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Cette sensation d'abord de gêne devenait de plus en plus agréable à en perdre la tête. C'était chaud, agréable et enfin Ayame pouvait assouvir son désir de la posséder.

Ayame avait laissé son cou à découvert en posant sa tête bien en arrière. A ce moment précis, Valerian la mordait tout en bougeant une première fois, puis une seconde de manière bestiale. Ayame avait le souffle coupé, une sensation agréable, d'électricité, de chaud, tout la consumait en une fois. L'idée que Valerian boit son sang avait quelque chose de très sensuel mais en plus l'idée de se faire pénétrer en même temps. Ayame ne pouvait plus résister. Elle jouit une première fois.

A bout de souffle, Valerian avait fini de boire son sang. Il l'embrassait aussi, son sang encore de la bouche Ayame léchait instinctivement ses lèvres. Valerian continuait ses coups de bassin, il en voulait plus. Ayame se rua au creux de son cou mais cette fois elle relâchait la pression, laissant libre court à son désir, à son envie de gémir à la simple idée que Valerian est en elle.

Ce relâchement n'était pas passé inaperçu, Valerian grognait lui aussi. L'entendre gémir le rendait fou, cela lui donnait envie de se lâcher, de la posséder plus encore. Valerian redressait les jambes d'Ayame afin de la pénétrer plus en profondeur encore. Ses mains encrées dans sa cuisse faisaient tourner la tête à Ayame, son étreinte ferme et sensuel à la fois était intenable.

Ayame s'agrippait aux draps quitte à les déchirer. Valerian pressait les hanches et ses cuisses contre lui et contre ses mains. Plus profond et plus fort c'est tout ce à quoi il pensait pour l'instant. Entendre les gémissements d'Ayame toujours aussi bruyants, le rendait dans un état second. C'est comme si tous ces mois de retenu se relâchaient à ce moment précis.

Au bout de quelques minutes, le souffle court, il retourna dans les bras d'Ayame pour en terminer. Tous les deux essoufflés, ils restèrent dans leurs étreintes respectives un moment.

Leurs caresses étaient affectueuses et douces.

Exténuer, ils s'endormaient dans les bras l'un de l'autre.

***

Quelques heures plustard, quelqu'un venait de frapper à la porte. Le bruit les réveillaitdifficilement.

VradosanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant