Vradosan

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-Je... Je ne sais pas comment on nomme ce que je ressens pour toi mais à chaque instant je pourrais me sacrifier ou mourir pour toi, tu remplies mes pensées, j'arrive même plus à raisonner pour moi-même, j'ai le cœur qui saigne quand je repense à l'idée de te perdre... Je...

Des larmes coulaient le long des joues d'Ayame. Valerian les séchait délicatement de ses baisers ou de ses mains. Ces révélations, Valerian les attendait aussi mais surtout, il était submergé d'une paix intérieure. Son âme-sœur partageait la même vision que lui et il n'avait qu'une envie partager son amour pour elle.

-C'est de l'amour Ayame, nous nous aimons au point où moi je veux t'attacher à mes côtés pour l'éternité et toi tu veux te sacrifier pour moi. Il faut que tu saches Ayame, jamais, jamais je laisserai une telle chose arrivée, tu es à moi et je te protégerai pour le restant de ma vie éternelle. Je t'aime, je t'aime tellement, respirer sans toi me serait inconcevable.

-Moi aussi Valerian. Moi aussi... Je veux rester à tes côtés, je veux vivre à tes côtés, je veux... Tout. Ayame se surprenait à parler de cette manière mais ces mots étaient sincères. Fais... Fais moi l'amour Valerian.

-Nous nous en souviendrons pour l'éternité. »

Valerian commençait par arracher la veste d'Ayame puis sa chemise. Ils tombèrent en lambeau délicatement hors du lit immense du nouvel empereur. A présent nue, Valerian empoignait sa poitrine, Ayame gémit et se cambrait. Elle serrait les cuisses du mieux qu'elle pouvait, de l'électricité jaillit dans tout son corps et particulièrement à son entrejambe. La respiration rapide, elle tirait le drap du lit tantôt les avant-bras de son empereur. Elle devait canaliser le plaisir incommensurable qu'elle ressentait.

Elle fronça les sourcils pour résister à cette tension. Valerian plaqua sa bouche contre l'un de ses seins, l'électricité jaillit de nouveau mais cette fois à son téton. Ayame criait alors de plaisir. Ces sensations étaient nouvelles et incontrôlables pour elle.

Valerian déchira son pantalon et retira ses bottes. Ayame était complétement nue et Valerian la contemplait sans en perdre une seule miette. Ayame soutenait son regard avec beaucoup de mal, essoufflée et essayant de cacher le peu de partie intime qu'elle pouvait. Valerian ne dit rien, il savait que ce réflexe était dû à son ancienne vie. Son passé, c'est la première raison qui a conduit Valerian à ne pas laisser libre court à ses sentiments. Mais à cet instant précis, ils n'étaient pas l'empereur et l'assassin, ils étaient simplement Ayame et Valerian deux âme-sœurs réunies.