Chapitre 12 : Banque.

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Une fois ma rage complètement descendu j'aperçois qu'il est déjà 15 heure.

Je sors du bureau, j'entre dans ma chambre du réseau, je prend ma douche puis une fois laver je m'habille d'un simple caleçon et d'un short.

Je m'installe sur mon bureau de chambre, en prenant mon téléphone et l'ordinateur portable. Je m'assois sur la chaise de bureau.

Je commence directement les recherches sur le numéro inconnu mais aucune traces. Il avait déjà tout prévu, l'enfoirer.

Mon regard ce dirige sur ma photo de famille. Une photo quand j'étais petit. La où tout était bien, mon père, ma mère, mon grand frère, moi, ma sœur jumelle et ma petite soeur.

Mon père a un problème cardiaque il ne pouvait donc plus dirigé le cartel, il a céder ça place à un de ces fils donc sans surprise c'était moi. Mon frère était déjà dans un métier à ce moment alors j'ai dû prendre le relais de mon père sans avoir le mot à dire à cause d'un vote de famille. Toute la famille m'avais voter juste parce Luca était déjà dans une entreprise, puis quelques années après Luca a décidé de devenir mon bras-droit sous mon autorisation. J'en veux à ma famille de ne pas l'avoir laisser le choix, quand je dis famille c'est parents, oncles, tantes, cousins, ect.. mais finalement je suis heureux d'être au commande mais j'aurais quand même voulu avoir le choix.

Maintenant le réseau est dirigé par moi. Luca est mon bras-droit. Mes cousins Juan, Hugo, Killian, sont aussi dans le réseau à leur postes. Noa et Sarah qui sont des amis proches du réseau et qui sont devenus les amis proches de la famille travaille eux aussi pour moi. Mais ils font aussi parti de la famille pour moi.

Le cartel c'est aussi la famille. Par le sang ou par le cœur c'est quand même une famille. C'est comme ça dans les cartel.

Maintenant je serais au commande du réseau jusqu'à mon dernier souffle suivit de mes héritier, pour mes fils principalement.

Des coups sur ma porte me font sortir de mes pensées, je me lève de la chaise puis je marche jusqu'à ma porte.

J'ouvre la porte et j'aperçois mon grand frère, je hausse un sourcil en le voyant.

-C'est bon tu es calmer ? Dit-il.

-Entre. Répondais-je.

Il s'assoit sur la chaise de bureau et moi je m'assoie sur bord de mon lit, Luca a l'aide de la chaise ce place face à moi puis il regarde mon bureau.

-Tu t'es droguer ?

Je passe ma main dans mes cheveux puis sur mon visage.

-C'était la seul façon de me calmer.

-Tu n'aurais pas du-

-Garde tes putains de conseil Luca. Répondais-je sèchement

-Ne me dit pas que c'est le kidnapping de Daisy qui t'a mis dans cet état ?

-Oui et non. J'en est rien a foutre de cette fille, tout ce que je veux c'est la retrouver pour qu'elle me dit la localisation de ma cargaison puis je la tue.

-Tu va faire comment pour la retrouver ?

-Je sais pas mais je trouverais une solution, y a un numéro inconnu qui m'envoie des messages et des photos. Tiens regarde.

Je déverrouille mon téléphone et je lui tend. Il regarde sans rien dire.

-Ta essayer de localiser le numéro ?

-J'ai tout fait, une fois que je me suis calmer je me suis directement mis dessus. Mais il suffit qu'il renvoie un seul message pour que mes nerfs remontent, j'étais si proche du but d'avoir ma putain de cargaison.

-Tu va réussir, j'en suis sûr.

-Ta eu des nouvelles de papa ? Dis-je.

-Il est allez à l'hôpital comme tout les mois et ça a pas bougée, ça ne s'aggrave mais ça ne s'améliore pas. Rosalia va venir dans moins d'une semaine à Madrid avec nous pendant que Lina restera avec papa et maman. Mais papa et maman ils veulent qu'on vienne dans la semaine pour quelques heures histoire qu'on les voit.

-Pourquoi Rosalia viendrait ici ?

-Je sais pas elle as dit qu'elle voulait venir nous voir.

J'hoche la tête, elle vient en pleine semaine où je suis débordé, génial.

-Il est 19h46 on va pas tarder à manger en bas. Dit Luca.

-J'arrive.

Luca sort de ma chambre et mon téléphone sonne de nouveau, ma mâchoire se contracte automatiquement. L'inconnu.

-Daisy dort, je ne sais si elle dort ou si elle dort à cause d'un poing qu'elle sait pris dans la mâchoire..

Puis quelque seconde après je reçois une photo de Daisy qui dort avec un bleu à la mâchoire.

-Je sais pas qui tu est mais dès que je le sais tu sera entre de mauvaises mains.

Mes nerfs sont présents de nouveau, si ils la tuent avant moi rien ne m'arrangera.

Je descend les escaliers, tout le monde est déjà à table alors je m'installe à table avec eux.

-Le plus drôle de la famille c'est moi. Dit Killian.

-Ta geule le roux, le plus drôle c'est moi. Repond Juan.

Je lève les yeux au ciel, pendant que je mange je regarde mon téléphone et les compte du réseau.

-Rafe cet aprem j'ai fait entrer les 20k de la dernière mission. Dit Sarah.

-Pardon ? Dis-je en levant un sourcil.

-Oui j'étais avec Sarah on as déposée le chèque. Répond Noa.

-Sur les comptes y a eu aucune entres et aucune sorties. Dis-je.

Les banquiers, je dois aller les voir, ils sont à l'étage 3 du réseau.

-Restez la. Dis-je en me levant tout en réfléchissant.

-Rafou et sur les nerfs depuis ce matin ! Dit Noa.

-Aujourd'hui je suis une bombe à retardement si tu préfères alors si vous préférez que je ne me défoule pas sur un de vous 6 fermez vos geules. Répondis-je du tac au tac.

-Même si il pourrait m'arracher la bite je l'aime mon Rafou. Ajoute Killian.

Je monte à toute allure les escaliers jusqu'à arriver au troisième étage, je suis maintenant devant la porte des comptables.

J'ouvre brusquement la porte en voyant les qu'âtres comptables à leurs bureau.

-Ou est passer les 20 milles euros de cet aprem ?! Hurlais-je.

-Nous avons eu aucun chèque ce matin monsieur Valasco. Dit un des trois comptables.

-Ne me prenez pas pour un con ! Chercher depuis les dernières heures ! Et je vous jure si vous me dites que trouvez rien je vous bute tous ! Hurlais-je de nouveau.

Je pense même qu'on m'entend jusqu'en bas mais j'en est rien à foutre, je perd une cargaison de deux millions puis je perd vingt mille euros c'est quoi ça ?!

Personne ne baise Rafaël Valasco.

-On va chercher, on vous appelles dès que c'est trouver. Dit le deuxième comptables.

Je sors en claquant la porte derrière moi. Je descends à toute allure les escaliers jusqu'à atterrir dans ma chambre.

Je m'habille en retirant mon short en le remplaçant par mon jean noir, ainsi que ma chemise noir.

J'appelle le numéro inconnu qui détient Daisy. Et aussitôt ça répond.

DaisyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant