La surprise

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Vendredi

Jeynaba ne s'était pas recouché après la prière de Fajr. Elle s'est lavé et s'est préparée pour aller à l'hôpital voir sa mère. Elle a décliné l'offre de son mari qui voulait la conduire là-bas par ce qu'elle a vu comment celui ci était fatigué surtout avec son travail ces temps-ci. Quand elle est sorti, Papis dormait toujours alors elle est parti saluer sa belle-mère et l'a prévenu avant de sorti de la maison, celle-ci l'a même pas prêté d'attention (elle était toujours fâché à cause de l'incident). Jeynaba se demandait comment elle a pu réagir comme ça alors qu'elle est une femme comme elle. Elle devait la soutenir de disait-elle .

Habib et Papis ce sont réveillés en même temps, comme s'ils l'avaient planifiés. Habib l'a pris et lui a donné une bonne douche et puis il l'a amené dans la chambre de sa grand mère avant de faire de même. Habib était un homme qui aimait bien prendre soin de son fils. Il savait comment changer les couches et pleins d'autre trucs que beaucoup d'hommes africains auraient refuser de faire. Après le déjeuner, il est allé dans son bureau réglait quelques trucs.

Vers 11h, Jeynaba était de retour. Elle est allé prendre un autre douche avant de s'habiller en mode africain d'une robe bleue claire et a fait sorti la même couleur pour son mari et son fils (c'est d'ailleurs Habib qui l'avait acheté et avait demandé qu'ils le portent aujourd'hui).  Habib est rentré dans la chambre trouvant sa femme toute rayonnante. Il n'a fait que sourire avant de venir lui faire un baiser très passionné puis il s'est préparé lui aussi.

Habib: comment se porte ta mère?

Jeynaba: très bien Alhamdoulilah.

Habib: Mactar me dit qu'elle pourra sorti dans peu.

Jeynaba: oui, d'ailleurs mon oncle est venu la récupérer aujourd'hui.

Habib: (surpris) comment? Elle sort aujourd'hui et tu ne m'as rien dit? Pourquoi on est là? On doit être avec elle en ce moment

Jeynaba: Habib, relaxe ma mère est avec son frère et ses sœurs qui prend bien soins d'elle sinon je serais pas là. Elle est entre de bonne mains. En plus ça serait vraiment égoïste de ma part si j'annulais cette rencontre avec ton père pour ce que je veux.

Habib: mais non, ça ne serait pas égoïste et mon père peut attendre, il n'est pas malade lui.

Jeynaba: bébé, on va aller voir ton père car c'est la première fois depuis des années, ça ne peut pas attendre. Je te l'ai dit, ma mère est entre de bonne mains. Je viens de recevoir le message de mon oncle. Il dit qu'ils sont arrivés et que ma mère se repose en ce moment. T'as déjà beaucoup fait pour ma mère maintenant porte tes chaussures et allons y (elle le fait un smack)

Habib: je t'ai dit combien je t'aimais.

Jeynaba: s'il te plaît ne recommence pas

Il lui sourit avant de retourner dans le dressing. Jeynaba est descendue puis elle est revenue

Jeynaba: il est où Papis?

Habib: avec ma mère dans la chambre.

Jeynaba: je suis allée dans la chambre mais ils y étaient pas.

Habib: t'as regardé dans le salon?

Jeynaba: ils n'y sont pas non plus.

Jeynaba: La mécanicienne (en correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant