Jeynaba: La mécanicienne (en correction)

Part 13

Il est mercredi et comme tous les mercredi, c'est très chargé au travail, on est là à réparer, bavarder en même temps. Fallou n'est pas venu au travail aujourd'hui par ce qu'il devait accompagner Fatou faire ses analyses. Elle est presque à terme et comme je l'avais deviner, elle attend des jumeaux mdr 😂. Elle m'a tellement insulté ce jour là.

Moi: mais attends, pourquoi tu pleures. Tu attends des jumeaux, tu devrais être contente.

Fatou: fou moi la paix, toi avec ta bouche de sheytan. Comment je vais m'occuper de 2 gosses, 2 putain de gosses, tu t'imagines? J'arrive même pas à controller leur père déjà *pleures*

(Je riais nonstop mais après j'ai essayé à la réconforter.)

Moi: aye tata Fatou boul dioy (ne pleure pas)

Fatou: kham way. Yama oumm (Laisse moi en paix)

Moi: non mais sérieux, Fatou t'es l'une des meilleure femme que j'ai jamais connu de ma vie. Tu seras une merveilleuse maman. Tu t'occupes déjà de moi comme ta propre fille. Ces bébés qui arrivent seront tellement chanceux avec une mère comme toi et t'as un excellent mari aussi.

Fatou: Tu penses?

Moi: J'en suis sure et certaines. Inchallah yalla bakhna. Maintenant arrête de pleurer on dirait que je suis la grande sœur ici.

Fatou: Kham la wakh mais merci quand-même

(Je ne croyais rien de ce que je disais mdr les enfants sont des démons et sont difficiles à vivre avec mais il fallait que je l'a réconfort. En plus elle est merveilleuse Fatou, elle s'en sortira.)

De retour au présent. J'étais entrain de réparer une voiture quand d'un coup, je sens quelque chose sur mes fesses, j'étais surprise genre mais c'est quoi ça, je me suis tournée et d'un coup j'ai gifler la personne sans arrière pensée.

Moi: mais t'es fou pervers? D'où tu viens et me touches les fesses imbécile.

il était surpris mais il me répond sans gêne

Lui: c'est pas de ma faute si tu as porté une tenue si moulante. Il fallait y penser sachant que tu travailles dans ces lieux que les mecs fréquentent aussi souvent.

Moi: parce que tous ces gens qui travaillent ici sont pas habillé comme moi?

Lui: je ne les vois pas, c'est toi que je vois.

(je me trompe ou il vient de mettre la faute sur moi. Il s'excuse même pas? Quelle audace, mais il faut que je l'éduque cette homme)

Moi: Abon? Permettez moi de m'excuser sincèrement.

(Je ne suis agenouillé, j'ai pris le premier object que j'ai trouvé dans le box que j'utilisais et c'était l plus grand jeu de clés 🔧 et j'ai commencé à le frapper avec, il courait dans tous les senses. Les gens qui observaient depuis tout à l'heure sont venus nous séparer. J'avais pas remarqué mais c'est ce Bilal qui me tenait alors que l'autre était accouru par un de ces amis.)

Moi: laisse moi pour que je lui apprenne une leçon. Mais tu vas me laisser putain?

Il me prends l'object que j'avais en main avant de me laisser.

Moi: espèce de pervers. Ça sera la dernière fois que tu touches à une femme sans son accord. Comme vous êtes riches vous pensez que vous êtes tous permis? Avec moi, ça ne passera pas.

Bilal: tu peux te calmer toi. C'est bon, tu t'es vengé

Moi: ne me parle pas toi, vous êtes tous les mêmes bande de fils gâtés. Tchuuurrr