Chapitre 18 : Princesse.

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Point de vue de Rafaël :

Je dévale les escaliers à travers les cadavres, Damien a réussi à prendre la fuite avant que je le tue.

Les tremblements de Daisy ce sont calmer et j'avoue que ça m'a arracher un sourire, mais commencez même pas à vous faire des idées.

Mon téléphone sonne alors je répond aussitôt quand j'aperçois que c'est ma mère, je coin ce téléphone entre mon oreille et mon épaule pendant qu'on marche à l'extérieur pour prendre place sur nos véhicules.

-Rafe des hommes bloque la route et ton père m'a dit que c'était les hommes de Damien, on est sur la route A-7.

-J'arrive.

Je raccroche puis je range mon téléphone, Daisy commence à somnoler tout le monde est devant les véhicules en attendant mon autorisation pour monter et partir.

-Vous pouvez partir et rentrez chez vous. Et Kilian, Luca, Sarah, Juan, Hugo et Noa vous rentrez au réseau. Appeler Rosalia et le médecin Hanaë quand vous êtes sur la route. Dis-je.

Sans attendre je monte sur la moto en mettant Daisy devant moi, je lui dépose le casque sur sa tête puis je dépose sa tête sur mon épaule droite. Plus de tremblements c'est déjà quelque chose.

Ma main droite ce pose autour de son ventre pour éviter qu'elle tombe dans les virages.

Et directement je démarre pour aller sur la route A-7. J'active la lumière que le casque pour prévenir de nous laisser passer du au cas d'urgence de gang.

-J'ai froid.. Chuchote-t-elle.

-Reste éveillée princesse. Dis-je proche de son oreille.

Elle tourne son visage sur moi, et même moi je ne sais pas pourquoi je lui est sorti ce surnom.

Je reste concentré sur la route en passant entre les voitures, je sens ces mains s'agripper à ma chemise.

Je cherche la voiture de mes parents.

-Daisy ?

-Hmm ?

-Non rien, je voulais voir si tu dormais.

Après avoir trouver la voiture je roule jusqu'à la fenêtre de mes parents. Et rapidement la fenêtre s'ouvre.

-Il faut faire vite j'ai pas beaucoup de temps, la file et encore longue, Damien avait tout prévu il veut me ramener sur cette route pour me ramener à vous puis à lui puisque tout ces hommes sont sur ce chemin entrain de bloquer le passage, on va devoir passer que la route pour rentrer au réseau, vous partirez demain parce que ça risque de durer des heures. Dis-je.

Mon père au volant hoche la tête positivement, alors a l'aide de mon flingue je tire sur les barrières de sécurité pour accéder à la route vide de l'autre coter pour rentrer au réseau.

Puis je passe les barrières de sécurité et j'arrive sur la route inverse, mon père me suit avec la voiture derrière. Je lui fais signe que on va devoir accélérer pour perdre moins de temp.

Alors sur la route vide on accélère.

-J'ai froid et je suis fatiguée.. Dit-elle.

-Regarde moi. Dis-je.

Ces yeux verts s'ouvre, les yeux bleus décintrent ces yeux verts.

Bleu dans vert. Vert dans bleu.

-Ne t'endors surtout pas. Dis-je continuant de roule à toute allure.

Je lâche son ventre lorsque j'aperçois un homme de Damien, je prend automatiquement mon flingue puisque il se place en plein millieu de la route avec un flingue.

-Accroche toi princesse.

Sa main gauche vient attraper ma nuque pendant que son bras droit blesser reste poser sur sa cuisse.

L'homme de Damien essaye de sur moi mais j'évite les balles et rapidement la balle de mon flingue vient ce loger entre ces yeux et on son corps tombe au sol en baignant dans son sang.

Daisy laisse un gémissement de peur et de surprise lorsque elle voit la balle entre ces yeux et el corps au sol, je replace mon flingue dans la poche arrière et j'enroule de nouveau son ventre à l'aide de mon bras droit.

Je tourne légèrement ma tête pour voir la voiture de mes parents a seulement quelques mètres de nous, ma mère et ma soeur en peur a cause du corps que j'ai éliminer sur la route.

-Je vais pas tenir.. Dit-elle en fermant les yeux.

-Daisy ! Regarde moi ! Hurlais-je.

Ces yeux s'ouvre mais ce referme aussitôt, je ralentis légèrement pour arriver à la hauteur de la voiture de mes parents.

-J'ai plus de temp on se rejoins au réseau, accélère le plus possible. Dis-je.

Sans attendre une réponse j'accélère à allure folle.

Je tourne légèrement la tête pour voir que mon père et encore loin de moi alors je continue d'accélérer le plus possible.

En moins de quelques minutes je me retrouve au réseau, je descends de ma moto et je retire le casque de la tête de Daisy.

Je la porte puis je me dirige a l'intérieur.

-Rosalia ! Hanaë ! Hurlais-je.

-Monte dans la salle d'opération !

A toute vitesse je monte les escaliers pour aller au troisième étage, une fois arriver j'entre.

Je la pose sur la table d'opération.

-Sors, on vient te chercher quand c'est bon. Dit ma sœur jumelle accompagnée de Hanaë.

Alors je sors aussitôt, je descends tout les escaliers. Je sors et je range ma moto dans le garage, puis je m'assoie dans le canapé ou ce trouve tout le monde donc.

Luca, Killian, Noa, Sarah, Hugo, Juan.

Il manque ma petite soeur et mes parents qui arrivent bientôt.

-Alors ? Demande Juan.

-Elle est en salle d'opération. Répondis-je.

-Et comment tu la trouver ?.. Demande Sarah.

-Le bras droit menotté à un mur, le bras gauche en sang à cause d'un bout de verre incrusté et soutient gorge. Dis-je en regardant Sarah puis Hugo.

Sarah commence à avoir les larmes qui la menacent et Hugo bouge la tête négativement pour pas imaginer ce qu'il imagine.

-On est pas sur qui la fait, il faut attendre qu'elle se réveille et Luca, papa, maman et Lina vont venir dormir ici parce que Damien avait envoyer des hommes boucher les routes. Dis-je en me levant.

Il hoche la tête positivement, ensuite je monte les escaliers jusqu'à arriver à ma chambre, j'entre dans ma salle de bain.

Je prend une douche puis de nouveau je m'habille, jean noir et chemise noir.

Une fois laver je m'assoie sur le bord de mon lit, je prend mon téléphone qui sonne.

Un message et cette fois de Damien en personne.

-Que pense-tu que je lui est fait ?

-J'en sais rien et tu va me le dire.

-Je l'ai touchée.. et c'était tellement bien de la voir pleurer en même temp, j'ai essayé de la violer mais tu est arrivé.

Je pose mon téléphone sur la table du bureau de ma chambre, sans répondre à ces messages. La rage, une rage. Je déteste les violeurs et surtout par dessus tout ce qui sont fiers de l'avouer.

Ma respiration ce saccade, mes poings ce serres. La rage, la colère et le dégoût.

La seul manière c'est de me défouler. Et j'ai absolument pas envie de saccager ma chambre alors en furie je prend mon téléphone je me met dans ma poche, je claque la porte de ma chambre en sortant puis je dévale les escaliers.

DaisyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant