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Abdoul Rahim est âgé de 23ans, il a le teint claire, des yeux marron.
Il suit des études aux États-Unis dans l'université de Harvard. A la fin de ces études, il devra prendre le relève de l'entreprise familiale, comme il est fils unique.

C'est avec le ventre noué que je me lève pour ouvrir la porte. Et le voilà devant moi, le sourire au lèvre, j'en ai les larmes au yeux.
Je saute sur dans ces bras, il en profite pour me serrer fort dans ses bras.

Moi : je t'aime, je t'aime . Dis je en lui faisant un bisou sur le coup ce qui lui fit tressaillir.

Il se détache de moi et me prend le menton en me fixant.

Rahim : je t'aime encore plus habiba ( ma cherie). J'avais tellement hâte de te revoir 6 mois loin de toi, c'était l'enfer, je pensais toujours à toi, à ce que tu faisais...Dit il avant de m'embrasser sur le front.

Il se détache doucement. Je le regarde en souriant, mais j'ai pas pu soutenir son regard très longtemps, alors je baisse les yeux

Rahim : toujours aussi timide quand je t'embrasse va falloir t'y faire ma puce sinon comment réagiras tu quand...

je le frappe sur l'épaule.

Moi : ne commence pas ! Dis je en posant ma tête dans son torse.

Il éclate de rire.

Rahim : tu comptes me laisser devant la porte.

Moi : non, vas-y entre.

Rahim : où est ton père?

Moi: je crois qu'il est dans sa chambre.

Je l'amène au salon. 

Moi : tu vas pas repartir de sitôt.  Dis je doucement.

Il s'assoit et me tire sur ses genoux.

Rahim : je compte profiter de ma hayati avant de repartir.

je souris très contente.

Hakim : as-salam aleykoum.

Je voulu me lever mais Rahim n'est pas du même avis, il me serre contre lui.

Rahim : wa-aleykoum salam Hakim.

Moi : lâche moi mon père est ici.
Chuchotais-je.

Hakim : je suis heureux de te revoir. Quant est-ce que tu es arrivé?

Rahim : moi aussi, je viens tout juste d'arriver. 

Je retire ces mains et m'assois à côté de lui.

Hakim : j'espère que le voyage n'a pas été trop dur.

Rahim : non pas du tout, Myriam me manquait et j'avait la nostalgie de mon pays.

Hakim : c'est ça l'inconvénient d'être loin des personnes que tu aimes.

Rahim : oui, tu as raison. J'espère que Myriam n'a pas fait de bêtise à mon n'absence. Dit il en me fixant.

Devenue la belle mère de ma meilleure amieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant