partie 51

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Je suis resté là pendant une bonne dizaine de minute en réfléchissant, en me disant que c'étais fini. La femme de toute à l'heure arriva, surprise de ne pas voir Sofiane.

Femme – Où est passé le jeune homme ?

Moi (mentant) – Heu .. Il a du partir.. (lui tendant la chemise) Mettez là de côté au nom de Sofiane ***.

Femme – D'accord, aurevoir (sourire)

Elle partit et moi, je savais pas quoi faire . Je décida de rentrer au quartier. Biensure je mis dix mille ans, tellement j'étais dans une autre planète et arrivé chez moi, (il devait être 17h30) ma mère me tomba desus.

Mama – Elle est où ta soeur ?

Moi – Bah j'sais pas, elle est pas ici ?

Mama – Tu la vois quelque part ?

Moi – Bah non, mais Bouba la ramène tout le temps!

Mama – Niamorodé, Bouba est partit aujourd'hui en voyage scolaire! Va cherché ta soeur dessuite, avant que j'te créer des problème.

Je souffla, je posa mon sac de cours dans ma chambre et je partis cherché ma soeur. J'y suis allé à pied,j'avais besoin de réfléchir. J'étais mal oui, mais j'arrivé pas à pleurer, surement dû à ma fierté de merde, ou parce que j'avais même pas la force de pleuré. J'essaya d'appelé Sofiane mais je tomba directement sur sa messagerie. D'accord, le message était passé, je devais le zappé .. Lorsque j'arriva je trouva ma soeur en train de pleuré et sa « maîtresse » lui tenant la main. Lorsqu'elle me vit, elle courru et sautta dans mes bras, wallah j'avais d'la peine pour elle.

Chaïma (pleurant) – Camélia, j'ai cru que vous m'aviez abandonné.

Moi – Haan mon bébé mais non, j'suis désolé wallah, j'avais zappé que Bouba était pas là. Promis j'le referrait plus du tout!

Elle s'arreta de pleuré mais j'lentendais reniflé, haan mon p'tit bébé, wallah défois j'étais conne. Sa maîtresse là, s'avança vers moi et m'dis d'un ton vénère.

Maïtresse – Mais vous avez vu l'heure ? J'ai même appelé chez vous et personne ne répond!

Moi – Ouais déjà SALAM! Et de deux, j'pensais que c'étais mon cousin qui venais la cherché, l'érreur est humaine non ?

Maïtresse – Nn mais vous pouvez prévenir vous savez!

Moi – Ah ouais et comment ? Je vous dis que je savais pas que c'étais à moi !

Maîtresse – Oui et votre mère dans tout ça ?

Moi (énervé) – Non mais c'est bon là, vous allez pas me cassez les couilles encore longtemps! Ma mère elle bosse dure pour payé mes études, elle est fatigué, s'pour ça que c'est moi qui va cherché ma soeur, et si vous avez un problème ; bah dite le dessuite! (prenant le sac de ma soeur) Allez viens Chaïma, Na elle nous attend à la maison.

Chronique d'une renoi, banlieusarde et muslim.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant