Jeynaba: La mécanicienne (en correction)

Part 38

"parfois une maison, ce n'est pas 4 murs, c'est 2 yeux et un battement de coeur" ~inconnu

Et comme ça, elle a perdu son mari et son fils. La vie de Jeynaba venait de se bouleverser en quelques heures à cause de la jalousie de deux femmes et le rancoeur d'un homme. Elle avait perdu deux êtres qui étaient très chers pour elle. Elle était là dans les bras de sa mère mais elle ne pleurait pas. C'était impossible pour elle de faire sortir des larmes, pendant 2 heures de temps, elle ne bougeait pas, elle regardait dans le vide. D'un coup, elle se lève et sort du salon en courant mais son oncle l'attrape avant qu'elle ne sorte.

Oncle Bouba: Jeynaba, calme toi.

Jeynaba: il faut que je parte, mon mari et mon bébé m'attendent. Mon oncle emmène moi les voir.

Oncle Bouba: Geumeul Yalla Jeynaba, ils sont partis. Je sais que c'est difficile mais crois en Dieu.

Jeynaba: (faiblement) Je t'en supplie mon oncle, s'il te plaît mon oncle, je veux les voir.

Sa mère est sorti du salon affaibli, elle sentait la douleur de sa fille.

Néné: (en larmes) Bouba, il faut l'amener sinon elle va devenir folle. C'est son droit de voir sa famille. Ne le prive pas cela.

Oncle Bouba: bon d'accord, allons-y. Je vais t'accompagner.

Son oncle avait appelé la belle famille à sa nièce pour qu'elle ailles confirmer les corps par ce qu'il avait trop pitié de Jeynaba et voulait pas la voir souffrir de plus mais Jeynaba n'était pas de même avis.

Pendant tout le trajet, dans les bras de sa mère elle se disait dans la tête qu'ils vont se réveiller quand elle sera là-bas. Qu'ils font des blagues. Arrivée à l'hôpital, son oncle a demandé les renseignements nécessaires et ils les ont conduit à la morgue. Jeynaba n'a même pas attendu qu'ils ouvrent la porte, elle s'est précipitée de rentrer et quand elle a vu son mari et son fils sans vie et tout froid ses larmes ont commencé à sorti. Elle a avancé vers eux et a commencé à les parler. D'abord, elle est allé vers son fils et l'a caressé

Jeynaba: mon petit champion, ouvre les yeux. Maman ne te manque pas? Papis mon bébé, tu veux pas du yogurt (c'était le favoris de celui ci). Si tu te réveilles je t'achètes beaucoup de yogurt. Papis? Tu veux que je réveille Baba d'abord? D'accord, attends

Et puis elle s'est dirigée vers son mari car elle se disait que Papis écoutait toujours son père alors si elle réveillé Habib, Papis allait se réveiller aussi.

Jeynaba: (pleurs) mon cœur, mon amour? Tu m'entends, je t'en supplie réveilles toi. Arrêtes avec tes blagues même Papis ne veut pas se réveiller. S'il te plaît réveilles toi et parle à Papis, tu sais lui, tu es son partenaire de guère. Il fait tout ce que tu lui dit.

(Elle caressait son visage en lui parlant, elle pensait vraiment que son mari lui faisait des blagues)

Oncle Bouba: ma fille, geumeul yalla

Néné: (pleurs) néné touti....

Jeynaba ne les écoutait même pas, elle continuait à parler avec son mari.

Jeynaba: Je te jure que je vais être plus attentionnée, je n'insulterais plus jamais, je...je te dirais des mots douce le matin et que je t'aime chaque minute qui passera et je te dirai que tu es le plus beau (rire) maintenant réveilles toi. HABIB, réveilles toi.

Elle a commencé à crier plus fort et ils ont essayé de la faire sortir mais elle voulait pas. Elle restait attacher à son mari

Jeynaba: (pleurs) Non, non je sors pas. Laissez moi tranquille, ne me séparez pas de ma famille s'il vous plaît. S'il vous plaît, je vous en supplie. Habib, aide-moi s'il te plaît. Habibbbb