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« Qu... Qu'est-ce qu'elle fait Valerian ? Demanda Ayame paniquée et essayant de faire abstraction aux parties de ses bras en flamme à la suite du passage de Valerian.

-Je pense que tu préfères qu'un premier contact soit établie par une femme. Tu y mettrais moins de réticence. »

Ayame voulait que ce soit lui. Mais elle était beaucoup trop gênée et expérimentée pour demander quoique ce soit. Alors elle laissa la servante de plaisir retirer délicatement son pantalon. De ses mains, elle parcourait les cuisses d'Ayame, la sensation n'était pas la même qu'avec Valerian. Ses cuisses ne s'enflammaient pas mais c'était une agréable sensation. Les mains de la servante de plaisir caressaient l'entre-jambe d'Ayame. Cette dernière posa sa tête contre le dossier du trône, posant son regard sur celui de Valerian. Elle sut qu'à cet instant, elle ne le lâcherait pas.

Le regard de Valerian non plus ne bougeait pas, il était perdu dans les iris d'Ayame. Pourtant, sans regarder ce qu'il se passait plus bas, il donnait des indications très précises à la femme. Valerian demanda délicatement à Ayame d'écarter ses cuisses, dont une se retrouverait sur l'un des accoudoirs du trône. Le pouls d'Ayame s'affolait. Les sensations délivrées par la femme était agréable et le regard de Valerian attirait le courant chaud qu'elle ressent à chacun de ses mouvements.

Valerian délivrait les consignes à la femme en étant tout proche de l'oreille d'Ayame. Elle sentit son souffle chaud sur son oreille, elle plissait les yeux. Laisser le plaisir la parcourir lui demandait énormément d'effort. Un jeu qu'elle n'avait jamais effectué et qui l'épuisait.

Sous les ordres de Valerian, la femme caressait son clitoris. Ayame se reprit trois fois pour ne pas crier, elle se cambrait, serrait les accoudoirs de ses mains. Elle mordait sa lèvre inférieure laissant visible ses crocs. Tout ceci se passait sous le regard avisé de Valerian.

Elle en voulait plus.

Il lui susurrait des mots tout en donnant les consignes à la femme.

« Ce qu'elle touche, te donne du plaisir... Sa vois était rauque.

La poitrine d'Ayame se durcit, le souffle devenait de plus en plus lourd au point d'entrouvrir sa bouche pour pouvoir respirer correctement. Lorsque Valerian lui dit de pénétrer un de ses doigts, Ayame n'eut pas le temps de fermer la bouche et elle gémit très fortement.

VradosanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant