Au bout de trois coup, la porte s'ouvrit, là j'étais morte. Y'avais ni Bouba, ni ma mère pour me défendre, sayez c'étais fini.Tout est passé super vite mais pour moi on aurait dis que sa durait une éternité. Dès qu'il ouvra la porte il s'avança d'un grand pas vers moi et me gifla je crois de toute ses forces. Je tomba raide sur le lit, j'étais déjà limite K.O , en une claque sa m'avais kané déjà. Il n'en avait pas fini non, il me pris par les cheveux et m'obligea à me regardais dans les yeux, j'étais impuissante, les larmes coulaient sur mes joues, son regard me donner des frissons.. Il me lacha « TES QU'UNE GROSSE CRASSEUSE SA TA PLU DE BAISER AVEC CE BATARD HEIN GROSSE PUTE TU FAIS HONTE A LA FAMILLE PTITE TRAINER ». J'entendais ma soeur crié, pleuré, moi même je pleurais, ses paroles font mal, même la encore quand j’écris ça, j'en est des frissons... Il me prenait donc par les cheveux et me jeta au sol en me donnant un coup en pleine face. Je souffrais mais je ne parlais pas, j'avais trop peur d'en recevoir encore plus.
Djibril – PUTAIN MAIS TA PAS HONTE WALLAH T'ES Q'UNE CRASSEUSE TA PAS HONTE D'FAIRE SA A MAMA ? T'ES SORTIT AVEC UN BATARD SUR LE CORAN SI JTE TUE PAS CEST QUE JMAPELLE PAS DJIBRIL. GROSSE PUTE!
Il me donna un deuxième coup au visage, puis sur tout mon corps, y compris mon ventre, puis il se mit à me donner des coup de pied . Il pensait surement que j'étais un mec qui encaissé tout les coup, mais ce jour là j'les pas reconnu, j'comprenait pourquoi les gens avait peur de lui.
Djibril – VAS Y LA PARLE T'ES SORTIT CB DE TEMPS AVEC CE FILS DE PUTE HEIN ?
Je répondais pas j'me mettais en boule et je pleurai. Je croisa le regard de Chaïma qui était en larmes et là mon coeur se brisa. Même en l'écrivant là j'ai les larmes aux yeux. Ma soeur est tout pour moi et la voir dans un état comme ça par ma faute c'est plus que douleureux, ça fais encore plus mal que les coup.
Djibril – PARLEEE LAAAAA !
J'avais rien à dire, je savais que si je parlais et qu'il savait que j'étais resté un an avec lui, j'allé atterir à la morgue.
Djibril (me donnant des coups sur la tête) – J'AI DIS PARLE LAAAAAAA TA BOUCHE LA QUE T'OUVRE TOUT L'TEMPS ELLE VA S'OUVRIR POUR PARLER SINON J'TE NIKE TA RACEEE.
Moi (suffoquant) – Dj..Djibril arrêteee..
Djibril – QUOI ARRETE ? QUOI J'ARETTE ? SALE PUTEEEEEE ! TA BIEN VU QUAND CE FILS DE PUTE A APPELER DES MEC POUR M'DEFONCER TA VU L'ETAT DANS LEQUEL J'ETAIS ET TOI TU PARS SORTIT AVEC CE FILS DE BATARD MAIS SUR LA MECQUE MOI J'TOLERE PAS CA !
Il me mit une giifle et là c'est bon j'étais K.O, on aurait même pu me mettre des Kinder sous mon nez, j'allé pas réagir. J'vais pas vous dire que j'suis allé à l'hopital qu'il ma pété une jambe ou autre, non c'est pas vrai. Quand j'ouvra les yeux, j'étais dans ma chambre, ma mère étais assise sur la chaise à côté d'mon lit et matté la télé. Quand elle vu que j'étais réveillé elle se leva et lacha un soupir de soulagement en prononçant « Allahu Akbar ». Elle sortit aussitôt d'la chambre faire je ne sais quoi. J'essaya d'me levé mais j'avais mal partout. Boubacar arriva aussitôt.
Boubacar (doucement) – Tu t'sens comment ?
Même pour parler j'avais mal, surement dû au coup de patate qu'il m'avais mis l'autre Mohamed Ali.
Moi – J'ai connu des jours meilleure..
Boubacar – T'es sure ? T'veux que j'temène à l'hopital ?
Moi – Non t'inquiète j'suis une warrior. (Blanc) Il est où ?
Boubacar – J'sais même pas, après qu'il t'es défoncé il est partit d'la maison il était en mode scarface.