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Au milieu de la nuit, de cette tragédie, de mes rêves, de mes cauchemars, de mes peurs et de mes angoisses, je m'en remet à toi.
Si tu tombes, je tomberai avec toi.
Cette nuit-là, où tout a commencé, où l'on m'a accordé le pl...
《 La confiance de la femme, nait du comportement de l'homme 》
Une fois les papiers de l'hôpital psychiatrique me confiant la garde de la jeune fille dans la main, on rentra chez moi. Après avoir fermé le portail, qu'elle m'avait bien demandé de ne pas oublier, je la vis assez intriguée par ma maison. Elle regardait en l'air, certainement le toit, et vis les quelques oiseaux perchés dessus à piailler. La porte ouverte, elle revint vers moi. J'entrais en premier puis, après avoir vérifié que personne ne la suivait, elle rentra elle aussi. Elle regardait autour d'elle la décoration de la maison, commençant par mon salon.
Jimin: Je vais te faire une petite visite.
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Un salon plutôt simple, je trouvais, mais suffisant pour moi. J'avais toujours vécu seul, alors, juste pour moi, c'était très bien. Pour deux personnes, ça l'était aussi amplement. Je me dirigeais vers mon meuble de rangement et mis les papiers concernant la garde dans le premier tiroir.
Jimin: En soit, tu peux faire comme tu en as envie. Tu es chez toi donc, tu peux te servir dans le frigo ou regarder la télé quand tu en as envie.
Tomoe: Merci.
Elle regardait fixement la fenêtre et semblait regarder quelque chose en particulier.
Tomoe: Tu n'as pas de volet ?
Jimin: Si, pour les fermer tu dois utiliser la petite télécommande posée sur la table.
Je la regardais se diriger vers celle-ci et la prendre pour la regarder. Les bras croisés, je la fixais et elle appuya sur le bouton qui fit baisser mon volet tout seul. L'action finie, elle reposa la télécommande sur la table et revint vers moi.
Jimin: On continue ?
Tomoe: Hm.
Je l'emmenais juste en face de mon salon, en traversant le couloir d'entrée, direction la cuisine, où la fenêtre était entrouverte, mais bloquée de façon à ce que personne ne puisse entrer... Elle me suivait de près, en regardant toujours derrière elle. Dès qu'elle vit le détail de la fenêtre, elle s'empressa de la fermer correctement.
Directement, la principale pensée qui me vint fut qu'au moins, avec elle, je n'aurai plus le souci d'oublier de fermer mes fenêtres ou mon portail...
Jimin: Tu sais, il ne va rien t'arriver.
Elle baissa la tête sans rien dire et se mit à légèrement rougir d'embarras, suite à mon sourire amusé par sa réaction.
Jimin: M'enfin, voilà la cuisine.
(Imaginez une grande fenêtre à droite de l'image, alors qu'eux viennent de la gauche. )
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