Vradosan

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A genoux sur le lit, Valerian remonta jusqu'aux lèvres d'Ayame en embrassant chaque parcelle de son corps ses cuisses, son ventre, sa poitrine, son cou puis ses lèvres. Une main se posait derrière sa nuque, l'autre proche de son bas ventre puis elle relevait légèrement sa cuisse tout en la caressant. Ayame avait les siennes derrière la nuque de Valerian.

En cambrant son corps, Ayame ne faisait qu'un avec celui de Valerian. Ce dernier avait retiré son pantalon aussi. Complètement nu, leurs corps s'entremêlaient, ils fusionnaient pour se sentir l'un contre l'autre le plus possible.

L'entrejambe de Valerian frottait celui d'Ayame. Son corps brûlait, non il se consumait. La sensation d'être collée à celui qu'elle aime la rendait folle. Elle soufflait très fort et pourtant, Valerian ne faisait que de coller son corps contre le sien et de poser simplement ses mains sur son corps.

C'était à lui de la toucher, de parcourir son corps afin qu'il n'ait aucun secret pour lui. C'est à lui de l'aimer, de la toucher pour l'exprimer. Valerian revenait à ses lèvres pour l'embrasser, farouchement un moment et tendrement au second moment. Ayame gémissait dans sa bouche, à chaque coup de langue qu'il lui donnait, cela le rendait fou. Ayame le rendait fou. Il n'arrivait plus à réfléchir distinctement, ses actes étaient guidés par son désir de posséder Ayame, ici et maintenant.

Valerian descendait jusqu'à son bas ventre en parsemant son corps de baisers, arriver à son entrejambe, il pénétra Ayame avec sa langue. Tout en empoignant ses cuisses avec force mais assez pour qu'elle puisse ressentir du plaisir. Ayame criait, se cambrait et serrait les draps du lit plus encore. La chaleur se canalisait dans son bas ventre, elle redressait la pointe des pieds. Son corps était extrêmement tendu face aux mouvements effectués par Valerian. C'était incommensurablement bon, Ayame n'arrivait plus à réfléchir distinctement.

Le plaisir était immense et incontrôlable.

Ayame posa ses mains contre la chevelure si douce de Valerian. Quelques mèches de ses cheveux vinrent se poser sur son ventre. Un sentiment doux en total contradiction avec ce qu'il faisait avec sa langue à son entrejambe. Sa langue allait le plus loin possible, enivrant de plaisir et déferlant le peu d'électricité qu'il restait dans le corps d'Ayame.

Valerian releva la tête,leurs regards se croisaient. Ayame plissait les yeux mais elle soutenait sonregard. Il ne la lâchait pas, son regard était avide, il en voulait plus. Ilsen désiraient plus.