Chapitre 80 : Papa stresser.

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7 mois plus tard..

Je suis enceinte de 9 mois, et je suis bientôt à therme ! Je suis contente d'avoir réussi à aller au bout ! Aujourd'hui on est le 19 mai.

Tout le monde à accoucher, sauf moi pour l'instant.

La femme de Juan a accouchée il y a 6 jours de ces jumeaux garçons, Leny et Liam. Le 13 mai.

La femme de Hugo a accouchée il y a 5 jours de ces jumeaux garçons, Atlas et Arès. Le 14 mai.

La femme de Luca a accouchée il y a 4 jours de ces triplés garçons, Sergio, Sandro, Soan. Le 15 mai.

La femme de Killian a accouchée il y a 3 jours de ces triplées filles, Ilana, Ilyana, Ilona. Le 16 mai.

Rosalia a accouchée il y a 2 jours de ces quadruplées filles, Esther, Elina, Eléna, Eloane. Le 17 mai.

Sarah a accouchée hier de ces jumelles filles, Ella et Elia. Le 18 mai

Et moi c'est le jour j, parce que je viens de perdre les eaux. Le 19 mai.

C'est drôle qu'on soit toutes tomber enceinte en même temps mais que en plus de ça on accouches en même temps !

Alors Rafaël appelle Hanaë, il est 10 heure du matin, et j'ai étais réveillée par les eaux perdus mais aussi les contractions. Il a aussi appelé son père pour venir chercher les enfants, maintenant Hanaë et Tony sont en routes.

Et là j'avoue que j'ai extrêmement mal. Mon mari tient ma main.

-Hanaë arrive bientôt princesa, comme ça tu pourra lui demander la péridurale pour te soulager.

-J'ai mal cariño.. Chuchotais-je.

Une larme de douleur s'échappent de mes yeux, j'agrippe les draps d'une main et de l'autre je sers celle de mon homme.

Je soupire de douleur face au contraction extrêmement intense, c'est sûr qu'avant je travaillais pour 1 enfant ou 2, mais maintenant c'est 4.

-Je sais princesse.. elle est sur la route tu en as pour plus très longtemps.. Dit-il pour me rassurer.

Sa sonne à la porte, et ces sûrement Tony.

-J'y vais princesse, je fais vite !

Rapidement il sort de la chambre en appelant les enfants, des pas dévalent les escaliers puis quelques minutes après la porte de ferme.

De nouveau les pas dévalent et Rafaël entres dans la chambre pendant que mes amis sont accrocher au draps et que je gémis de douleur.

Il s'assoit sur le bord du lit en reprenant ma main que je serre aussitôt, pendant qu'il chuchote des paroles pour me rassurer.

-J'ai laisser un garde avec les clés, devant la porte pour qu'il fasse directement entrer Hanaë comme ça je reste avec toi. Tu peut marcher ?

Je hoche la tête positivement, alors il prend mes deux mains pour me lever, je me trouve debout mais l'envie de me m'assoir prend le dessus, mes deux mains prennent places sur mon ventre, il pose ces mains autour de mes épaules pour me tenir debout.

On marches mais à la moitié du trajet je n'ai déjà plus de force alors il finit par me porter. Rapidement on arrive dans la salle de soin.

Mon mari me pose doucement sur le lit de la salle de soin.

-Mais putain de merde ou elle est Hanaë !? Dit-il nerveusement.

Il prend rapidement le téléphone pendant que mes contractions deviennent de plus en plus forte.

Il appelle Hanaë en mettant sur haut-parleur en s'asseyant sur le bord du lit en tenant ma main.

-Hanaë t'es ou ?!

-Je suis dans les bouchons ! Je sais pas pourquoi il y en a !

-Putain de merde ! Juste aujourd'hui ! Dit nerveusement Rafaël.

-Daisy ta mal à combien sur une en échelle de 0 à 10 ? Me demande Hanaë.

-10 ! Gémissais-je de douleur.

-Ok, Rafe regarde quesque ça donne en bas !

Alors aussitôt il retire mon short avec mon aide pendant que j'agrippe les draps à cause de la douleur insupportable.

Il regarde puis écarquille les yeux.

-Y a une tête.. Dit mon mari complètement paniqué.

-D'accord alors écoute moi, retire le t-shirt à Daisy, tu sait comment ça se passe à chaque accouchement elle a rien sur elle. Ensuite tu va chercher un draps fin blanc dans le tiroir de la salle de soin, ensuite tu te laves les mains. Puis Daisy poussera, tu te mettra en place pour l'accueillir après tu prend la tête du bébé, tu tire surtout pas, elle sortira seule et toi tu la tiendra, elle sortira une épaule et puis l'autre et après sa sortira seule, tu la posera que Daisy et tu fait ça jusqu'à ce que j'arrive !

Après avoir écouter toute les instructions il raccroche, il fait exactement tout comme demander, il retire mon haut, il va chercher les draps fin dans le tiroir de la salle de soin.

Il se dirige rapidement vers le lavabo de la salle de soin en se lavant les mains énergiquement pour laisser aucune bactérie.

Rapidement il prend place face à moi, et rien qu'à sa tête je sais qu'il est extrêmement stresser. Et malgré la douleur je ne peux m'empêcher d'éclater de rire.

-Plus tu rigoles plus sa fait sortir sa tête ! Dit-il en écarquillant les yeux.

-Je sais mais t'es trop drôle je te jure, plus sérieusement je sais que tu peut le faire, dit moi quand t'es prêts.

Il sourit, mais rapidement la douleur revient.

-Je suis prêt vas-y princesse.

Alors je pousse et j'ai l'impression que les contractions sont des poussées, parce que les contractions sont puissantes et la laisse glisser.

Il accueille la première est fièrement il me l'a montré avec un grand sourire.

-Merde ! Y en a déjà une autre qui sort ! Sécrit-il.

Il l'a pose délicatement sur moi délicatement mais rapidement pour attraper la deuxième qu'il pose aussi sur moi, rapidement les pleures de nouveaux nées envahissent la pièce. A chaque tête d'enfant il ne peut s'empêcher de dire : « Merde encore une tête ! ».

Et ça c'est extrêmement vite passer, parce que je dirais que en une minutes les 4 filles ce sont retrouvées sur ma poitrine.

Et Hanaë est toujours pas arriver, le placenta est toujours en moi, mais j'attendrais Hanaë pour qu'elle le retire et les cordons sont toujours présents parce qu'il faudra attendre Hanaë.

Lorsque les 4 filles sont installés sur moi mon mari prends place à coter pour les regarder, il m'embrasse le front tout en posant le fin drap blanc sur le corps nues des filles.

-Naissances des filles à 10h10. Dit-il fièrement.

Des larmes de bonheur s'écroulent de nos yeux, d'ailleurs les seules fois où j'ai vu mon mari pleurer c'est a chaque naissance.

Mes lèvres se déposent sur les siennes. Puis ces lèvres ce déposent sur le crâne de chacune de nos filles.

On regardes nos filles crier, et je suis enfin libérée de la douleur, mon mari caresse mes cheveux pendant qu'on regardes nos filles qui n'ont pas ouvert les yeux.

DaisyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant