que j'ai prononcer ses mots. Je ne cherchais pas de l'admiration mais juste a apaisée son cœur.

Nous commandons à manger pour ce soir et une fois le repas englouti nous partons nous coucher devant une série.

Fin du chapitre

Hasta la muerte [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant