Hasta la muerte [Tome 1]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟔𝟔 : 𝐍𝐨 𝐄𝐬𝐭𝐚́ 𝐋𝐢𝐬𝐭𝐨

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✽ ⋆     ┊ .  ˚                               [Point de vue]
          ˚✧                           [ROBERTO]

Je la vois partir à cause de sa dispute avec Liam, j'avoue que j'y ai été un peu fort sur ce coup-là, je me demande bien où elle pourra bien aller mais je ne peux pas laisser Liam toute seule alors que j'ai enfin l'occasion d'être seul à seul avec elle.

Une part de moi aime toujours Li ce qui fait que mon côté "petit ami " resurgit spontanément. Danny comprendra sûrement ce que je ressens car il a pardonné Laura qui nous a menti sur sa réelle identité, au moins Liam assume qui elle est et ne se fais pas passer pour une gentille fille qui n'a commis aucun pécher dans sa vie.

J'invite Liam à prendre un café avec moi et je la vois enthousiaste à l'idée. Nous prenons une table et nous nous asseyons dans un petit coin tranquille. J'ai l'impression d'être dans un rêve. Elle a quand même beaucoup changé et sa me choque de voir qu'elle est d'autant plus belle qu'avant.

— Je ne t'ai jamais oublié Rob, je t'aime.

Elle me regarde avec des yeux pétillants et je ne peux que la croire car moi aussi je l'aime. Je n'ai jamais pu l'oublier et c'est pour cela que je ne suis pas passé à autre chose. Pendant toutes ses années je n'ai pas eu d'autre femme car elle hantais mes rêves nuit et jour. Je n'ai pas envie de lui dire directement mais j'ai tellement envie de la serrer dans mes bras ou d'embrasser ses douces lèvres, ressentir qu'un feu parcours en moi l'entièreté de mon corps.

Je me reprend assez vite me disant que c'était juste le même disque qui passais en boucle et qu'il commençais à se rayer. Tout cela n'est pas facile pour moi car je ne compte pas lui pardonner aussi facilement que Danny l'a fais pour Laura et même si je la défend je n'oublie pas ses actions et la souffrance que j'ai eu durant toutes ses années.

Mon frère et moi ne nous entendons pas trop car il veut faire le plus grand alors que c'est moi qui est ce rôle mais nous avons vue le jour grâce à la même mère, nous avons grandi de la même façon et nous avons eu les mêmes souffrances. Tout cela aurais dû nous souder encore plus mais non ça nous a détruit et éloigné.

Aujourd'hui quand on se parle c'est très court car il considère plus Almerio comme sont frère que moi et cela me fais de la peine car j'aimerais qu'il se confie à moi qui est le même sang que lui. Mais le faite qu'il soit resté dans le monde obscur et que moi je suis passé dans le monde blanc à crée une barrière entre nous et nos lien familiaux.

Mes parents me manquent et même après toutes ses années la douleur et aussi dur et leurs visages me parait encore si vrai, j'aimerais beaucoup qu'ils viennent me serré dans les bras et me dire que tout va bien, ou me donner des conseils par rapport à Liam même si je pense que ma mère ne l'aurais pas apprécié elle aurais plutôt été du genre à aimer Giulia, mon père lui les aurais apprécié les deux mais avec méfiance par peur que l'une d'elles face mal à l'un de ses fils. Les larmes me montent aux yeux et Liam le remarque car elle me prend la main quel caresse doucement avec son pouce.

Le serveur nous ramène nos cafés et elle écarte immédiatement sa main.

— Merci.

J'attend que le mien refroidisse et elle le bois directement chaud. Je commence à être fatigué alors je décide de la raccompagner où elle vie.

— Je vais te ramener chez moi.

— Chez toi ?

— Non là où tu vie !

Je m'étais trompé et j'espère qu'elle ne va pas trouver cette excuse pour s'y incruster car je ne veux personne dans mon appartement. Elle risque de fouiller dans ma nouvelle vie et je veux pas qu'elle y rentre, pas encore je suis pas près.

— Je vis dans un hôtel.

— D'accord allons-y alors.

Je paye l'addition et nous montons sur la moto, je pars en direction de l'adresse de l'hôtel qu'elle m'a donné et la raccompagne jusqu'à la porte. Elle s'approche de moi et m'entoure le fou de ses bras mais je la repousse délicatement ne voulant pas aller plus loin avec elle, c'est trop tôt je suis pas près. Je pars rapidement avec le cœur serré.

꧁Fin du chapitre꧂