Devenue la belle mère de ma meilleure amie

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~ Dans la peau de Abdoul Hakim~

Je me réveille à 6h pour la prière de fajr puis prends une douche et m'habille d'un djellaba.

Moi : habiba réveille toi, c'est l'heure de la prière. Dis-je en lui caressant la joue.

Rachi : hm. Fait-elle avant de mettre la couverture sur sa tête. 

Moi : allez réveille toi.

Rachida : laisse-moi dormir Hakim, je n'ai presque pas dormi de la nuit. Laisse-moi moi cinq minutes de plus, je t'en prie.

Moi : Rachi lève-toi tout de suite, tu dormiras quand tu auras fini.
Dis-je en enlevant par la même occasion la couverture.

Rachida : s'il te ....

Moi : je ne veux rien entendre ! 

Rachida : laisse-moi tranquille Hakim Dieu comprendra. Dit-elle en se tournant de l'autre côté.

Je crois qu'elle devient folle, la fatigue la fait délirer.

Moi : attend un peu, tu ne vas rien comprendre.

Je la soulève doucement et l'amène à la douche et la met sous la chasse puis active l'eau froide.

Conscience : sadique.

On ne joue pas avec la prière!

Rachi : Ahhh. Cria t-elle ahurie.

Elle voulu sortir mais je la retiens fermement.

Rachi : Abdoul Hakim tu es fou, mon Dieu l'eau est froide. Cria t-elle.

Moi : ça t'apprendra à te réveiller à l'heure de la prière.

Rachi : tu pouvais être plus doux. Bouda t-elle.

J'éclate de rire, son visage est devenu rouge, elle est trop mignonne.
Je me rends compte que sa chemise blanche qu'elle avait porté est devenu transparente. Son magnifique corps est dévoilé, elle est juste magnifique. Je commence à avoir des pensées pas très catholiques devant ce sublime corps qui ne m'ai pas indifférent.

Je sorti de ma contemplation par son raclement de gorge.
Mon regard se porte sur son visage qui est devenu plus rouge qu'il ne l'était déjà. Elle est trop timide ma femme.

Moi : hm je.. j'attend dehors euh.. je veux dire dans la chambre.
Dis- je avant de vite sortir de la salle de bain.

Je passe ma main sur mon visage.

*

Elle sorti habillée d'un abaya marron et d'un voile de la même couleur. Je la trouve magnifique dans cette tenue, je ne penses pas que je pourrais me lasser de la regarder.

Rachida : ... c'est bon.

Moi : euhh désolé, je t'ai pas entendu, tu disais.

Elle : qu'on pouvais commencer la prière.

Moi : pour faire quoi ?